Un médecin a découvert un procédé révolutionnaire simple et peu coûteux pour réduire de nombreuses maladies en recrudescence !
Peu connu du grand public, jamais médiatisé, ne bénéficiant d’aucune subvention de l’industrie pharmaceutique, honni par nombre de ses pairs, ce médecin a pourtant découvert un procédé révolutionnaire simple et peu coûteux pour éliminer, par exemple, 87,11% des asthmes de l’enfant.
On sait que ce mal, qui naguère n’affectait que 1 à 2% de nos enfants, en touche aujourd’hui 10%, ce qui en fait un des plus grands fléaux du siècle.
Sa quasi élimination devrait donc valoir à ce chercheur solitaire les plus grands hommages de l’humanité.
Et cela d’autant plus que son procédé présente de nombreux autres avantages, proprement inespérés.
Il élimine en effet la quasi totalité des autismes, ce mal qui touche aujourd’hui un enfant américain sur 50.
Il élimine aussi 95% des sinusites, 53,71% des allergies, 74,18% des hyperactivités de l’enfant, 65% des diabètes de type 1, 94,12% des affections thyroïdiennes, 90,84% des épilepsies de l’enfance, 90,75% des scolioses, 94,72% des maladies auto-immunes, 82,6% des otites, 97,9% des herpes, 70,5% des rhumes des foins, 56,4% des migraines chez l'enfant.
Et bien d’autres fléaux modernes encore, cette liste n’étant pas exhaustive.
Non seulement ce procédé très simple fera donc faire un immense bond en avant à l’humanité, dans sa santé et son bien-être, mais il apportera une solution définitive au financement de tous les organismes de sécurité sociale du monde entier.
Certains esprits chagrins feront remarquer que ce la risque de vider les salles d’attente des médecins.
Mais ceux-ci sont par essence des personnes désintéressées, qui se réjouiront plutôt de voir disparaître toutes ces maladies qui font leur quotidien, au profit de la joie de voir s’épanouir les enfants qu’on leur confie en parfaite santé.
D’autres diront que cela finira par ruiner les caisses de retraite, par l’allongement de nombreuses vies, mais on peut les rassurer: l’argent économisé sur la santé sera utilement replacé pour épauler les cotisations.
D’autres enfin diront que cela va ruiner des pans entiers de l’industrie pharmaceutique : c’est en effet un sérieux problème, auquel le nobelisable n’a pas pu trouver de solution.
Lors de son interview, il ne semblait d’ailleurs pas particulièrement affecté par ce dégât collatéral.
Mais quel est donc ce mystérieux et extraordinaire procédé ? Il le résume en deux mots : l’abstinence vaccinale !
Et il appelle les maladies décrites comme "Maladies évitables par la non-vaccination", en une parodie des célèbres et soi-disant "maladies évitables par la vaccination".
Ce chercheur a en effet pu comparer des populations d’enfants vaccinés et non vaccinés, et ce sont les chiffres qu’il a observés.
Les différences étaient tout à fait considérables.
Mais alors, direz-vous, pourquoi ce procédé si simple n’a pas été révélé plus tôt au grand public ?
De nombreux chercheurs dans le monde entier avaient bien découvert cette propriété de l’abstinence vaccinale depuis de nombreuses années, mais il semble que des industriels mal intentionnés on fait tout ce qu’ils pouvaient pour falsifier leurs données (qu’ils avaient en fait en mains depuis toujours) manipuler les peurs irraisonnées, circonvenir le corps médical et corrompre les élus afin de pérenniser un procédé qui date du moyen âge et n’a jamais prouvé son efficacité.
Leur technique consistait à subventionner des études trafiquées soi-disant effectuées par des chercheurs de renom, qui publiaient leurs écrits (la plupart du temps rédigés par les laboratoires eux-mêmes) dans de grandes revues médicales.
Ceux-ci usaient de leur aura médiatique pour pérenniser le mythe, quasi érigé au rang de religion vaccinale au long des décennies.
