Comment la Magie Noire est utilisée dans le Contrôle Mental - Fiction ou Réalité ?
Voici un aperçu sur les procédures internes des cultes de type satanique/luciférien.
Nous exposons ici ce texte pour vous montrer comment les gouvernements de l'ombre qui dirigent les pays ont développés des techniques de Contrôle Mental pour avoir des agents robotisés qui accompliront toutes les opérations dont ils ont besoin pour soumettre les populations.
Ainsi ils ont formé des prostituées pour compromettre les politiques ou des tueurs pour faire taire les gêneurs !
Voici un exposé sur les processus de contrôle mental et leur aspect métaphysique/multidimensionnel, notamment l'exploitation du fractionnement de l'âme lors des traumatismes extrêmes - Sujet développé dans le chapitre 6 et 7 du livre MK -
Beth Goobie - Partie 1 |
Je suis survivante d'un réseau opérant à travers le Canada et connecté à une échelle internationale.
Je suis née en 1959 dans un culte multi-générationnel relié à la CIA et encore en activité aujourd'hui dans le centre de l'Ontario.
J'ai d'abord été soumise à des sessions de torture in utéro et j'ai pu intégrer les êtres fœtaux à l'âge adulte (ndlr : réintégration des alter/fragments dissociés lors des traumas in utéro).
J'étais une "dissociatrice" expérimentée dès la naissance, une prostituée déjà accomplie en maternelle et circulais par la suite dès l'école secondaire dans un réseau élitiste international.
Ma programmation impliquait une fragmentation en différents alter formés comme agents de sexe, livreurs, ordinateurs et alter de culte (prêtresse, pute, esclave, entraîneur...). Certains de mes alter étaient formés à la manipulation d'armes.
Les histoires de Kathleen Sullivan, Brice Taylor, Cisco Wheeler et Claudia Mullen, ainsi que l'Amérique en pleine Transe-Formation de Cathy O'Brien, décrivent beaucoup de choses que j'ai connu, y compris les centres de NDE / d'expériences proches de la mort ou de "chasses".
Je tiens à remercier chacune de ces femmes pour s'être exprimée.
J'admire profondément votre courage ; continuez !
Mon point de vue diffère quelque peu des femmes citées ci-dessus dans le sens où j'ai connu beaucoup de choses - à la fois personnellement et de par les mémoires récupérées - au niveau de la métaphysique.
Je ne crois pas que les cérémonies occultes reposent uniquement sur de la superstition et de la programmation.
Je crois comprendre que les cultes et les réseaux de renseignements développent la technologie visant à exploiter les réalités métaphysiques qui font quotidiennement parties de nos vies afin de les utiliser pour fragmenter et réorienter la conscience du citoyen moyen.
Ceci à des fins de "contrôle mental" et pour se "nourrir" de l'énergie de chaque vie individuelle. Je décrirais cela comme un processus complexe qui aligne tout d'abord le cerveau à des fréquences spécifiques, puis utilise un traumatisme et une dissociation calculée afin de forcer une interaction métaphysique.
Cette interaction est ensuite programmée à des fins spécifiques par la communauté du renseignement.
Tout d'abord, je pense qu'il est important de relever la motivation fondamentale qui pousse les cultes à Mystères à commettre leurs activités illégales "héroïques" : le désir de vivre éternellement.
En ce qui concerne la recherche de l'immortalité, les cultes à Mystères ont toujours exploré les passerelles métaphysiques menant à des dimensions alternatives pouvant être accessibles par une dissociation traumatique.
Ces expériences hors du corps physique enseignent aux membres du culte à exister en tant que fréquences : la prise de conscience de l'énergie qui s'est dissociée du corps pendant le traumatisme.
On peut quitter le corps physique à de nombreuses fréquences différentes, chaque fréquence ouvrant une dimension différente de la réalité ou du "Mystère", mais aussi une interaction avec les entités qui habitent ces dimensions.
(ndlr: Lecture MK #2 - Les origines des rituels traumatiques et du contrôle mental)
Les membres de ces cultes à Mystères ont également appris à exploiter l'énergie humaine des autres comme un "aliment", en prolongeant leur propre longévité dans leur corps physique.
