Aux USA, il y a de nombreux Témoignages d'Enlèvements par des Extraterrestres et la découverte d'Implants chez certaines personnes, suite aux accords du Gouvernements des USA avec plusieurs Groupes d'Extra-Terrestres !
Jusqu'à la fin des années 70, il n'y avait encore que quelques cas connus d'enlèvements, et l'on ne pensait pas qu'il puisse y en avoir beaucoup d'autres.
L'un des tout premiers cas, celui d'Antonio Villas Boas, avait eu lieu au Brésil en 1957, les autres apparaissant surtout aux États-Unis.
Il y avait eu les cas de Betty et Barney Hill en 1961, divulgués seulement en 1966 ; celui du policier Schirmer en 1967 ; Hickson et Parker en 1973 ; Carl Higdon en 1974 ; le jeune bûcheron Travis Walton en 1975 ; et enfin la remarquable histoire de Betty Andreasson, s'étalant sur de nombreuses années.
Betty et Barney Hill, un cas célèbre dans le milieu ufologique.
Au tournant des années 80, les choses changent.
Un premier livre de Budd Hopkins, Missing Time ("le temps manquant") paraît en 1981, sur des cas d'enlèvements supposés, révélés en grande partie sous hypnose, alors que le témoin se rappelait seulement d'un trou inexpliqué dans son emploi du temps. Hopkins est un artiste New Yorkais qui s'est intéressé aux ovnis après en avoir observé un lui même.
Un premier livre de Budd Hopkins, Missing Time ("le temps manquant") paraît en 1981, sur des cas d'enlèvements supposés, révélés en grande partie sous hypnose, alors que le témoin se rappelait seulement d'un trou inexpliqué dans son emploi du temps. Hopkins est un artiste New Yorkais qui s'est intéressé aux ovnis après en avoir observé un lui même.
Ce premier livre fut suivi en 1987 d'un autre ouvrage plus impressionnant encore, Intruders.
Presque en même temps, paraissait le premier livre de l'écrivain à succès Whitley Strieber sur le même sujet, Communion, un best seller immédiat avec plus d'un million d'exemplaires vendus.
Sa couverture popularisait la figure de l'extraterrestre à grands yeux noirs, à la peau grise et au menton pointu, qui est devenu célèbre sous l'appellation de "Gris" ou "Petit Gris".
Les Français ne se sont pas rendus compte tout de suite de ce choc culturel américain car, sur la version française du livre, publiée à la sauvette, cette tête inquiétante, ressemblant à un diable, avait été remplacée par un dessin insignifiant.
Le livre de Strieber est donc passé inaperçu dans notre pays, de même que le premier livre de Budd Hopkins, traduit quatorze ans après l'édition originale, sous le titre Enlèvements extraterrestres.
Les témoins parlent (Editions du Rocher, 1995).
Le deuxième livre de Hopkins, Intruders, non traduit en français osait parler pour la première fois de manipulations génétiques et de "fabrication" d'enfants hybrides.
Le deuxième livre de Hopkins, Intruders, non traduit en français osait parler pour la première fois de manipulations génétiques et de "fabrication" d'enfants hybrides.
Un thème inquiétant au possible qui ne manqua pas de susciter une violente controverse aux États-Unis.
De nombreux autres cas ont fait surface depuis, au point que le phénomène a commencé à ressembler à une épidémie au cours des années 90.
Ces récits, souvent révélés sous hypnose, ont suscité des critiques de toutes sortes, certains accusant les hypnothérapeutes d'influencer les témoins, et ces derniers d'être des déséquilibrés avides de publicité.
Pourtant, un examen objectif du dossier nous oblige à prendre très au sérieux cet aspect inquiétant du "phénomène ovni".
Inquiétant, certes, mais aussi fascinant car il a ouvert des perspectives qui rapprochent ces récits des expériences de "sortie du corps" et "proches de la mort", les fameuses "NDE".
Les preuves irréfutables du phénomène des enlèvements n'ont pas encore pu être réunies.
