Révélations sur les esclaves humain dans les colonies spatiales secrètes – 2/2 — Multiplication des témoignages de dénonciateurs de l’esclavage sur la Planète Mars !
La controverse sur le travail des esclaves s’amplifie avec la multiplication des témoignages de dénonciateurs !
Lire la 1ère partie : https://changera.blogspot.fr/2018/01/des-esclaves-dans-les-colonies.html
Robert David Steele, un ancien fonctionnaire de la CIA et de la US Marine Corps Intelligence, a fait la manchette mondiale lorsqu’il a été interviewé par Alex Jones le 29 juin, et a déclaré que, selon ses sources confidentielles, il y a des colonies d’esclaves sur Mars et ils utilisent des personnes qui avaient été kidnappées de la Terre quand ils étaient enfants.
Steele a souligné que les enfants avaient été emmenés sur Mars via "un voyage de 20 ans", dont le but était de s’assurer qu’à leur arrivée, ils étaient des adultes qui pouvaient être mis au travail.
L’émission de télévision, Alternative 3, a décrit comment la détérioration des conditions environnementales mondiales a conduit les grandes puissances, les États-Unis et l’URSS, à collaborer secrètement en coulisses, pour assurer la survie de l’espèce humaine.
À cette fin, les États-Unis et l’URSS, au début des années 1970, avaient établi secrètement des colonies sur Mars et les peuplent par tous les moyens possibles.
L’émission a été qualifiée de canular destiné à être publié le jour du Poisson d’Avril, mais beaucoup de téléspectateurs pensaient autrement.
Cela comprenait dont l’enquête de Watkins qui a révélé plus d’informations qui l’ont amené à écrire le livre, Alternative 3.
Watkins a dit qu’il a rencontré une source ‘gorge profonde’ appelée "Trojan" qui a fourni des documents révélant apparemment que l’existence des colonies de Mars était bien réelle, et des gens y étaient amenés secrètement, certains par la force et les enlèvements.
Pour des raisons évidentes, nous ne pouvons pas révéler l’identité de Trojan.
Nous ne pouvons pas non plus donner un indice sur sa fonction ou son rang dans l’opération.
Nous sommes tout à fait satisfaits, cependant, que ses lettres de créance se soient avérées authentiques et que, dans cette rupture de son serment du silence, il soit motivé par les motifs les plus honorables.
Il s’oppose à la conspiration d’Alternative 3 dans la même option que l’informateur anonyme "Deep Throat" a occupé dans l’affaire Watergate. [Emplacement Kindle 269-272].
Watkins a décrit deux catégories de personnes qui ont été amenées sur Mars selon Trojan :
Ces professionnels, ainsi que nous l’avons établi, ont classé les personnes sélectionnées pour l’opération Alternative 3 en deux catégories : celles qui sont choisies individuellement, et celles qui font simplement partie d’un "lot selon leurs fonctions".
Il y a eu plusieurs "lots selon leurs fonctions" et c’est le traitement imposé à la plupart de ces hommes et femmes qui constituent la plus grande cause de l’indignation. [Kindle Locations 300-303].
Watkins décrit comment les personnes amenées dans le cadre des "lots selon leurs fonctions" vers Mars, deviennent une réserve de travailleurs esclaves.
Il a donné comme exemple un petit groupe de 20 individus qui ont été emmenés là-bas de force :
La plupart des 20 manquants ont été décrits comme des "types hippy", bien qu’il y ait eu des gens âgés parmi eux.
Des gens de ce calibre, nous l’avons découvert, auraient été ce qu’on appelle "scientifiquement ajustés" pour les adapter à un nouveau rôle d’une espèce esclave.
Watkins, Leslie (2015-12-14T22: 58: 59).
Alternative 3 : Le Culte Classic Sci-Fi de 1978 Republié avec du Nouveau Matériel (Kindle Locations 352-354].
Dans l’avant-propos de la version republiée de 2015 de son livre, le fils de Watkins, Graham, a fourni des statistiques pour aider à étayer la revendication de Watkins sur les enfants enlevés qui ont été enlevés en grand nombre et emmenés sur Mars :
En 2010, 692.941 personnes ont été portées disparues aux États-Unis seulement – dont 531.928 étaient âgés de moins de 18 ans et il faut comprendre que, si elles étaient destinées à Mars, "les attraper jeunes" aurait du sens.
Les années supplémentaires de travail qu’ils avaient devant eux ont plus que justifié les coûts pour les mettre dans le bon état requis. [Kindle Locations 49-52].
Le chercheur suivant à discuter d’une base sur Mars, où il y aurait peut-être du travail esclave, était William Cooper, qui a servi dans l’équipe d’information du Commandant en Chef de la Flotte du Pacifique de 1970 à 1973.
Il s’est retiré avec mention honorable en 1975, après une carrière militaire de 14 ans dans la Force Aérienne Américaine et la Marine.
Cooper a déclaré qu’il avait accès aux fichiers de renseignements de la marine Américaine et, sur la base de ce qu’il avait vu, il a pu confirmer dans un article en 1989 , qu’un programme spatial conjoint États-Unis-URSS était très réel et avait été mis en place pour assurer la continuité du Gouvernement.