Ils ont appris à explorer en conscience ces dimensions alternatives de plus en plus profondément (que certains appellent le Ciel, l'Enfer, les Mystères, etc...).
Ces dimensions où leurs "esprits" vivront après la mort de leurs corps physique.
Ainsi, ils "stockent leurs trésors", pas sur terre mais dans des réalités spirituelles alternatives.
Ces "esprits" dissociés sont composés d'énergie et continuent d'exister seulement s'ils sont "alimentés" par l'énergie mortelle du sacrifice humain.
Sinon ils disparaissent comme toute énergie disparaît (ndlr: tout se transforme), parce que les êtres humains ne sont pas censés vivre éternellement.
Je crois comprendre que la communauté du renseignement a développé la technologie pour explorer et faciliter ce processus.
Bien que leurs objectifs soient beaucoup plus complexes que le désir d'immortalité, c'est l'un des nombreux aspects de la conscience qu'ils tentent de technologiser et de contrôler.
Cependant, tout ce qu'ils accomplissent débute par un processus de dissociation.
La dissociation est fréquente lors d'un traumatisme.
Les survivants de viols ou d'accidents de la route décrivent des expériences hors du corps physique ; ils flottaient au-dessus du corps et regardaient la scène terrifiante se dérouler juste en dessous.
Ce phénomène se produit naturellement, que ce soit lors d'un traumatisme accidentel ou lors d'une séance de torture délibérée (ndlr: Lecture MK #3 - Traumatismes, dissociation et connexion aux autres dimensions).
Ce que j'ai compris, après une décennie de rétablissement, c'est que l'esprit traumatisé d'un jeune enfant ne se scinde pas seulement pour s'échapper.
Il peut se dissocier dans une ou six directions simultanément.
À mesure que je vieillis, le nombre de voies d'évacuation dans lesquelles mon esprit s'est projeté s'est multiplié par cent, voir mille, mais pour un esprit très jeune, il n'y a que six directions immédiates pour quitter le corps physique, et c'est la raison pour laquelle le numéro six est une base pour la programmation primaire de culte.
Une fois que la conscience se projette hors du corps pour échapper au traumatisme, elle continue d'exister.
Un fragment dissocié de la conscience - un alter - peut regarder et penser, se rappeler et enregistrer ce qui arrive à son corps alors qu'il plane au-dessus, à côté ou en-dessous.
Beaucoup de survivants peuvent se souvenir d'une séances de torture à partir de différents points de vue/perspectives hors de leurs corps.
Ils sont moins affectés par la douleur, le choc, les drogues ou les casques de réalité virtuelle car ils ne résident plus dans leur corps.
Lorsque le traumatisme se termine et que le corps ne subi plus de douleur et de peur, ces fragments de conscience le réintègreront probablement.
Si la douleur / la peur ne se répète pas, ces fragments de conscience dissociés se fondront généralement dans la conscience centrale et il n'y aura pas de perte de mémoire sur le long terme.
La raison pour laquelle la plupart des gens se souviennent s'être dissociés vers le haut pendant le traumatisme est parce que 'Up' (au-dessus, en haut) est la dimension extérieure du corps la plus facile à se rappeler.
Le corps humain vit naturellement dans de nombreuses dimensions interactives à notre réalité, mais la société occidentale a programmé l'individu pour limiter sa conscience au petit fragment de réalité que nous appelons communément "le monde réel".
Beaucoup de personnes qui se sont dissociées et ont eu une expérience hors du corps, décriront une grande activité qui se déroulait autour d'elles.
Le terme "Around"/Autour est un déclencheur de culte commun qui se réfère à d'autres dimensions ; fréquemment utilisé pour déclencher un individu en envoyant un fragment programmé de conscience (un alter) hors du corps, afin d'initier une interaction à une fréquence en dehors du "monde réel".
Nous sommes des êtres électriques.
La conscience est une forme d'énergie encodée naturellement dans de nombreuses fréquences différentes.
Ces fréquences de conscience s'alignent sur les nombreuses dimensions alternatives de la réalité dans laquelle nous vivons.
Ainsi, les états hors du corps physique peuvent se produire à différentes fréquences de la conscience.
