Pharma Co voit suspendue sa licence de mise sur le marché d’un Vaccin Antitétanique accusé d'avoir stérilisé 500.000 femmes et enfants au Kenya !
Filibert : Beaucoup de campagnes de vaccinations sont utilisées aujourd'hui pour réduire la population soit par maladie avec la Nagalaze présente dans les vaccins utilisés en France, et qui bloque les défenses immunitaires des organismes, dans le cadre des 11 vaccins obligatoires, soit avec des produits stérilisants comme l'hormone HCG ou même l'Aluminium qui s'attaque aux ovules ! Le Gouvernement Mondial de l'Ombre veut réduire la population de plus de 90% et donc tous les produits toxiques sont favorisés dans notre consommation ! Nos Élus ne travaillent pas pour notre bien, mais pour des intérêts occultes bien cachés aux peuples !
Selon les dirigeants de l’opposition et le public, une stérilisation forcée à grande échelle, parrainée par l’État, aurait eu lieu en Afrique.
Un laboratoire pharmaceutique industriel a depuis lors vu sa licence suspendue par le Kenya Accreditation Service en raison de la controverse.
Le leader de l’opposition kenyan Raila Odinga, qui a été assermenté mardi en tant que président, a affirmé qu’au moins 500.000 jeunes filles et femmes pourraient être stériles à la suite d’un vaccin antitétanique administré par le gouvernement en 2014 et 2015.
La controverse a commencé à prendre de l’ampleur en 2016 lorsqu’Agriq-Quest Ltd, une société pharmaceutique basée à Nairobi, a eu un différend avec le ministère de la Santé du Kenya au sujet de ses vaccinations contre le tétanos et la polio.
À l’origine, un groupe de médecins catholiques a porté des accusations selon lesquelles les vaccins pourraient contenir une hormone qui est dangereuse pour les jeunes femmes et qui pourrait causer la stérilisation.
Comme l’a rapporté l’Agence de Presse Africaine :
M. Odinga a déclaré que les filles et les femmes âgées de 14 à 49 ans appartenant aux populations dont la croissance démographique est la plus rapide dans le pays n’auront pas d’enfants, en raison d’un exercice de stérilisation parrainé par l’État qui a été présenté au pays en tant que vaccin contre le tétanos.
L’Église catholique a été ignorée lorsqu’elle a organisé une campagne énergique mais solitaire contre la vaccination de masse contre le tétanos, après avoir dit ses inquiétudes quant à l’innocuité du vaccin utilisé, a-t-il dit.
À l’époque, l’Église catholique du Kenya prétendait que le vaccin contre le tétanos utilisé par le gouvernement du Kenya et les agences de l’ONU était contaminé par une hormone (hCG) qui pouvait provoquer des fausses couches et rendre certaines femmes stériles.
“La position de l’Église a été prise après connaissance de ce qui s’est passé au Mexique, au Nicaragua et aux Philippines, où les différents gouvernements, en collaboration avec l’OMS/UNICEF, ont mené des campagnes similaires utilisant l’anatoxine tétanique imprégnée de gonadotrophine chorionique humaine bêta (BhCG) qui cause l’infertilité permanente chez les filles et les femmes”, poursuit Odinga.
Odinga dit qu’ils ont confirmé par l’analyse des échantillons que les vaccins utilisés étaient contaminés par l’hormone.
Aujourd’hui, nous pouvons confirmer au pays que l’Église catholique avait raison.
Des centaines de milliers de nos filles et de nos femmes, âgées de 14 à 49 ans, issues des populations dont la croissance démographique est la plus rapide du pays, n’auront pas d’enfants à cause de la stérilisation financée par l’État qui a été présentée au pays en tant que vaccin contre le tétanos”, a-t-il déclaré.
Après la suspension du permis d’Agriq-Quest, l’entreprise a pointé du doigt le gouvernement.
Elle prétendait que la décision du gouvernement de suspendre leur permis était due au fait qu’Agriq-Quest avait refusé de leur faire subir les examens par des médecins.
Selon Business Daily Africa, quand Agriq-Quest a effectué les tests sur les vaccins, ils ont trouvé que les soupçons de l’Église catholique étaient justes.
Comme le rapporte BDA, “Les résultats des tests effectués sur les échantillons ont montré que les vaccins étaient contaminés, comme l’avait prétendu l’Église catholique, et Agriq-Quest a affirmé que le gouvernement voulait que les résultats soient modifiés pour montrer qu’ils étaient aptes à être administrés aux femmes et aux enfants.”
Selon Odinga, tel que rapporté par l’APA, le gouvernement, pour une raison mystérieuse, était déterminé à tromper le pays, tout en stérilisant intentionnellement les filles et les femmes kenyanes.
“Les vaccins ont été un grand crime commis contre les femmes. Les femmes devraient choisir quand avoir des enfants et comment les espacer”, a-t-il dit.
Il est important de souligner que la croyance selon laquelle les vaccinations contre le tétanos stérilisaient les citoyens a été longtemps controversée au Kenya et qu’elle a été réfutée avant ces allégations.
En outre, après que la discussion eut été entamée, et en dépit des tests montrant une contamination, l’UNICEF et l’Organisation mondiale de la Santé ont déclaré par la suite que les vaccins étaient sûrs et achetés auprès d’un fabricant présélectionné.
Cependant, selon Odinga, ils ont eu accès à l’analyse de quatre institutions très appréciées, comme Agriq Quest Ltd, les Laboratoires de l’hôpital de Nairobi, l’Université de Nairobi et Lancet Kenya.
“Ces résultats indiquent tous que le vaccin anatoxine contre le tétanos présentait un taux élevé de gonadotrophine chorionique humaine bêta (BhCG) qui cause la stérilité chez les femmes.”
(Pour la vidéo, sous-titres disponibles en français : Cliquez sur ‘Sous-titres’; si ce n’est pas en français : allez dans ‘Paramètres’, ‘Sous-titres’ et pour changer la langue cliquez sur ‘Traduire automatiquement’, vous aurez un vaste choix de langues.)
https://www.youtube.com/watch?v=4PA_ZV6SSKo
Traduction : PFC Francophone
de Edward Morgan
Source: http://thefreethoughtproject.com/pharma-co-vaccine-license-sterilization/?utm_source=getresponse&utm_medium=email&utm_campaign=rssfeednewsletter&utm_content=The+Free+Thought+Project+Newsletter
Lire en : English
https://fr.prepareforchange.net/2018/02/08/pharma-co-voit-suspendue-sa-licence-de-mise-sur-le-marche-dun-vaccin-accuse-de-sterilisation-de-500-000-femmes-et-enfants/