Cooper a déclaré que le 22 mai 1962 était la date du premier atterrissage US / URSS sur Mars, mais il a déclaré qu’il était incapable de confirmer ou de nier que le transfert des lots d’esclaves humains par fonction se produisaient !
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| Ndlr : Les expériences de Montauk de téléportation ont conduit à beaucoup d'échecs et donc de morts, surtout chez les enfants dont la physiologie était moins adaptées à la téléportation que les adultes. Le centre qui a fermé contenait beaucoup de squelettes ! |
En 1989, un entrepreneur en électricité, Al Bielek, a prétendu que lui et un autre individu (Duncan Cameron), avaient été emmenés sur Mars par une salle de saut ou dispositif de téléportation situé à Montauk, Long Island, New York.
Dans les entretiens, Bielek a confirmé l’exactitude du scénario d’Alternative 3 impliquant l’établissement de bases à la surface de Mars, impliquant les États-Unis et éventuellement l’URSS, pour un programme pour la continuité des espèces.
Bielek a dit que lui et Cameron avaient été envoyés à plusieurs reprises, par la technologie de téléportation dans des bases anciennes à l’intérieur de Mars.
Il a décrit ces bases comme ayant environ 20.000 ans, construit par des extraterrestres d’apparence humaine, et qui avaient été désertées depuis longtemps.
Bielek discute comment les enfants disparus ont été utilisés dans les expériences de Montauk comme sujets de test. Certains enfants ont été donnés comme esclaves à certains groupes extraterrestres.
Ce travail suggéré d’esclave était largement répandu dans les programmes spatiaux secrets, tout comme le prétendait le livre d’Alternative 3.
L’autre chercheur important ayant discuté du travail des esclaves utilisés sur Mars était Vladimir Terziski, un ingénieur Bulgare qui avait eu accès à de nombreux documents de renseignement publiés lors de l’effondrement du communisme en Europe de l’Est.
Pendant ce temps, de nombreux anciens agents des renseignements du Pacte de Varsovie, ont vendu des documents classifiés pour joindre les deux bouts au cours de la difficile période de la transition du communisme à une société capitaliste.
Au début des années 1990, Terziski a commencé à donner des conférences aux États-Unis dans lesquelles il partageait le contenu des fichiers SS Nazis qui faisaient référence au programme spatial secret de l’Allemagne en Europe occupée et en Antarctique.
Terziski a décrit comment, en 1942, les technologies aérospatiales les plus avancées avaient été transférées en Antarctique, laissant derrière eux les prototypes de soucoupes volantes à turbo-jet moins développées qui n’avaient pas été armées pour l’effort de guerre.
Terziski a partagé ce qu’il a appris sur les missions secrètes de l’Allemagne Nazie sur la Lune et sur Mars, y compris le grand vaisseau spatial Haunebu III qui a fait le premier voyage vers Mars en avril 1945, et a été suivi par d’autres missions lesquelles ont finalement établi des colonies Allemandes sur Mars.
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| Le document Nazi SS expose les spécifications de Haunebu III |
Terziski se réfère au travail des esclaves qui éventuellement ont été amenés sur Mars, tout comme les Allemands avaient déjà pris des milliers de travailleurs esclaves à leur refuge en Antarctique.
En effet, c’était en Antarctique que le Programme Spatial Secret Allemand a atteint son plein potentiel et que le Quatrième Reich est devenu une puissante force sous-jacente dans les affaires mondiales.
Le scénario décrit par Terziski est très différent de celui décrit dans Alternative 3.
Les responsables du travail des esclaves sur Mars étaient un groupe de scissionnistes Allemand qui opérait en Antarctique, plutôt que des enlèvements en US / URSS dans une tentative fiévreuse d’établir une colonie sur Mars, dans la crainte d’une éminente dévastation planétaire sur la Terre.
Si le compte rendu de Terziski est exact, Alternative 3 a été conçue pour révéler une partie de la vérité sur le travail des esclaves sur Mars, mais dissimule l’existence d’une civilisation scissionnistes Allemande, utilisant des technologies de soucoupes volantes ayant des bases sur la Lune, Mars et ailleurs dans notre système solaire.
Il est également possible que les situations décrites dans le livre Alternative 3 et Terziski se seraient produites simultanément.
Cela signifierait qu’un Programme Spatial Allemand très avancé a été le premier à s’établir sur Mars dans les années ‘40, et a été suivi deux décennies plus tard, par un programme conjoint États-Unis / URSS.
Ces deux programmes spatiaux utilisaient le travail d’esclaves, mais le programme Allemand était sans doute le programme le plus ancien et le plus avancé.
Bielek, plus d’une décennie plus tard, a été suivi par d’autres personnes faisant des allégations similaires, d’avoir été téléportées sur Mars dans le cadre d’un programme spatial secret géré par des entités Américaines.
La liste comprend Michael Relfe (2000), Arthur Neumann (2006), Andy Basiago (2010) and William “Brett” Stillings(2011).