Cependant, il y a de nombreux indices de cette réalité, tels que des traces au sol, des marques sur le corps, et surtout, à présent des implants qui ont été extraits du corps des enlevés.
C'est le Dr Roger Leir, qui est devenu depuis 1995 le spécialiste de ce type d'opérations aux Etats-Unis.
Les implants du Dr Leir
Jusqu'en 1995, peu de tentatives avaient été faites, et aucun résultat décisif n'avait été obtenu pour " prouver " l'origine alien d'un implant extrait.
Le cas le plus connu est l'histoire bizarre de l'implant supposé de Richard Price, étudié pendant près de cinq ans par le physicien réputé David Pritchard professeur au MIT (Massachussets Institute of Technology), lequel, après avoir mentionné sa nature métallique, avait finalement diagnostiqué…une fibre de coton
La question des implants rebondit en 1995 quand un podologue californien, le Dr Roger K. Leir, accepta d'extraire un implant repéré par radiographie dans le pied d'un enlevé supposé.
De 1995 à 2001, dix opérations furent réalisées, soit par le Dr Leir lui-même, soit par d'autres chirurgiens lorsque l'implant se trouvait dans d'autres endroits du corps.
Dr Roger K. Leir
Plusieurs analyses de laboratoire ont été accomplies, dont les résultats ont été rendus publics en partie.
Certaines opérations et analyses d'implants ont été patronnées et subventionnées par le National Institute for Discovery Science (NIDS), un groupe de recherche privé créé par Robert Bigelow à Las Vegas, doté d'un groupe de conseillers scientifiques réputés.
Aucun résultat décisif n'a été encore publié, mais les données rassemblées par le Dr Leir sont déjà assez impressionnants pour mériter l'attention de tous les chercheurs.
Le Dr Roger Leir a été assailli de critiques dès qu'il a commencé à parler publiquement de ses opérations d'implants.
J'ai eu la chance de le rencontrer en septembre 1999, à la conférence internationale de Leeds (Grande-Bretagne) à laquelle j'avais été invité.
J'étais justement en train de lire son livre, et nous avons dîné ensemble. Je peux témoigner que j'ai rencontré un homme crédible.
La critique qui revient le plus souvent à propos de ces travaux, est que ni lui ni ses collègues n'ont encore écrit d'article scientifique dans une revue reconnue.
Il apparaît néanmoins qu'un volume significatif d'informations est disponible sur ces opérations, sur les objets extraits, sur les abductés supposés et leur histoire personnelle.
Les implants
Deux séries de tests ont été réalisées en 1998 sous la direction de NIDS, plus précisément du colonel John Alexander qui était un membre important de son équipe de conseillers scientifiques (le colonel Alexander a fait une longue carrière dans des domaines de recherches secrètes, notamment au Laboratoire National de Los Alamos).
Les tests ont été exécutés d'abord au Laboratoire National de Los Alamos et au New Mexico Tech.
Les résultats des analyses faites à New Mexico Tech en 1996, payées pas NIDS sont publiées sur son site web : http://www.nidssci.org
Cette analyse montre une composition métallique remarquable et inusitée des fragments étudiés.
En plus de ce document, nous avons la "lettre d'opinion" de l'ingénieur métallurgiste qui fit les tests, M Paul A. Fuierer.
Elle n'est pas sur le site de NIDS, mais elle est reproduite dans le livre du Dr Leir, avec ses commentaires.
Il paraît important de signaler ici que le métallurgiste a donné en fait deux opinions successives.
Quand il a donné la première, il n'avait pas été informé de l'origine des fragments. Il exprima l'opinion que leurs composants métalliques étaient analogues à ceux que l'on trouve dans les météorites.
Lorsqu'il reçut cette première lettre d'opinion, le Dr Leir fut si surpris qu'il appela le métallurgiste et lui révéla que les échantillons avaient été extraits de corps humains.
M Fuierer, qui n'a pas caché son scepticisme sur les ovnis, donna alors une opinion complémentaire.
Il dit qu'un mélange de fer et d'argent enfoui dans le corps pouvait provoquer une réaction de calcification, d'où il résulterait un matériau comparable aux céramiques utilisées en médecine et en dentisterie.