Lorsque la conscience quitte le corps, elle devient une forme d'énergie, un ensemble d'ondes cérébrales ayant été projeté vers l'extérieur.
Cette énergie, ou la fréquence du cerveau, peut changer à mesure qu'elle se déplace.
La conscience qui est projetée vers le haut, quitte le corps dans de rapides/chaudes vibrations.
Au fur et à mesure que la conscience se dirige vers le haut, les vibrations s'accélèrent et deviennent de plus en plus chaudes, les couleurs des vibrations passent du pastel à la lumière blanche et les sons sont émis dans des tons de plus en plus hauts.
Les dimensions dans lesquelles se déplace cette conscience projetée, correspondent également à ces fréquences changeantes.
Je me souviens clairement des séances de torture ECT (Electroconvulsive Therapy) au bureau d'un docteur, lequel me demandait de me projeter vers le haut.
Avant que le choc électrique ne soit appliqué, on me racontait une histoire sur la dimension dans laquelle je devais me rendre après avoir quitté mon corps ; par exemple : "Up Up Up, est une terre d'anges", dit-il (le docteur). "C'est une terre où tout est blanc et propre. Les anges sont sympathiques et chantent de joyeuses chansons. Ils jouent de la harpe et s'assoient sur des nuages. Il y a beaucoup de croix blanches là-bas. Lorsque tu ira à Up Up Up, tu sera heureuse. Il n'y aura pas de démons, il n'y aura pas d'obscurité."
Alors que le choc électrique était appliqué pour me projeter vers le haut, un scénario soigneusement chorégraphié se déroulait souvent autour de moi.
Par exemple, un homme vêtu comme un diable pouvait entrer dans le bureau du docteur : "Alors le porte de la salle d'opération s'ouvre brusquement et un diable entre. Un diable tout habillé de noir avec des cornes sur la tête. L'infirmière hurle en agitant les mains.
Le diable me crie dessus "Gotcha!" ; "Gotcha, Dorell, Gotcha!".
Je subis déjà les chocs électriques et je ne peux donc pas regarder le diable qui saute partout autour de moi avec son fourreau.
Le docteur continue à me dire "Up Up Up"... et cela commence à se produire.
C'est comme si j'étais une feuille blanche épinglée sur une corde à linge et que je m'en détachais doucement, lentement portée par le vent, m'élevant de plus en plus loin d'où je suis attachée, loin de l'électricité...
Maintenant, cela ne me fait plus mal.
C'est facile, je n'ai qu'à quitter dans 'Up' où j'ai déjà été beaucoup de fois auparavant."
En voyageant vers le haut, je suis passée par différents niveaux de conscience hors du corps.
Le premier niveau, que j'ai appris à appeler "Up"était juste au niveau du plafond de la salle.
Là, j'étais capable de flotter sans douleur et sans peur.
Je regardais le docteur et l'infirmière appliquer un autre choc électrique à mon petit corps d'âge préscolaire sur la table en dessous.
Cependant, je n'étais pas seule lorsque je flottais dans Up regardant mon corps, d'autres fragments de conscience dissociés flottaient là-bas avec moi.
L'un appartenait au docteur, l'un à l'infirmière, l'autre à l'homme habillé en diable.
Il y en avait aussi plusieurs qui me ressemblaient et qui semblaient vivre là en permanence.
Chacun d'entre eux observait ce qu'il se passait en dessous.
Lorsqu'ils se parlaient, la vibration de leurs voix était légèrement supérieure à la moyenne.
Alors que les chocs électriques appliqués à mon corps augmentaient, je montais encore plus haut, traversant le plafond pour accéder au prochain niveau qui s'appelait "Up Up".
Une dimension bleu ciel pleine de fragments de conscience dissociés appartenant à des personnes familières et inconnues ; ils flottaient tous là paisiblement.
Ces fragments ressemblaient à des corps humains mais avaient une qualité spirituelle et leurs voix étaient légèrement plus hautes et plus rapides qu'au niveau "Up".
La dimension suivante, "Up Up Up", existait à une fréquence de lumière blanche était aussi paisible et peuplée de ce qui semblait être des humains ressemblant à des anges, dont certains me ressemblaient.
