Les Programmes Spatiaux Secrets et les Alliances Extraterrestres ne datent pas d'aujourd'hui !
Le 11 juin 1985, le président américain Ronald Reagan a fait un aveu étonnant dans son journal présidentiel : "Lunch avec cinq des meilleurs scientifiques de l’espace. Ce fut fascinant. L’espace est vraiment la dernière frontière, et certains développements accomplis en astronomie, etc., s’apparentent à de la science-fiction, sauf qu’ils sont réels. J’ai appris que notre navette avait la capacité de mettre en orbite 300 personnes !"
À l’époque, le programme de la navette spatiale prévoyait un maximum de onze personnes par véhicule et on n’avait construit que cinq vaisseaux destinés au vol spatial.
Même si ces cinq navettes avaient été remplies au maximum de sa capacité au décollage, il aurait été impossible de placer et maintenir en orbite 300 astronautes.
Les implications de ce que Reagan révélait au grand jour avec la publication de ses Écrits personnels étaient ahurissantes.
Il disait ainsi au monde entier qu’il avait été mis au courant de l’existence d’un programme de navette spatiale entièrement distinct de celui de la NASA et pouvant placer en orbite des centaines d’astronautes.
De plus, Reagan révélait que ces 300 astronautes secrets pouvaient rester en orbite pour une durée indéterminée, ce qui indiquait l’existence d’une ou de plusieurs stations spatiales en orbite autour de la Terre.
Ces stations devaient être beaucoup plus grosses que le Skylab de la NASA, qui, durant les six années où il fut en orbite (1973-1979), ne pouvait accommoder que trois membres d’équipage à la fois.
Avec son budget limité, sa surveillance civile et ses technologies de propulsion spatiale, la NASA était certainement incapable de réaliser dans l’espace ce que Reagan disait possible en 1985.
Qui donc était responsable de ce deuxième programme de navette spatiale si la NASA ne l’était pas ?
De toute évidence, il s’agissait d’un programme secret d’origine militaire ou commerciale.
L’idée d’un Programme Spatial Secret utilisant des technologies de propulsion pouvant transporter des astronautes jusqu’à une ou plusieurs stations spatiales en orbite autour de la Terre fut renforcée par la poursuite intentée contre le pirate informatique britannique Gary McKinnon par le département de la Justice des États-Unis. McKinnon a réussi à faire suspendre son extradition aux États-Unis pour avoir piraté les ordinateurs gouvernementaux et militaires afin de trouver des preuves de dissimulation concernant les ovnis.
La demande d’extradition déposée par le département de la Justice faisait état de dommages irréparables causés par cette violation de sécurité, décrite comme "le plus grand piratage d’ordinateurs militaires de tous les temps".
Un reportage de la BBC décrivait toute l’étendue des revendications du département de la Justice, selon l’un de ses procureurs :
"Le gouvernement des États-Unis allègue que, entre février 2001 et mars 2002, ce Londonien quadragénaire passionné d’informatique a infiltré des douzaines d’ordinateurs de l’armée, de la marine, de l’aviation et du département de la Défense des États-Unis, ainsi que 16 ordinateurs de la NASA. Ce piratage aurait causé aux systèmes informatiques du gouvernement des dommages s’élevant à 700 000 $. De plus, on soutient que M. McKinnon a modifié et supprimé des fichiers d’une station aéronavale américaine peu de temps après les attentats terroristes du 11 septembre 2001, et que cette attaque a rendu inopérants des systèmes essentiels.
Le gouvernement américain affirme également que M. McKinnon s’en est déjà pris à tout un réseau de 2 000 ordinateurs militaires dans l’intention présumée d’accéder à des informations confidentielles."
Il importe de préciser qu’en effectuant cette demande d’extradition le département de la Justice se trouvait à confirmer que McKinnon avait réussi à pirater plusieurs ordinateurs de la NASA et du Pentagone afin d’accéder à des fichiers confidentiels.
McKinnon a admis les accusations de piratage et révélé qu’il cherchait à trouver des preuves que le gouvernement dissimulait des technologies relatives aux ovnis pouvant aider l’humanité. Il a dit qu’il était tombé sur des dossiers secrets du Pentagone et de la NASA contenant une liste "d’officiers non terrestres" et un tableau décrivant en détail des "transferts entre flottes".