Opération d'implant (Le Dr Leir est à gauche)
Mais le Dr Leir note dans son livre que de tels matériaux ne sont plus utilisés car ils produisent une "énorme réaction d'inflammation".
Cependant, aucun implant n'avait produit une telle réaction. Le métallurgiste ne savait pas cela et il ne savait pas non plus que, comme dit le Dr Leir :
"une membrane biologique étrange, d'aspect grisâtre et dense, recouvrait les spécimens. De plus, il n'y avait pas de trace d'une cicatrice d'entrée".
Le lien avec les ovnis
Eve Frances Lorgen (ufologue américaine connue, spécialiste des enlèvements) a interviewé cinq des personnes ayant subi une opération, et elle a trouvé que "toutes les personnes, un homme et quatre femmes, avaient un point en commun des rencontres avec des ovnis et des contacts avec des êtres non humains" ( Mufon UFO Journal, nov. 1998).
Les deux cas les plus récents entrent eux aussi dans cette catégorie.
Tim Cullen a eu une rencontre rapprochée en 1978, alors qu'il voyageait en voiture avec sa femme.
Attaques contre le Dr Leir
Le Dr Roger Leir a subi des attaques personnelles très dures, notamment sur internet, depuis qu'il a commencé ses opérations, en 1995.
Sa compétence médicale a été mise en doute, ainsi que son honnêteté. Pourtant, sa formation médicale est incontestable.
Après avoir obtenu une licence de science (B.S.) à l'Université de Californie du Sud en 1961, il a reçu en 1964 un diplôme de docteur en médecine "podiatrique" (spécialité américaine) au collège de médecine "podiatrique" de Californie.
Quant à son honnêteté, il suffit de signaler que plusieurs opérations ont été faites gratuitement, et qu'il n'a pas fait fortune, au contraire.
Le Dr Leir s'est en effet trouvé en grande difficulté en 1999. Je rappelle simplement le scénario :
- Publication de son livre en 1998.
- Une opération filmée par la chaîne NBC en août 1998, et diffusée en février 1999 (émission spéciale de la NBC " Confirmation ").
C'est alors que le ciel lui est tombé sur la tête. Dans la deuxième édition de son livre, en édition de poche parue en 2000, Leir a raconté la suite de l'histoire :
Le 23 avril 1999, il reçoit un avis de l'Ordre des médecins de Californie (Medical Board) qui ressort une plainte contre lui, ancienne et enterrée, faite dix ans auparavant, et qui le suspend de pratique médicale pour trois ans.
Pourtant le patient était décédé depuis cinq ans ; l'hôpital où avait eu lieu l'opération avait fermé ses portes depuis sept ans, et ses archives étaient indisponibles !
Peu après, son partenaire, Derrel Sims, met fin à leur accord de collaboration.
En mai 1999, Leir a une crise cardiaque, pour cause de stress selon les médecins.
Il se trouve en grand danger, ne pouvant être opéré car il avait déjà subi plusieurs pontages cardiaques.
Il se trouve en grand danger, ne pouvant être opéré car il avait déjà subi plusieurs pontages cardiaques.
En juin, Derrel Sims fait un appel public sur internet pour l'aider, notamment financièrement, car Leir n'a plus de revenu.
Au cours des mois suivants, Leir s'est rétabli. Il a pu venir à la conférence de Leeds en septembre 1999 , où je l'ai rencontré.
Il m'a confirmé qu'il s'était bien rétabli et que sa suspension avait été annulée. Cette attaque n'a pas été la seule.
Il a dû faire face à des attaques mordantes et répétées de la part d'un certain nombre de personnes, dont certaines étaient sans doute mal informées sur lui et sa recherche.
Les implants du Dr Leir : Analyses scientifiques par le Dr Jacques Costagliola
Roger Leir est docteur en podiatrie médicale, spécialité américaine hybride du chirurgien et du podologue qui n'autorise que les soins et les interventions chirurgicales sur le pied.
