Les Croyances forment la Cohérence de Votre Horizon de Vie !
Le groupe Miriadan via Magali
Les croyances forment la cohérence de votre horizon de vie.
Vous modelez à chaque instant votre environnement selon la façon dont vous projetez autour de vous, à partir de vos certitudes, doutes et limites.
Il n'existe pas la Vérité au sens où vous l'entendez, car celle-ci se trouve dans l'intégralité de la Création, au niveau de l'Un.
Cependant, nous sommes tous créateurs de vérités puisque nous les matérialisons en nous et autour de nous.
Chacun de nous vit selon ses propres principes de fonctionnement.
Et aussi ses illusions puisque nous faisons partie d'un univers qui possède des trésors, et aussi des limitations dans la compréhension du Jeu de l'Un.
Peut-on penser que la Vie elle-même génère des croyances ?
Oui, cela est compréhensible.
Si nous nous ouvrions à la Vérité de l'Un, sans plus de limites ou de partialité, nous ne pourrions répondre à son souhait d'explorer ses profondeurs.
Vous nous faites l'honneur d'être à l'écoute de nos messages.
Chacun d'entre eux n'est en aucun cas la Vérité.
Ils sont porteurs de nos croyances, de celles des médiums et de la culture de l'époque au cours de laquelle nous vous expliquons concepts ou historique.
Un message est toujours filtré par les grilles géométriques qui vous (nous) définissent.
Aujourd'hui vous procédez à votre éveil, c'est-à-dire à recouvrer votre mémoire et vos origines.
Aujourd'hui vous appelle à exercer un discernement expansé.
Ne nous voyez plus comme omniscients, nous ne le sommes pas.
Nous sommes capables de vous parler de la mise en place de votre naissance, de nos anciennes guerres et de notre rôle auprès de vous.
Nous ne pouvons vous dessiner votre futur car il vous appartient.
Nous avons nous aussi nos limites.
Nous ne disposons que d'une trame que vous mettez en place dans l'instant présent.
Gardez en votre conscience que toute information n'est que partielle, et partiale, un abécédaire qui s'adapte à votre vibration.
Acceptez que nos messages reçoivent vos doutes, un recul salutaire, avant de valider ou infirmer ce qui vibre en vous.
Cherchez votre accord intime au milieu de nos fréquences.
Et étendez-le pour faire vôtre ce qui vous est proposé. Ou pas.
Quelle que soit la lumière de l'être qui partage avec vous ses croyances, ces éléments restent regard fragmenté et dépendants d'expériences individuelles.
Votre rôle est de recueillir ces perspectives éparpillées pour en faire un tableau reconstitué.
C'est ainsi que le Centre que vous incarnez illuminera les consciences des êtres en espérance, par l'apport d'une compréhension plus vaste et plus sage.
Aucun de nous n'est meilleur que vous.
Nous avons simplement une place spécifique dans le Jeu cosmique.
Prenez votre responsabilité, celle qui vous parle d'égalité et de justice, et de Choix en toute conscience.
Marchez joyeusement parmi vos croyances et amusez-vous à les changer, à les redisposer dans votre trame individuelle.
C'est ainsi que vous approcherez d'une vision élargie qui nous propulsera tous vers de nouvelles vérités.
Il est clair que pour appréhender la vérité de la source nous ne pouvons faire autrement que d’avancer pas à pas, de croyances en croyances, afin que le mental puisse rester cohérent et que les énergies relatives à ces points de vue qui peuvent être envisagés comme des contextes d’apprentissage, s’intègrent en nous par l'expérimentation.
Le fait que nous soyons constitués de plusieurs corps eux-mêmes fonctionnant selon leur perspective, leur intelligence et leur langage propres, étant reliés et interconnectés à différentes dimensions, rend complexe la compréhension de qui nous sommes et comme ils sont tous autonomes, les conflits peuvent avoir lieu simplement par leur façon d’être différents.
Ce qui peut amener de la complexité et aussi ce qui va nous permettre d’accéder à la connaissance de soi et de cultiver notre discernement, d’affiner nos perceptions.
Si notre conscience s’ouvrait d’un seul coup, nous ne pourrions plus fonctionner dans le monde, nous serions en parfait décalage et le but à mon sens n’est pas de s’extraire du monde mais bien d’y vivre pleinement selon notre vision et nos valeurs.
On peut s’en rendre compte aussi au niveau du mental qui est une extension de la conscience, lorsqu’on projette une vision de ce que nous sommes, selon l'idée qu'on se fait de la source, on est vite dépassé par les notions telles que l’infini, l’éternité.
On peut comprendre le fait que nous soyons issus de la source et donc frères et sœurs mais c’est à partir de tous nos corps que ceci doit être intégré puis validé et enfin manifesté.