Aucun de ces individus ne dit avoir été témoin ou été exploités comme esclaves sur Mars.
Tous ont signalé avoir travaillé ou vu des bases sur Mars, mais aucun n’a été témoin d’une présence Allemande.
C’était un autre dénonciateur, Corey Goode qui, au début de l’année 2015, a commencé à décrire le travail d’esclaves sur Mars , et dont il avait directement été témoin pendant un programme "20 ans et Retour" de 1987 à 2007, où à plusieurs reprises il a visité les installations Martiennes pour effectuer des réparations.
Goode dit avoir participé à une visite d’inspection sur Mars le 20 juin 2015, où il a vu des signes de traitement abusif des travailleurs qui étaient traités comme esclaves.
Cela a coïncidé avec des réunions menées par la Société Interplanétaire Britannique à discuter d’une telle situation, et à l’adoption d’une loi par le Congrès des États-Unis qui effectivement protège légalement jusqu’en 2022, les entreprises et les fonctionnaires impliqués dans le travail d’esclaves hors planète.
Selon Goode, les pratiques d’utiliser du travail d’esclaves sur les bases Martiennes étaient une continuation des colonies Allemandes antérieures.
Il dit qu’en raison des accords secrets entre l’administration Eisenhower et les Allemands en Antarctique, les installations Allemandes sur Mars ont été transformées en une coentreprise menée par les principales sociétés Allemandes associées au Quatrième Reich, lequel a travaillé en étroite collaboration avec des sociétés Américaines qui ont fourni personnel et Ressources.
Ces projets transnationaux hors planète ont évolué dans le temps vers ce que Goode décrit comme le “Conglomérat Interplanétaire de Corporations “.
Les militaires des États-Unis fourniraient secrètement du personnel au conglomérat d’entreprise sur Mars et ailleurs, de la même manière que le personnel des Forces spéciales est en sous-traitance à partir de la CIA pour les opérations clandestines.
La possibilité que les entreprises soient profondément impliquées dans des programmes spatiaux secrets qui utilisent des millions de personnes pour du travail d’esclaves a été renforcée par le témoignage de William Pawelec, un expert en informatique et en programmation, qui a donné l’autorisation d’une entrevue vidéo devant être publiée après sa mort, – laquelle a été publiée à titre posthume le 14 décembre 2010.
Pawelec a été impliqué dans le développement des puces de RFID qui pourraient être utilisées pour protéger les enfants contre les enlèvements comme il l’a décrit dans son interview vidéo.
Au moment de l’industrie de la sécurité, beaucoup d’entre nous avions beaucoup de soucis concernant le traçage et la localisation des personnes qui avaient été enlevées.
En particulier, ce qui se passait en Europe à l’époque où nous avions eu des officiers de l’OTAN, et même que le Premier Ministre Italien, qui avaient été enlevés.
Ces personnes ont été vidées [de leurs informations] ou elles ont été brutalisées ou les deux…
L’un des objectifs de l’industrie était de développer une technologie qui nous permettrait de tracer ces personnes ou de les localiser rapidement.
Pawelec a décrit comment la Siemens Corporation, une entreprise qui utilisait le travail d’esclaves en Allemagne Nazie pour ses programmes d’armement, a produit des milliards de puces de repérage RFID au début des années ‘80.
Siemens a mis en place une société de front de Silicon Valley pour produire ces puces de suivi de manière à cacher leur véritable objectif: suivre le travail des esclaves utilisés dans les programmes spatiaux secrets par le Conglomérat Interplanétaire de Corporations, dont Siemens est un membre très important.
Cela nous ramène enfin à la Déclaration de Steele concernant le travail des esclaves sur Mars, où trois sources confidentielles lui ont révélé que cela existe réellement, et que les enfants sont enlevés dans le but d’être finalement amenés sur Mars pour du travail esclave.
L’information de Steele contribue à corroborer le nombre croissant de recherches et de témoignages qui suggèrent qu’il existe une exploitation esclavagiste florissante hors planète.
Actuellement, Steele est en train d’exposer des réseaux mondiaux de pédophilie qui exploitent les enfants dans les régimes utilisés pour piéger les fonctionnaires de haut niveau, afin qu’ils puissent être facilement contrôlés par le "Gouvernement de l’Ombre" ou ce que les autres qualifient de Cabale ou Illuminatis.
Il ne devrait donc pas être bien surprenant qu’une telle exploitation s’étende également dans le cosmos, et qu’elle soit dirigée par un "Conglomérat de Corporations Interplanétaires" (CCI), selon Goode.
Des bases secrètes sur Mars et ailleurs, exploitent des millions d’enfants et d’adultes dans du travail forcé.
L’exposition de ces programmes et des entreprises telles que Siemens, impliquées dans ce genre d’activités, constitue une étape majeure dans l’arrêt de ces injustices, en amenant leurs auteurs en justice, et en commençant à indemniser les nombreuses victimes de ces crimes dans l’espace.
Site : http://www.elishean.fr/
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