La France a enregistré 600.000 décès en 2015, un record depuis l'après-guerre !
Filibert : L'augmentation de mortalité, qu'on explique par le froid, la canicule ou la grippe, est peut-être le signe d'une fragilisation de la santé des personnes par l'alimentation moderne, les médicaments toxiques et les vaccinations, les ondes électromagnétiques des téléphones, de la wifi et surtout du mortifère compteur Linky, les chemtrails, les substances chimiques présentent dans notre environnement domestique et du travail, les pollutions atmosphériques, l'eau traitée… Attendons les résultats de 2016 pour confirmation !
Après tant d'années d'efforts de l'élite pour nous éliminer, son plan, de l'Agenda 21, commence-t-il à marcher ?
L'Insee explique cette hausse de 7,3% par rapport à 2014 par les épisodes de canicule, de froid et de grippe qui ont sévi en 2015.
Jamais depuis l'après-guerre il n'y a eu autant de décès en France.
En 2015, 600.000 personnes sont mortes, indique l'Insee, mardi 19 janvier, soit 41.000 de plus qu'en 2014 (+7,3%), notamment à cause de la canicule, des vagues de froid et de l'épidémie de grippe.
Cette hausse ne s'explique pas seulement par le vieillissement de la population, mais aussi par une progression de la mortalité.
Selon l'institut statistique, cette hausse de la mortalité est due à "des conditions épidémiologiques et météorologiques peu favorables".
En 2015, 600.000 personnes sont mortes, indique l'Insee, mardi 19 janvier, soit 41.000 de plus qu'en 2014 (+7,3%), notamment à cause de la canicule, des vagues de froid et de l'épidémie de grippe.
Cette hausse ne s'explique pas seulement par le vieillissement de la population, mais aussi par une progression de la mortalité.
Selon l'institut statistique, cette hausse de la mortalité est due à "des conditions épidémiologiques et météorologiques peu favorables".
Trois épisodes de surmortalité en 2015 ?
Les morts ont été plus nombreux chaque mois de 2015 par rapport à ceux de 2014, mais l'Insee identifie trois épisodes de surmortalité.
Les morts ont été plus nombreux chaque mois de 2015 par rapport à ceux de 2014, mais l'Insee identifie trois épisodes de surmortalité.
Les trois premiers mois de l'année ont ainsi enregistré 24.000 décès de plus qu'en 2014.
L'Insee explique que l'épisode grippal a été long (9 semaines) et de forte intensité, avec un impact relativement sévère sur les personnes âgées.L'Insee relève en outre que 2.000 décès supplémentaires ont été relevés en juillet 2015, mois marqué par une canicule, par rapport à l'année précédente.
Enfin, 4.000 personnes supplémentaires sont mortes en octobre 2015, "probablement en raison des vagues de froid survenues au milieu du mois", conclut l'Insee.
Enfin, 4.000 personnes supplémentaires sont mortes en octobre 2015, "probablement en raison des vagues de froid survenues au milieu du mois", conclut l'Insee.