Je vois les croyances comme des repères, des jalons qui nous permettent de passer d’un conditionnement à un autre jusqu’à ce que nous ayons développé suffisamment de conscience/confiance en soi et en la vie pour ne plus avoir besoin de nous y accrocher.
La connaissance de soi, de l’intérieur et le désir de paix, d’harmonie, permettent de savoir qui on est afin de pouvoir agir selon nos aspirations, nos valeurs.
Lorsque nous arrivons sur terre, nos adoptons les croyances de nos parents, de la société, par nécessité, par instinct de survie et à l’adolescence on les remet en question, on se rend compte qu’on est conditionné et on réagit soit par la soumission, soit par la rébellion, soit par rejet parce que le modèle proposé ne nous convient pas, soit par attraction parce qu’il correspond à nos valeurs intimes.
Mais dans les deux cas il nous faudra faire l’expérience de ces croyances et sortir des conditionnements afin de nous connaitre, nous reconnaitre et honorer nos valeurs personnelles, celles qui correspondent à notre propre vision de la réalité.
C’est en sortant des conditionnements que les croyances deviennent obsolètes mais on a besoin de les remplacer par de nouvelles croyances qui seront de nouvelles hypothèses, de nouvelles façons d’appréhender le monde que l’expérience pourra valider ou non.
Quand j’ai cru au pouvoir de l’amour, au message du christ, c’est le ressenti qui me l’a dévoilé, puis l’expérience qui me l’ont confirmé.
Mais il a fallu que je me sente prisonnière, frustrée par les conditionnements de l’église pour que je m’ouvre à autre chose.
Et pour cette raison quand j’ai commencé à lire les messages de Jeshua, canalisés par Pamela Kribbe, la résonance était telle, que j’ai pu lâcher mes anciennes croyances afin de m’approcher de ce qui correspondait au plus près de ma vision d’alors mais surtout de mon ressenti. Mais je n'ai pas tout validé d'emblée, j'ai pris uniquement ce qui m'était utile, ce qui me permettait d'avancer dans la connaissance intime de soi et la capacité d'aimer.
Les messages canalisés, à mon sens, sont des infos, des hypothèses qui nous ouvrent sur d'autres réalités.
Ce sont des infos dont l'origine importe peu mais qui sont tout aussi viables que celles venant d'humains.
Leur objectif est plus de nous ouvrir, nous aider à sortir des conditionnements plutôt que de nous figer dans une pseudo vérité qui de plus est filtrée par la personne qui reçoit l'info.
Tout ce qui nous permet de devenir plus conscient, lucide et bienveillant, est intéressant mais ça reste un point de vue subjectif qui demande d'user de discernement, d'utiliser la résonance du cœur afin de cultiver la confiance en sa capacité de discerner, de savoir ce qui est juste pour nous-même.
D'apprendre à se fier à son propre ressenti, sa propre sagesse et guidance interne.
Toute rencontre virtuelle ou physique, nous renvoie toujours à nous-même, à notre façon d'y réagir, de la percevoir et de l'intégrer.
Plus je prends confiance en ma propre guidance, plus je ressens la vibration de paix, d’harmonie, de joie, de l’intérieur, et moins je ressens le besoin de lire des messages canalisés.
Je ne les ai jamais considérées comme des vérités absolues puisque l’absolu ne fait pas partie de ce monde, chacun détient sa propre vérité, son chemin unique, mais plutôt comme des béquilles, des jalons me permettant de lâcher les croyances invalidantes.
Ensuite, en développant l’écoute, l’intuition, le ressenti au niveau du cœur, la résonance, ce sont les illusions qui sont perçues, on voit que bon nombre de nos croyances sont basées sur la peur, qu'elles sont plus des superstitions, des fantasmes que des réalités.
Et on n’est plus obligé de s’appuyer sur des croyances quand on connait les faits.
Les faits, c'est-à-dire la connaissance de nos corps, de leur composition et leur fonction respective.
Puis la façon dont ils s’alignent lorsqu’on se confie à la source intérieure, dans le désir/état de paix et d’harmonie, d’équilibre, rendent inutiles les croyances.
Du moins, elles montrent leur caractère illusoire ou superficiel, superflu pour certaines d’entre elles.
On le voit à l’échelle de l’évolution de l’humanité, les croyances du moyen-âge ne font plus de sens depuis les découvertes scientifiques.
Même si ce sont encore des vérités pour certains, le problème, c’est justement quand ils sont attachés à ces croyances, quand ils en font des vérités, des règles, des lois.