Le niveau supérieur était une dimensions de "feu blanc pur", extrêmement difficile à supporter.
Des figures blanches d'"anges" pouvaient être vues à ce niveau appelé "Dieu".
Lors des séances suivantes de tortures à l'ECT, j'ai parcouru le niveau "Dieu", une dimension extra-atmosphérique où je flottais parmi les étoiles et les planètes.
Encore une fois, j'ai trouvé d'autres fragments de conscience humaine dans ces dimensions, mais pas autant.
Le médecin qui dirigeait ces séances d'ECT avait programmé ma conscience pour que je réintègre mon corps physique lorsqu'un signal tactile particulier lui était appliqué.
Lorsque je revenais, je devais lui rapporter tout ce que j'avais vu et expérimenté en voyageant hors de mon corps.
Peu à peu, je me suis rendu compte qu'il ne pouvait pas, ou ne voulait pas, voyager aussi loin que moi.
Soit parce qu'il ne voulait pas subir le niveau de choc électrique nécessaire pour se dissocier à ce point là, soit parce qu'il n'avait jamais réussi à se projeter psychiquement aussi loin que j'avais pu le faire.
J'ai appris que les dimensions immédiates qui m'entouraient pouvaient changer, selon la pièce dans laquelle j'étais et les gens qui s'y trouvaient avec moi.
Cependant, ces dimensions restaient collectives et interactives.
Elles peuvent être pénétrées par quiconque y est "accordé". Quelques-unes de ces dimensions avaient des noms spécifiques, comme le Ciel, le Septième Ciel, le Paradis, la Ville de Dieu, la Ville d'Émeraude ou Narnia.
Beaucoup impliquaient des licornes volantes, des papillons ou des arc-en-ciels, ainsi que des scripts venant de livres pour enfants ou autres productions télévisuelles.
J'ai également connu des séances de torture dans des chambres sombres et froides, où j'y étais souvent pendue à l'envers ou placée dans un cercueil.
Là, j'étais obligée de "descendre", c'est à dire projeter ma conscience cette fois vers le bas.
L'esprit se déplace vers le bas dans des fréquences basses et sombres, déclenchant souvent l'interaction avec des dimensions psychiques de cimetières, de tunnels, de grottes, de démons, de vampires ou de fantômes.
Ces dimensions sont aussi interactives que les dimensions de la lumière blanche.
C'est à dire que les fragments dissociés de la conscience humaine qui y habitent, prennent des formes de vampires ou de démons, tout comme ils prennent la forme d'esprits et d'anges dans les dimensions de la lumière blanche.
Selon mon expérience, l'évitement d'un jugement de valeur sur ces réalités psychiques sombres/lourdes ou bien lumineuses/légères est essentiel à la guérison.
Ces dimensions concernent les fréquences de la conscience, pas le bien et le mal.
Elles existent naturellement, mais sont exploitées par les cultes comme méthode de "stockage" de la mémoire et de la conscience en tant que source d'énergie dont la haute hiérarchie du culte et les entités non-humaines se nourrissent.
Pour ce faire, les cultes régissent et divisent soigneusement la prise de conscience de la notion "dans le corps" / "hors du corps" chez le jeune enfant.
Cela grâce à la fragmentation et au stockage de la conscience dans des dimensions polarisées telles que Up vs Down (Haut vs Bas), Ciel vs Enfer, Château dans les nuages vs cimetières, etc...
Les cultes ont toujours utilisés la programmation basée sur les traumatismes pour forcer leurs membres à transférer des fragments de conscience dans des dimensions alternatives.
Durant les années 60, ces cultes sont devenus les cobayes des services de renseignement pour le développement et le contrôle de ce processus.
La communauté du renseignement apprenait donc au fur et à mesure qu'elle expérimentait ces choses là, l'objectif étant la création d'une dissociation rapide et fiable de l'enfant lors de traumatismes calculés.
La leçon de base que devait apprendre l'enfant était qu'il est préférable d'exister, non pas dans le corps physique, mais des dimensions psychiques en dehors de celui-ci - lorsque le corps physique est poussé à bout -
Bébé, j'ai souvent été laissée dans une chambre froide à l'éclairage éblouissant pendant de longues périodes, couchée nue dans mes excréments, tandis que des sons - comme du bruit de meulage - étaient diffusés de manière assourdissante.