Membre local et national du MUFON, il a été conduit à s'intéresser au phénomène implant et a élaboré un protocole chirurgical scientifique d'extraction et d'étude de ces objets.
Les différents cas traités par l'équipe du Docteur Leir.
Une équipe compétente
Lear a réuni une équipe de bénévoles comprenant un chirurgien général, un hypnoanesthésiste (Derell Sims), un avocat, une infirmière, un cinéaste, un coordinateur et un écrivain rapporteur.
Lear a réuni une équipe de bénévoles comprenant un chirurgien général, un hypnoanesthésiste (Derell Sims), un avocat, une infirmière, un cinéaste, un coordinateur et un écrivain rapporteur.
L'opérateur est le Dr Leir lorsque l'implant est situé en dessous de la cheville.
Au-dessus de celle-ci, l'opérateur est un chirurgien général assisté de Leir.
Au-dessus de celle-ci, l'opérateur est un chirurgien général assisté de Leir.
Auparavant les affaires de ce type s'étaient toujours soldées par un échec cuisant.
Soit le fragment disparaissait, été pulvérisé, sublimé ou se révélait être un banal échantillon terrestre.
Soit le fragment disparaissait, été pulvérisé, sublimé ou se révélait être un banal échantillon terrestre.
Leir a eu l'idée, pour préserver l'objet après extraction, de le conserver dans le sérum de l'hôte recueilli par ponction sanguine avant l'intervention.
Ce procédé a permis l'étude des implants ainsi récupérés.
Ce procédé a permis l'étude des implants ainsi récupérés.
Premier cas : Patricia, 52 ans
En 1969, alors que Patricia fait du camping avec son mari et ses enfants, des lumières et des bruits suspects autour de la tente les ont fait fuir en voiture suivis de près par un grand disque.
Soudain, la voiture s'est retrouvée dans l'autre sens de la marche et à un autre endroit sur la route, cette mésaventure correspondant à un "temps-manquant".
Puis en 1970, dans leur chambre pendant la nuit, Patricia et son mari ont connu un épisode de terreur avec sidération des mouvements volontaires et observation d'une lumière verte baladeuse.
Les implants sont supposés avoir été posés au cours de l'un de ces deux épisodes, ou même au cours des deux. Le 19 août 1995, l'équipe du Dr Leir pratique sur Patricia l'ablation de 2 corps étrangers métalliques.
Le premier implant en forme de T, est découvert sur la face externe du gros orteil gauche.
Malgré l'anesthésie, lorsque le scalpel touche l'objet (taille 0,5 x 0,25 cm), Patricia ressent une douleur aiguë qui provoque un mouvement brutal de sa jambe.
La radio montre le petit T à l'extrémité distale de la 1ère phalange du gros orteil sous l'épiphyse.
Le T apparaît fin et net ce qui démontre qu'il n'est pas enrobé de fibrose calcifiant.
Après extériorisation, il apparaît engainé dans une membrane sombre, grise et brillante, résistante au scalpel, physiquement attachée au métal, ce qui n'était pas visible à la radio.
Le T apparaît fin et net ce qui démontre qu'il n'est pas enrobé de fibrose calcifiant.
Radio d’un implant en forme de T
Après extériorisation, il apparaît engainé dans une membrane sombre, grise et brillante, résistante au scalpel, physiquement attachée au métal, ce qui n'était pas visible à la radio.
Le deuxième implant de Patricia, découvert sur la face latérale interne du 2e orteil gauche, a la forme d'un pépin de cantaloup.
Un champ magnétique est émis par l'objet. Gainé d'une membrane identique, il est néanmoins 5 fois plus petit que l'implant en T. Aucune cicatrice d'entrée n'est visible pour les deux implants.
Deuxième cas : Paul, 47 ans
Une nuit de 1954, alors qu'il avait 6 ans, Paul semble avoir été attiré hors de chez lui.
Il a alors vu des lumières brillantes, un quasi atterrissage d'ovni et au moment où il s'enfuyait, il a ressenti une douleur dans la main gauche.