Et même la science, elle reste très souvent attachée à des principes qui sont faux, simplement par intérêt, pour conserver son hégémonie, son pouvoir, sa figure d’autorité. La croyance est la forme qui nous pousse à chercher le fond mais si on en fait une vérité, on s’enferme dans un dogme, on s'identifie à la forme par nature changeante, éphémère et bien souvent illusoire.
Il est beaucoup plus facile de lâcher une croyance lorsqu’on sait que ce sont des conditionnements et plus on se dépouille de ces étiquettes, plus on est en confiance.
Les croyances perçues comme des interprétations aléatoires de la réalité, nous aident à aller à la rencontre de l’être véritable et lorsqu’on sait intuitivement et jusque dans sa chair, ce qu’on est, on constate qu’on ne peut pas limiter cette vibration/sensation par une étiquette. On va découvrir peu à peu la vérité de l’Être en se dépouillant des conditionnements, en libérant la personnalité des masques, des jeux de rôle.
On ne s'attache plus à notre histoire, à nos souffrances, par besoin ou par ignorance.
Quand on apprend à reconnaitre la fonction des corps subtils et leur langage, leur mode de perception, on comprend que c’est cette connaissance là qui nous est nécessaire et qu’en comprenant/embrassant tout ce que nous sommes, nous pouvons savoir ce qu’est le monde, ce que sont les humains, suffisamment pour être en relation.
Des relations authentiques basées sur le respect mutuel, la sincérité.
On n’a plus besoin de croire et de convaincre, on est tout simplement, en sachant et en acceptant aussi l’impermanence des choses, leur caractère cyclique et éphémère.
Lorsqu’on est dans l’amour véritable de soi, l’acceptation de ce que nous sommes et de ce qui se manifeste à l’intérieur sachant que c’est la périphérie de l’être, l’expression colorée du vivant en soi, de l’énergie en perpétuel mouvement, le cœur/conscience devient la référence.
L’abandon des croyances limitantes dans l’offrande à la source des peurs, des mouvements internes, des crispations, révèle l’être véritable complet.
Peu à peu, la source en nous va resituer l’ordre, redonner à chaque corps sa fonction originelle, sa juste place et dans le désir d’harmonie, de paix, de réconciliation, tout ce que nous sommes va s’aligner aux fréquences de l’Un, de l’unité.
On est alors plus dans la croyance mais on devient vivant, les énergies de vie, le masculin, le féminin, l’énergie sexuelle, s’alignent et on devient conscient de Qui nous sommes.
Conscient aussi que nous sommes tellement immenses, complets et complexes, que la recherche de sens est remplacée par le désir d’être vrai à chaque instant.
Les croyances sont des constructions mentales qui nous coupent de notre ressenti, elles sont des filtres, des protections et des directions, des stratégies de survie qui sont des révélateurs. Les croyances stratégies de survie, révèlent nos besoins et aspirations profondes, en ce sens, elles nous révèlent à nous-même.
Lorsqu’on est en confiance, confiance en soi, en la source et en la vie, les croyances illusoires, les protections, les barrières tombent une à une.
Essayer de nommer la source, s’attacher à des visions, des canalisations, s’identifier à un seul aspect de l’être nous limite et nous empêche de goûter à la paix et l’amour inconditionnel que nous sommes.
Je constate qu’en observant les conditionnements, les stratégies de survie et en appelant mes corps à s’unir à l’amour, la paix et l’harmonie, s’installent.
Ma conscience s’ouvre et s’élargit tout comme ma capacité d’aimer.
Plus je me découvre et plus je me rends compte de la merveille de cette constitution complexe, cet ensemble de dimensions subtiles et plus je me dis que le but n’est pas de connaitre en détail mais de faire en sorte que tout ce que je suis puisse cohabiter, vivre dans le respect mutuel et l’harmonie, co-créer à l'unisson.
Et c’est en cherchant l’équilibre, le juste milieu en toutes choses, que je peux manifester ma vie telle que je veux la vivre.
Mais là encore, c’est un apprentissage permanent, un chemin où la première étape consiste à lâcher les conditionnements.
A voir ce qui est, puis en acceptant cela, en le reconnaissant sans chercher à tout prix à s’en défaire mais juste en devenant conscient de ce qui se joue à l’intérieur, sans juger ou nier, le cœur fait le ménage tout naturellement.
Alors évidemment ça fait peur parce qu’on ne sait plus où on va, on perd notre identité passée, celle qu'on croyait être, mais comme la confiance s’installe avec la connaissance, l’acceptation de soi, comme la seule chose à faire, c’est de se laisser être, de faire confiance à la vie, à l’âme qui savent exactement ce qu’elles font, le peur devient juste une indication, elle n’est plus perçue comme une vérité, une ennemie et ça change tout.
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http://groupemiriadan.blogspot.fr