J'ai appris à y faire face comme c'était prévu :
"Et je sais ce que je veux.
Je le veux, je le veux.
Je traverse ma peau en sanglots, des larmes que j'envoie à l'extérieur à la recherche de ma mère... de la voix de ma mère.
Enracinée dans le cœur et au bout des nerfs, une petite énergie flotte autour de moi.
L'immense bruit de meulage commence alors à s'atténuer... Le corps s'ouvre dans une plaie rouge écarlate.
Le souhait a été exaucé.
Une vague forme de bébé, transparente comme dans un rêve, passe un moment sur le corps du bébé nu et pleurant, puis dérive tout autour de la pièce ; souhaitant les mains de la mère, souhaitant la voix de la mère...
C'est la première porte : échapper au bruit de meulage, à la peau brûlante, à la lumière écrasante (...)
Au fur et à mesure que je grandissais, j'étais souvent attachée et baîllonnée dans ma chaise haute, puis laissée là pendant des heures.
Une fois que j'avais cessé de lutter pour attirer l'attention, j'étais déshabillée, nourrie puis baignée par des yeux glacés... mais seulement après avoir appris que dans le corps physique je n'étais rien, que je n'existais pas, que personne ne me répondrait, ne m'aimerait, ni ne s'occuperait de moi.
Ce que j'ai vite découvert, c'est que si je laissais mon corps, que je me projetais vers le haut, une version aimante de ma mère m'attendait à 'Up' pour s'occuper de moi là-bas.
Très rapidement, j'ai appris que l'amour humain et l'amour de Dieu existaient vers le haut, hors du corps, dans le monde de "l'esprit". (ndlr: voir l'analyse du film d'animation Coraline)
Pour compléter encore cette leçon, mes agresseurs ont continué à m'assaillir continuellement : agressions émotionnelles, physiques et sexuelles, immersion dans l'eau, rotation, températures extrêmes, stroboscopes et sons assourdissants.
Des aiguilles ont été insérées dans ma peau et mes organes génitaux d'une manière spécifique en corrélation avec les techniques d'acupuncture et d'acupression.
Souvent, la torture consistait en une sur-stimulation des sens.
Un des rituels impliquait de nombreuses personnes habillées en robes autour de moi, chacune frottant le bout de son doigt de manière circulaire sur une petite zone de ma peau.
Des doigts étaient également insérés dans ma bouche et mon vagin.
Des voix murmuraient différents messages dans chaque oreille à des vitesses et des tons différents.
Pour échapper à cette sur-stimulation et à la confusion, j'ai appris à utiliser le mouvement circulaire que chaque doigt faisait sur ma peau, comme une porte, et à quitter mon corps simultanément à travers chacun d'eux.
La programmation visant à fragmenter mes perceptions spatiales a amélioré le processus dissociatif.
Dans un scénario, on me disait par exemple de faire un pas à droite ; alors que j'amorçais ce mouvement, mon programmeur claquait des doigts, créant une rupture auditive dans la conscience.
Ensuite on me disait que mon nom était devenu "Rightie" (droitière).
Lorsque l'on m'ordonnait de faire un pas à gauche, mon nom devenait "Leftie" (gauchère). Poussée au sol, on m'appelait "Downie" (basse) ; il y avait aussi un "Uppie" (haute), un "Backie" (devant) et un "Frontie" (derrière).
Évidemment, Rightie, Uppie et Frontie avaient des expériences positives, tandis que Leftie, Downie et Backie avaient des effets négatifs.
Les fonctions polarisées négatives/positives des six directions ont été renforcées de différentes façons.
Par exemple, on m'a souvent dit que si je me retournais à l'intérieur de ma tête, je mettrais ainsi mes mauvais souvenirs dans le noir, puis en me retournant vers l'avant et en ouvrant mes yeux pour voir la lumière, les mauvais souvenirs seraient partis...
Je recevais un choc électrique au moment du claquement de doigt du programmeur, ce qui augmentait la rupture de conscience ; cela jusqu'à ce que les six différentes directions soient totalement divisées/fractionnées dans mon corps par un mur d'énergie composé de chocs électriques, de douleurs : de peur.