Il a aussi affirmé avoir vu une photo montrant dans l’orbite terrestre un gros objet en forme de cigare qui pouvait très bien être une station spatiale secrète.
"Il se trouvait au-dessus de l’hémisphère nord et il ressemblait un peu à un satellite. Il était en forme de cigare, avec des dômes géodésiques sur le dessus, en dessous, à gauche, à droite et aux deux extrémités, et, même s’il s’agissait d’une image à basse résolution, c’était un très gros plan. Cet objet était suspendu dans l’espace, l’hémisphère terrestre était visible en dessous, et il ne portait ni rivets ni joints, ni rien des caractéristiques normales d’une fabrication humaine."
Dans sa lutte contre son extradition, McKinnon a fini par prévaloir au bout de dix ans sur le département de la Justice des États-Unis6. Le simple fait que ce département l’ait poursuivi pour avoir accédé à des informations secrètes étaye directement ses allégations selon lesquelles il aurait vu dans les ordinateurs du Pentagone et de la NASA des dossiers informatiques comportant des ovnis en forme de cigares dans l’orbite terrestre, des "officiers non terrestres" et des "transferts entre flottes". Les dossiers secrets auxquels McKinnon avait accédé révélaient très probablement l’existence d’un Programme Spatial Secret impliquant des astronautes dans des stations spatiales en orbite.
Il n’est pas difficile de croire à l’existence d’un groupe d’astronautes secret puisque l’US Air Force (la Force aérienne des États-Unis) en avait déjà créé un.
Le 10 décembre 1963, le projet Manned Orbiting Laboratory (Laboratoire orbital habité – MOL) fut annoncé publiquement par le président Johnson, qui a déclaré lors d’une émission télévisée : "Je charge aujourd’hui le département de la Défense de procéder immédiatement au développement d’un laboratoire orbital habité. Ce programme nous fournira de nouvelles connaissances sur les capacités de l’humain dans l’espace."
Ce projet consistait à construire dans l’orbite terrestre, au moyen du vaisseau spatial Gemini, une station spatiale habitée qui effectuerait des missions de surveillance.
Il fut abandonné officiellement en juin 1969, trois ans avant le premier vol officiel, parce qu’il était moins dispendieux de placer en orbite des satellites espions non habités.
Ce qui n’avait pas été mentionné lors de l’annonce du projet de laboratoire orbital habité, c’est que l’US Air Force (l’USAF) commencerait à entraîner secrètement des pilotes militaires en janvier 1964 dans le cadre du programme de laboratoire orbital, en même temps qu’elle en formerait pour le programme civil de la NASA. Dans la transcription d’une émission de PBS, il est question du secret entourant le programme d’entraînement parallèle des astronautes militaires :
Le narrateur : "Dirigée par Chuck Yeager, qui fut le premier humain à franchir le mur du son, l’ARPS était une école où l’on formait, pour qu’ils deviennent des astronautes du programme spatial civil de la NASA, quelques pilotes militaires possédant les qualités appropriées. Cette année, ce fut différent."
Richard Truly : "Au cours de notre année d’études, alors que l’automne approchait, nous nous sommes rendu compte que quelque chose de bizarre se passait. En fait, on procédait secrètement au choix d’un équipage."
James Bamford : "À leur insu, ils étaient en réalité en compétition les uns avec les autres dans ce programme.
Ils étaient surveillés et évalués par ces gens-là afin de voir lesquels seraient les meilleurs astronautes.
Ce programme était tellement secret que même les astronautes potentiels n’étaient pas au courant8."
Le programme de laboratoire orbital habité de l’USAF confirme que l’on avait commencé en 1964 à entraîner secrètement des pilotes militaires pour des missions spatiales secrètes, aux côtés de collègues qui serviraient plus tard comme astronautes de la NASA…
Extrait de Programmes spatiaux secrets et alliances extraterrestres par Michael E. Salla PhD
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Publié par LaPresseGalactique.org dans Ariane Editions