A 17 ans puis à 23 ans, avec sa fiancée et un ami, il a eu deux autres rencontres rapprochées avec un disque situé en lévitation au-dessus d'eux.
Le corps étranger a été découvert par hasard en 1971 au cours d'une radio pour traumatisme. Aucune “porte” d'entrée n'est visible.
L'implant de Paul a la forme d'un pépin de cantaloup. Situé sur la face dorsale de la main gauche, il est identique au second implant de Patricia.
Sur la radio, il apparaît près des têtes des 1er et 2e métacarpiens.
Sur la radio, il apparaît près des têtes des 1er et 2e métacarpiens.
Troisième cas : Babs, 33 ans
L'extraction de l'implant a lieu le 1er février 1996. Le corps étranger est un petit sphéroïde blanc solide situé à la jonction du cou et de l'épaule gauche.
Il mesure 2 x 9 mm. On observe une marque violacée en surface.
Diagnostic du dermatologue : épithélioma calcifiant.
Babs ressent une "douleur exquise" au contact. La marque cutanée est enlevée en bloc avec le corps étranger et son environnement tissulaire immédiat.
On note la présence de neurones aberrants. L'implant est gainé d'une membrane grisâtre reliant la déformation cutanée à l'objet. Il n'y a pas de réaction inflammatoire.
Quatrième cas : Annie, 61 ans
Annie présente des souvenirs typiques d'abduction avec observation d'un ovni circulaire au-dessus de sa maison.
Le lendemain, elle remarque une rougeur et une grosseur qui est ponctionnée par le médecin. Celui-ci recueille un exsudat violacé qui n'a pas été analysé.
Le 18 mai 1996, l'équipe du Dr Leir procède à l'extraction de deux billes solides et d'un triangle métallique.
La radio montre un corps étranger sous la marque cutanée résiduelle. L'excision emporte en bloc la marque cutanée, le tissu sous-jacent et le corps étranger. L'objet est dur et sans membrane.
Cinquième cas : Doris, 40 ans
Doris a vu un ovni au-dessus de San Fernando Valley. Le corps étranger qu'on a découvert sur elle est situé sur la face antérieure de la jambe gauche, près du tibia.
Il est petit, rond, blanc-grisâtre, brillant, avec une élastose solaire localisée à quelque mm3 de tissu, formant un pédicule fibreux rattachant l'objet à la peau, ce qui signe une exposition du derme à un rayonnement ultra-violet intense et localisé, et explique la dépression cutanée.
Sixième cas : Don
L'implant découvert sur Don est métallique. La radio montre un minuscule trapèze proche de l'angle du maxillaire inférieur gauche.
Don entend des voix qu'il met sur le compte de l'implant.
Le fluoroscanneur permet une localisation précise de l'objet sur écran. Une aiguille est enfoncée au contact de l'objet, le contact est perçu à l'oreille et sur l'écran.
L'objet est métallique et triangulaire, couvert d'une membrane gris foncé, sombre, dure, insécable.
Après l'intervention, Don dit ne plus entendre les voix. Ces voix reviendront plus tard.
Dans les mois qui suivent Leir est invité à examiner des cas d'enlèvements en Amérique du Sud. Des cas qui comprennent même des dissections humaines...
Septième cas : Pablo, 45 ans
Pablo aurait été témoin de plusieurs observations d'ovnis, en 1990. A la suite d'un accident de ski, un corps étranger a été découvert à la main gauche, sans porte d'entrée visible.
L'extraction a lieu le 17 août 1998. Il s'agit d'un objet en forme de pépin de cantaloup métallique, identique à celui de Patricia.
Implant en forme de "pépin de cantaloup" (Tim Cullen)
Résultats des analyses - Examens biologiques
Nous ne reviendrons pas ici sur tous les résultats des examens biologiques qui furent adressés à trois laboratoires travaillant à l'insu ou à double insu, sur la seule mention : "parties molles dans l'environnement d'un corps étranger".
Prenons pour exemple le cas de Patricia et Paul. L'examen fera ressortir trois anomalies dans les tissus adjacents aux implants.
