Aux États-Unis, le lobby de la Divulgation, qui fait pression sur le Gouvernement Américain pour qu’il lève le secret sur le dossier ovni, a frappé fort en 2013 !
Entre le 29 avril et le 3 mai 2013, Stephen Bassett, l’un des principaux activistes de ce mouvement, à la tête du Paradigm Research Group, a organisé le "Citizen Hearing on Disclosure", (L’Audience citoyenne de la divulgation). Pendant cinq jours, des témoins se sont succédé à la tribune du National Press Club pour relater leur rencontre plus moins rapprochée avec des engins et des créatures hautement insolites.
L’intérêt de ce colloque tient en grande partie à la qualité de certains intervenants : hauts gradés, politiques, scientifiques, anciens membres des services de renseignements US, astronautes…
Beaucoup sont des compagnons de route de longue de date de Stephen Bassett.
Parmi eux, Edgar Mitchell, le sixième homme sur la Lune, convaincu que notre planète est visitée ; l’inévitable Nick Pope, ancien M. OVNIs du gouvernement britannique ; le capitaine Robert Salas, qui aurait assisté à la désactivation de missiles nucléaires par un ovni sur la base de Malmstrom en 1967 et l’ancien ministre de la Défense canadien Paul Hellyer déjà auteur de déclarations fracassantes et qui, cette fois encore, a poussé le bouchon assez loin.
Nous y revenons plus bas…
Mais la conférence valait aussi par son auditoire.
Stephen Bassett a tenté de reproduire le décorum et la solennité d’une audience au Congrès.
Pour ce faire, il a convaincu six anciens élus de tous bords de former un panel censé écouter les témoignages des orateurs et leur poser des questions, de préférence avec les sourcils froncés, signe d’un profond intérêt.
Et la manœuvre a fonctionné puisque ces "Audiences", dont l’ambitieux slogan était "Si le Congrès ne fait pas son travail, le peuple le fera", ont obtenu une bonne couverture médiatique, aux États-Unis du moins.
Même le prestigieux ‘New York Times’ y a consacré un article qui ne suinte pas trop l’ironie condescendante que la presse sérieuse réserve d’ordinaire à ces sujets.
Le quotidien cite l’ex-sénateur démocrate de l’Alaska, Mike Gravel (aujourd’hui du Parti Libertarien) qui lâche : "La Terre est placée sous surveillance, et même sous surveillance rapprochée car nous aimons trop la guerre".
Quant à Carolyn Kilpatrick, ancienne représentante démocrate du Michigan, battue en 2010, elle déplore : "Dans notre pays, on tourne ce sujet en dérision.
Mais je suis convaincue qu’il mérite beaucoup plus d’attention.
Ce n’est pas une blague : il y a des données scientifiques qui indiquent qu’il se passe quelque chose."
Voici les interventions les plus marquantes de ce comité :
En 12 ans, il a recensé 430 cas impliquant 900 membres des forces de l’ordre.
73% de ces observations ont été rapportées par plusieurs policiers : en avril 1984, dans le Middlesex, une vingtaine d’officiers de police a vu pendant deux heures un objet en forme de dôme projetant des "boules lumineuses" vers le sol.
Cette observation a été retranscrite dans un rapport communiqué au ministère de la Défense.
Oscar Huerta a décollé à bord de son Sukhoi 22 pour intercepter l’objet d’environ 10 mètres de diamètre, formé d’une sorte de bulbe blanc crémeux reposant sur un socle d’apparence métallique.
D’abord convaincu qu’il s’agissait d’un ballon espion, le pilote a été rapidement détrompé par les capacités de vol ahurissantes de l’objet au cours d’un "jeu du chat et de la souris" qui a duré exactement 22 minutes.
Oscar Huerta n’est parvenu qu’une seule fois à se mettre en position de tir : "Mais l’objet a semblé absorber les projectiles qui n’ont occasionné aucun dommage visible" a-t-il expliqué.
Cette incroyable poursuite a été observée à distance par les quelque 1800 personnes présentes sur la base ce jour-là.
A ceci près, que sa rencontre avec un ovni l’a conduit à partager la table du prince Philip, l’époux de la reine d’Angleterre.
Affecté à la base de Sculthorpe, au Royaume-Uni, il a été missionné en janvier 1962 avec son équipage pour aller à la rencontre d’un objet repéré par les contrôles radars londoniens entre Stonehenge et Oxford.
L’objet est apparu sur l’écran de son radar embarqué à bord du bombardier KB-50 J : "L’écho radar était comparable à celui renvoyé par un porte-avion ou même par le pont de Brooklyn.