Ces six alter ont continué à exister en dehors de mon corps, dans "Around" (autour).
Cela signifiait que "Beth", qui vivait dans mon corps physique, avait une conscience réduite de son environnement immédiat, car une partie de sa conscience avait été projetée à l'extérieur de celui-ci.
Si quelqu'un claquait des doigts en disant Right (droite), Beth marcherait à droite et l'alter "Rightie" prendrait le contrôle du corps. "Rightie" n'avait aucune connaissance de l'existence de Beth ou de ce qui se passait dans le corps lorsque Beth l'habitait.
Ce programme s'est élargi pour créer d'autres alter qui vivaient à deux pas du corps, de plus en plus de fragments de conscience ont ainsi été retirés du hors du corps dans "Around" (autour) et mes perceptions spatiales étaient de plus en plus confuses...
Même à l'âge adulte, l'indentification à l'Est ou à l'Ouest, à Droite ou à Gauche, a requérir une intention toute particulière dans mon processus de récupération.
Une fois que les perceptions spatiales d'un enfant ont été soigneusement fragmentées et extraites hors du corps, il devient relativement facile de créer des "triggers"/déclencheurs dans la conscience au sein du corps. L'enfant atteint progressivement un point où elle (la conscience) "switch"/bascule chaque fois qu'il change de direction physique.
Par exemple chaque fois que le corps se déplace vers la gauche ou vers la droite en jouant par exemple avec des étiquettes sur un terrain de jeux, les changements de conscience se produisent en permanence de sorte qu'il y a un flou constant de mémoire et de focus.
Par conséquence, l'enfant devient confus, peu autonome et plus sensible aux demandes extérieures.
Cette dégradation de la perception spatiale améliore également d'autres types de programmation - fonctionnant avec déclencheurs - reposant sur des réalités physiques, comme la programmation arc-en-ciel.
Toute petite, j'ai été emmenée au pied d'un large arc-en-ciel avec plusieurs pistes, comme des promenades.
Mes parents biologiques me disaient au revoir et me plaçaient dans un chariot.
Un chariot qui me mènerait physiquement "over the rainbow" / au-delà de l'arc-en-ciel.
De l'autre côté de cet arc-en-ciel, une famille différente m'attendait.
Ils m'ont dit qu'ils étaient ma nouvelle famille et m'ont donné un nouveau nom.
Alors que je vivais avec cette nouvelle famille - ce qui pourrait n'être qu'une demi-journée - ma famille biologique n'a jamais été mentionnée et j'ai été programmée pour une nouvelle série de tâches.
Une fois que cela a été accompli, j'ai du être ramenée, toujours en passant par l'arc-en-ciel, à mes parents biologiques.
Alors que l'arc-en-ciel était utilisé comme une sorte de pont physique (amnésique) entre des réalités de plus en plus nombreuses, son existence se traduisait par des indices verbaux et visuels.
Si je me souvenais de quelque chose qui appartenait à une autre réalité et que je le mentionnais, ma mère me disait rapidement : "C'est au dessus de l'arc-en-ciel, Beth" et j'étais alors incitée à "oublier", à dissocier cette soudaine prise de conscience.
Bientôt, il suffisait de me montrer l'image d'un arc-en-ciel et j'oubliais une réalité pour passer à une autre (ces arc-en-ciels peuvent également être blanc et noir, inversés, ou avec différents types de couleur). Les cartes de voeux qui représentent un arc-en-ciel sont fréquemment utilisées pour renforcer l'oubli. (...)
Au fur et à mesure que ma réalité physique devenait plus fragmentée et que ma conscience était poussée à aller "Around" (autour), j'ai appris à me dissocier rapidement et de manière fiable.
Étant donné que mes "formateurs" voulaient contrôler mon "out-of-body" (hors du corps, la sortie astrale), ainsi que ma conscience "dans le corps", ils devaient me programmer pour stocker les fragments de mémoire et les alter dans des structures calculées et organisées (l'oubli n'est pas une perte de mémoire, c'est un processus de stockage).
Une structure de stockage de base, fréquemment mentionnée par les survivants, est la matrice et tout ce qui en dérive.