On usait aussi de la peur des médecins de perdre leur diplôme s’ils dérogeaient à l’Omerta sue ce sujet, par l’intermédiaire du Conseil de l’Ordre des Médecins.
La peur, toujours la peur…
La peur et le mensonge.
Cette technique consistait aussi et surtout à jouer sur les peurs d’un public crédule, facilement influençable par des media financés par les mêmes promoteurs, et tout acquis aux progrès d’une science sacralisée.
Cette peur irraisonnée est en train d’ailleurs de quitter la pensée d’un grand nombre de Français, au profit d’une meilleure connaissance des maladies, de la médecine, et des vaccins en particulier, au grand dam des autorités de santé, et de leurs sponsors, j’ai nommé les industriels de la pharmacie, mieux connus sous le nom de Big Pharma.
Nous allons maintenant entrer dans une nouvelle ère, où les coupables de cette intoxication massive, que ce soit le corps médical, les industriels de la pharmacie ou les responsables politiques, qui ont agi en parfaite connaissance de cause pour un grand nombre, devront répondre de leurs crimes contre l’humanité, en un nouveau procès de Nuremberg, qui fera date dans l’Histoire.
Quant à notre chercheur, il ne demande rien en échange de sa découverte.
Il l’offre à toute l’humanité, et en particulier aux enfants du monde entier, pour le simple plaisir de les voir sourire.
Il aimerait d’ailleurs rester dans l’anonymat, pour des raisons de sécurité.
Il reconnait volontiers n’être jamais entré dans un laboratoire depuis la fin de ses études, n’avoir jamais fait la moindre expérience, jamais manipulé une éprouvette, se contentant de compiler tout ce que d’autres médecins et chercheurs avaient abondamment décrit avant lui au travers de centaines de livres, qui sont à la portée de tout un chacun qui voudrait vérifier ses dires.
Ce que j’engage les lecteurs à faire dès maintenant.
Certains objecteront que les quelques maladies résiduelles qui échapperont aux bienfaits de ce procédé n’auront plus de bouclier.
Il s’agit du tétanos, de la polio, de la diphtérie, de la coqueluche, de l’hépatite B, de la pneumonie, de la rougeole, des oreillons, de la rubéole, de la méningite C, de la grippe. Je crois que ça fait 11.
Qu’on se rassure : les bénéfices des vaccins à cet égard, tout comme la gravité de ces affections, ont toujours été largement surévalués à des fins mercantiles.
La plupart de ces maladies ont pratiquement disparu, non pas grâce aux vaccins, mais parce que c’était leur destinée naturelle, les vaccins n’ayant fait que s’insinuer vers la fin de leur décroissance pour s’attribuer des mérites qu’ils n’ont jamais eus.
De nombreuses épidémies ont ainsi disparu au cours des siècles, suette, peste, scarlatine, sans le moindre vaccin.
(Ndlr : L'utilisation du Chlorure de Magnésium, en renforçant réellement le système immunitaire, permet à l'organisme de lutter efficacement contre toutes ces maladies, ces virus ou bactéries, sans les effets secondaires des vaccinations !)
SOURCE
En revanche, il devient évident que certaines vaccinations de masse, comme la rougeole et la polio, ont largement contribué à l’expansion de ces maladies, et à l’aggravation des dégâts qu’elles provoquent.
Les vaccins devraient dorénavant être réservés à des cas tout à fait particuliers, comme par exemple la rubéole chez des jeunes femmes après avoir vérifié par une sérologie qu’elles n’étaient pas immunisées, ou l’hépatite chez des personnes à risque, tout en sachant que pour certains elles ne seront pas sans danger.
Donc, non plus une panacée, mais un "faute de mieux".
Non plus une règle, mais une exception.
Pour terminer, je recommande cette lecture, qui, après le graphique précédent, résume parfaitement la pensée du chercheur : Quelques faits concrets et vérifiables sur les vaccins
Doctorix
Source :
https://jbl1960blog.wordpress.com/2017/11/28/un-medecin-francais-candidat-au-prix-nobel-de-medecine-par-doctorix/