Mais il était parfaitement clair avec des contours définis, indice qu’il était composé de métal.
A environ 10 km du point d’interception, l’objet, dont nous pouvions voir les lumières alignées comme les feux de position d’un navire, a semblé s’animer.
Il est devenu incroyablement brillant.
Puis, soudain, il est parti verticalement à une vitesse fantastique."
Quelques semaines plus tard, George Filer et son équipage ont eu la surprise de recevoir une invitation du duc d’Edimbourg qui s’est montré "chaleureux, amical et très intéressé" par leur aventure.
Le prince Philip leur a confié qu’il avait déjà débriefé en plusieurs occasions des pilotes après leur rencontre avec un objet volant non identifié, rappelant que son oncle, le duc Mountbatten, avait lui-même observé de très près un ovni.
Les six représentants du Congrès ont aussi eu droit à leur lot d’anciens agents des services de renseignements, les traditionnels "whistleblowers" (chuchoteurs de secrets) faisant état de bases secrètes où seraient détenus des aliens et de technologies extra-terrestres étudiées par le Pentagone…
L’ufologue Richard Dolan a ainsi présenté une vidéo de 15 minutes dans laquelle un homme de 77 ans,qui se présente comme un vétéran de la CIA assez mal en point relate une histoire digne d’un scénario de X Files, où l’on retrouve Roswell, la Zone 51, le président Eisenhower, des "petits gris", Edgar J. Hoover etc.
Hellyer a fait irruption dans le monde ufologique avec un discours mémorable prononcé en 2005 à l’université de Toronto.
Il y déclarait :"Les OVNIs sont aussi réels que les avions", "Le secret qui couvre toutes les questions se rapportant à l’incident de Roswell est sans précédent !"
"L’administration Bush a autorisé les militaires à construire une base avancée sur la lune", "Les États-Unis mettent au point des armes qui pourraient être utilisées contre les extraterrestres"…
Selon Paul Hellyer, les États-Unis travaillent en étroite collaboration avec deux races d’extraterrestres, dont les fameux grands blancs White Talls (Grands Blancs).
Mais qui sont loin d’être les seuls "touristes" cosmiques.
"Je pensais que nous étions visités en permanence par cinq races différentes, mais, il y a quelques jours, je suis tombé sur un document qui en dénombre au moins vingt" dit-il.
Grâce à ces fructueux transferts de technologies, les États-Unis détiennent le secret d’une énergie libre inépuisable, gratuite et non polluante.
Mais, bien entendu, pour de sombres intérêts économiques, le gouvernement américain refuse d’offrir à l’humanité cette énergie miraculeuse qui pourrait sauver la planète. Après tout, pourquoi pas…
"Nos problèmes ne sont pas naturels, ils ont été provoqués par une très petite élite de gens riches impitoyablement avides de pouvoirs, qui ont maintenu la population dans l’ignorance la plus totale" dit-il , puis mentionne les différents cartels "non élus" qui opèrent dans l’ombre, avec au sommet le cartel bancaire et financier suivi du cartel pétrolier et de la corporatocratie.
"Leur plan est de créer un nouvel empire, ils appellent cela le Nouvel ordre mondial (NWO)"
Il aborde divers sujets, dans une démarche d’informer le monde sur la "vérité" et de "divulgation totale", du crash de Roswell (et la présence d’autres "espèces") à la prise de contrôle par l’élite, l’impasse de la dette ou encore l’arnaque du 11 septembre, le TTIP, le schéma de Ponzi créé par les banques et la mise en esclavage des peuples .
Citizen Hearing On Disclosure (FRENCH subtitles)
https://www.youtube.com/watch?v=MrcERSmksos
Leslie Kean : "la réalité d’objets volants non identifiés n’est pas une question de croyance, d’opinion ni de choix ; c’est un fait. Ces objets peuvent être observés par de multiples témoins, photographiés, détectés par des radars, et laisser des marques au sol".
Steven M. Greer : Le "gouvernement de l’ombre" possède une gigantesque puissance géopolitique grâce à la centralisation des systèmes énergétiques et financiers.
Tout système Sur-Unitaire (Énergie libre et abondante) pourrait décentraliser leur pouvoir et c’est la principale raison pour laquelle ils veulent maintenir ces technologies secrètes.
Ils sont prêts à laisser la situation environnementale se dégrader afin de maintenir leur contrôle aussi longtemps que possible.
Site : http://www.citizenhearing.org/