Tout d'abord, l'équipe relève l'absence de réaction tissulaire.
Tout d'abord, l'équipe relève l'absence de réaction tissulaire.
En temps normal, l'introduction d'un corps étranger dans le corps est normalement suivie d'une réaction inflammatoire suscitée par le système réticuloendothélial.
Cette réaction aboutit à un rejet ou à un enkystement chronique dans une coque de sclérose (fibrose calcifiante) qui isole le corps étranger de l'organisme.
Ici il n'y a eu ni l'un ni l'autre.
Ici il n'y a eu ni l'un ni l'autre.
Leur attribue ce fait à la présence de la membrane protéinique engainant l'objet.
La seconde anomalie tient à la présence d'éléments nerveux responsables de la douleur au contact.
La seconde anomalie tient à la présence d'éléments nerveux responsables de la douleur au contact.
Ces éléments semblent connectés à l'objet et aux troncs nerveux. Troisième anomalie : la membrane dure est formée de constituants normaux du corps.
Examens métallurgiques
Les implants se rangent en deux catégories : métalliques et amétalliques. Les six objets métalliques prélevés ont une structure interne complexe.
Le revêtement métallique est un complexe de onze éléments assemblés d'une façon défiant toute procédure métallurgique.
Le cœur est constitué de fer magnétique, de phosphore ou de carbone magnétoconducteur.
Soulignons le fait qu'In vivo deux des objets émettaient un champ magnétique de 3 milligauss.
Après extraction leur émission cessa.
Après extraction leur émission cessa.
Les implants en forme de T découvert sur Patricia ont un cœur en carbone doux et en carbure de fer dur, enveloppé dans un revêtement minéral de onze éléments métalliques et métalloïdes.
Implant en forme de " T " (Patricia)
Le laboratoire New Mexico Tech, qui ne connaît pas l'origine des fragments, évoque une météorite puis une céramique dentaire.
Les objets métalliques en forme de pépin, analysés par spectroscopie laser relativement non destructrice, possèdent une tige centrale de 10x2 mm avec un cœur en carbure de fer magnétique et un revêtement minéral complexe.
Il semble s'agir d'objets manufacturés possédant une fonction définie. Chacun de ces segments est constitué d'une combinaison de 6 à 11 éléments : Al, Ba, Ca, Cu, Fe, Mg, Mn, Na, Ni, Pb, Si, Ti, Zn.
Les trois objets "amétalliques", sphéroïdes blancs, rattachés à une petite dépression cutanée, ont été peu étudiés par manque de financement.
Ces billes sont constituées de nombreux éléments atomiques. Extraites du corps et placées dans du sérum de l'hôte, elles passent à l'état gélatineux ; remises à l'air libre elles retrouvent l'aspect de boule dure.
L'opération de Tim Cullen
Le 5 février 2000, l'équipe du Dr Leir procéda à l'ablation d'un objet inconnu sur Tim Cullen.
Cet implant fut découvert dans le poignet gauche du sujet au cours d'une radio effectuée à la suite d'un traumatisme.
Aucune cicatrice d'entrée là encore. L'objet a la forme d'un pépin de cantaloup. C'est le quatrième implant de ce type.
Opération de Tim Cullen, en février 2000.
Il est entouré de la même membrane, et il émet un champ de 3-6 milligauss détecté au magnétomètre.
Cet implant aurait pu être posé le 30 mai 1978 au cours d'une rencontre rapprochée retrouvée sous hypnose.
Ce fragment a fourni plus d'informations que les huit autres. L'objet métallique et sa membrane biotique, placés dans de l'eau distillée stérile, perdent leurs couleurs et deviennent transparents.
Sous le microscope, on voit dans la partie solide une zone porteuse de vacuoles pleines d'une substance huileuse.
Le laboratoire New Mexico Tech découvrit le principal composant métallique : du fer amorphe, hautement magnétique.
Mystère de la membrane
Selon le Dr Leir, la membrane est amarrée à l'objet par des prolongements pénétrant dans les ouvertures microscopiques de celui-ci.