On montrera à l'enfant une matrice basique, par exemple une grille dans laquelle chaque carré contient une lettre ou un nombre et on lui dit de stocker un alter dans chaque carré.
Un autre protocole est un couloir composé de plusieurs portes avec un code couleur, ou encore un donjon avec plusieurs cellules.
Ces structures se composent plusieurs couches liées aux fréquences ; c'est à dire au niveau de douleur et de traumatisme qui est infligé au corps, qui influencera la sortie astrale dans le couloir ou la matrice, dans lequel l'alter se projettera pour "vivre" (...) (ndlr: voir la "chirurgie magique" et la formation du monde intérieur)
Une autre structure de stockage basique est la "programmation de l'étoile".
Dès la petite enfance, un choc électrique était appliqué à mes organes génitaux pour créer des "star selves" ("moi étoile" / type d'alter) qui étaient ensuite organisés dans des constellations et même des univers entiers.
J'ai été soigneusement préparée par une série de déclencheurs.
Alors que je me couchais le soir dans mon lit, mon père me disait : "Si vous voyez Papa ce soir, ce sera juste un rêve." Puis il disait : "Tu es en train de monter Beth, te soulevant au-dessus de ton corps, continue tout droit... Up Go Up, et là tu trouvera une chambre comme celle-ci avec un lit comme celui-ci. Maintenant monte dans ce lit et couche toi là-bas." Comme j'avais été programmée pour me dissocier sur un signal verbal, je sortais de mon corps, flottais vers le haut, et trouvais alors la dimension psychique qu'il venait de me décrire.
Là, l'un des alter dissociés de mon père se penchait pour m'embrasser et me souhaiter bonne nuit, éteignait la lumière et quittait la pièce...
Pendant ce temps, en bas, dans le "monde réel", un autre alter était déclenché pour prendre le contrôle de mon corps.
Cet alter (auquel je vais maintenant me référencer en tant que "moi" ou "je") était alors conduit au sous-sol où des équipements d'électro-chocs avaient été mis en place sur une vieille table en bois avec une simple ampoule électrique brûlante juste au-dessus de ma tête.
Alors que je regardais fixement le filament lumineux de l'ampoule brûlante, mes organes génitaux étaient doucement stimulés pour provoquer un excès d'excitation.
On me montrait alors l'image d'une étoile à cinq branches.
"Veux-tu être une 'Star'/étoile ?" me demandait ma mère.
Les étoiles étaient magnifiques, elles étaient d'un blanc pur et lointain.
Qui ne voudrait pas être une étoile au lieu d'un corps humain ?
Je répondais alors : "Oui, je veux être une étoile !"
"Tu peux être une étoile" disait ma mère, "Juste une seconde de douleur, et tu sera une étoile..."
"Up Up Up Up"était le signal de mon père, puis il appliquait un choc électrique sur mes organes génitaux.
Toujours dans un état d'éveil, de sur-stimulation, je quittais mon corps consciemment pour voyager vers la "cinquième dimension" - la dimension de Dieu , où vivaient les étoiles et les planètes.
Dans cette dimension, je ne ressentais aucune douleur, seulement une stimulation sexuelle.
Mais une barrière contre la douleur a été créée entre mon "moi étoile" et mon corps : le souvenir du choc électrique qui avait été appliqué sur mes organes génitaux.
Si mon "moi étoile" voulait retourner dans mon corps, ou si mon corps voulait retrouver l'énergie et la conscience qui avaient été intégrées dans cette "étoile" particulière, l'un ou l'autre devait passer par la pénible barrière de chocs qui avaient été érigée entre eux. (ndlr : cela rappelle étrangement les pratiques du père franc-maçon de Maude Julien.
Un apprenti programmeur qui torturait sa fille à coups d'électrochocs afin de la faire se dissocier pour qu'elle accède à d'autres dimensions, faire d'elle une Déesse pouvant communiquer avec les morts...)
(...)
Sources : http://www.whale.to/b/goobie_h.html
Par Alexandre Lebreton
http://mk-polis2.eklablog.com/comment-la-magie-noire-est-utilisee-dans-le-controle-mental-fiction-ou-a130547746