Elle peut devenir transparente et permettre l'examen du corps étranger sousjacent.
Il semble que cette membrane fasse corps avec l'objet et ne soit pas une réaction spontanée des tissus de l'hôte.
Cette gaine protéique est-elle constituée in vivo par l'objet lui-même ?
Est-elle artificiellement fabriquée in vitro et combinée à l'objet préalablement son introduction ?
Dans ce cas, les protéines ont-elles été extraites du corps de l'hôte ? Ou, ont-elles été synthétisées à l'identique ?
L'autre mystère de la membrane tient à la présence des néoneurones.
Ces neurones sont normalement au contact des os et des tendons musculaires, et leur migration vers le corps étranger est incompréhensible.
On ne voit pas comment elle pourrait être provoquée "normalement" par l'objet. Il n'y a plus de reproduction neuronique après la naissance.
Conclusion
Si tout ce qui est rapporté ici est véridique, force est de reconnaître qu'on est en face d'arguments convaincants apportés à un dossier déjà très impressionnant sur cette question des implants.
Ces objets sont étranges.
Plusieurs faits précis sont inexplicables mais les examens sont incomplets et leur étude doit se poursuivre.
Plusieurs faits précis sont inexplicables mais les examens sont incomplets et leur étude doit se poursuivre.
Le dossier des implants reste donc ouvert et nous réserve sans doute encore bien des surprises.
S'il subsiste beaucoup d'interrogations à propos de ces objets, et notamment sur le but de leur présence, cette étude fait apparaître au moins une évidence.
On sait en effet que ces objets sont manufacturés en vue d'être tolérés dans un organisme mammifère et d'y rester des années, invisibles au système immunitaire de l'hôte, sans susciter de réaction de rejet ni d'enkystement.
Références
Roger K. Leir, Alien implants, A 1998 update, Mufon ufo j. 362:06.98, 3-8 Roger K. Leir, DPM, The aliens and the scalpel, Granite Press, Colombus, EU, 1998. Eve Frances Lorgen, The effect of implant removal discussed by five individuals, Mufon ufo J. 366,11.98:3-5 Roger K. Leir, Implant removals yeld interesting results, Mufon ufo J, 385, 05.2000:3-8 Roger Leir, Alien abduction, alien implants, why ? 2001, Mufon sympos. Proc. 192-199
Résumé des données scientifiques
Deux sortes principales d'implants ont été trouvées, métalliques (de diverses formes), et non-métalliques (petites boules).
Données biologiques
Sur les objets métalliques
Quatre objets métalliques produits étaient recouverts par une membrane d'aspect gris sombre et brillant, qui ne pouvait être ouverte avec une lame chirurgicale.
Cette membrane s'est avérée être composée d'un coagulat protéinique, d'hémosidérine et de kératine.
Ces trois substances existent naturellement dans le corps, mais notre investigation n'a permis de trouver aucune combinaison de cette sorte dans la littérature médicale.
Les tissus mous adjacents aux objets métalliques ont été aussi analysés, et il a été trouvé qu'ils comportaient des conglomérats de cellules nerveuses, et qu'il n'y avait aucune réaction d'inflammation.
Sur les objets non-métalliques
Trois opérations ont consisté à enlever une lésion cutanée avec la présence d'une petite boule ronde, d'aspect gris blanc, dans le tissu mou sousjacent.
Nous avons trouvé une élastose solaire, des amas de cellules nerveuses, et peu ou pas du tout d'inflammation.
Les lésions cutanées avaient l'aspect de cuvette ronde : cet aspect est assez classique dans le dossier des enlèvements.
Le Dr Leir indique ensuite une série de constatations de nature biologique :
- Presque tous les objets ont été trouvés dans le côté gauche du corps ;
- Presque tous les spécimens sont devenus fluorescents sous lumière noire ultraviolette.
- Tous les sujets ont eu des réactions anormales aux anesthésiques locaux à la procaïne (pas de réaction, ou réaction allergique) ;
- Tous ont eu une propension à absorber beaucoup de sel.
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