Si ce mur est bien réel et non naturel cela défierait tout ce que nous savons de notre histoire et des civilisations connues !
Filibert : Nous avons déjà publié un article de ce mur sous-marin observé à partir des cartes de "Google Earthe" (Voir ici : https://changera.blogspot.fr/2017/08/un-mur-sous-marin-relie-les-2-poles.html). Ici les données proviennent d'une campagne du navire océanographique Atalante de l'Ifremer qui s'est déplacé, par hasard, dans la zone de ce mur et qui a effectué des mesures acoustiques des fonds océaniques qui ont confirmé la présence de cette formation non naturelle !
https://www.youtube.com/watch?v=viQmAXTKo7E
Vidéo StopMensonges :
https://www.dailymotion.com/video/x5z3341
Louis Géli, qui avec Henri Bougault, dirigeait la mission Pacantarctic n’en revient pas : c’est tout à la fin de leur travail, à bord de l’Atalante, le navire amiral de l’Ifremer, que la surprise s’est invitée.
Depuis le 16 janvier 1996, dans l’une des mers les plus dangereuses du globe, entre icebergs et coups de vent.
Les géologues dressaient cartes sur cartes de cette dorsale qui, venue du milieu du Pacifique, se glisse entre l’Antarctique et l’Australie.
Une dorsale se forme là où le plancher océanique s’ouvre, laisse passer le magma chaud des profondeurs de la Terre pour élargir l’océan.
A leur actif, en trois semaines, la cartographie d’une surface de près de 1.600 kilomètres de long sur 60 à 600 kilomètres de large le long de l’axe de la dorsale.
Le sondeur de l’Atalante leur permet de dresser des cartes dont la résolution peut descendre jusqu’à 10 mètres, avec une précision inférieure à 5 mètres pour le relief.
Outre ces cartes, les géologues rapportent plusieurs tonnes de cailloux raclés au fond des océans, entre 2.800 et 3.200 mètres.
Parfois juste un petit caillou collecté, mais souvent la drague remplie à ras bord.
Une première analyse chimique de ces roches à bord a permis d’orienter les recherches.
La routine… jusqu’à cette découverte.
"Nous étions guidés par trois observations.
Une étude préliminaire de la marine US, qui avait relevé des hauts fonds, baptisés ride de Hollister.
Un sismologue, intrigué par des signaux étranges à cet endroit.
Et les cartes satellitaires qui montraient, pensait-on, une chaîne de volcans, comme il y en a tant sous les mers.
Or, pas du tout.
Aucune trace des structures volcaniques attendues avec les cônes caractéristiques, formés par les éruptions.
Mais une sorte de mur.
A son extrémité sud-ouest, l’escarpement est extraordinaire.
La structure s’élève de 3 kilomètres en 30 kilomètres pour venir jusqu’à 150 mètres environ de la surface.
Le sommet du mur reste à cette altitude pendant 100 kilomètres, puis redescend doucement, en 400 kilomètres, jusqu’au plancher océanique vers 3.200 mètres."
Ride de Hollister… Bruit mystérieux dans le Pacifique
"Une étude préliminaire de la marine US, avait relevé des hauts fonds, baptisés ride de Hollister, et à cet endroit précis, un sismologue est intrigué par des signaux étranges. Et les cartes satellitaires montraient, pensait-on, une chaîne de volcans, comme il y en a tant sous les mers, et là, pas du tout !"
L’un des enregistrements surprenants qui ont tant intrigué les sismologues du CEA.
Il s’agit d’un signal continu.
Son originalité : toute l’énergie est rassemblée en une seule fréquence (7 Hz).
Et ceci persiste dans le temps !
Quelle est l’origine d’un tel signal ?
Les théories ne sont pas convaincantes, bruit mystérieux dans le Pacifique.
Entre 1991 et 1992, d’étranges signaux acoustiques sont détectés par le réseau de surveillance sismique du CEA dans l’océan Pacifique.
Les chercheurs, qui n’ont jamais rien observé de tel, n’expliquent pas ces enregistrements inattendus.
Tremblements de terre, manifestations volcaniques, tirs sous-marins et souterrains, décollages de missiles de submersibles, prospections géophysiques, chutes de météorites, il se passe toujours quelque chose dans le vaste Pacifique.
Ces événements, lorsqu’ils sont sous-marins ou proches d’une côte, génèrent des ondes acoustiques ou bruits de fréquences sonores et infrasonores.
Dans les mers et océans, ces vibrations, appelées ondes T par les sismologues, se propagent à l’intérieur d’un canal, le SOFAR, et parcourent ainsi de grandes distances sans être fortement atténuées.
Des signaux, même faibles, peuvent donc être perçus par des capteurs très éloignés, qu’il s’agisse de récepteurs sous-marins hydrophones ou de sismographes installés sur des îles.
Chaque catégorie d’événements est caractéristique.
On distingue ainsi aisément une explosion, brève et circonscrite, d’un événement plus lent et plus étendu comme un fort séisme ou un épanchement de lave.
Les ondes T sont particulièrement efficaces pour repérer l’activité de volcans sous-marins.
Elles sont émises dans ce cas soit par des séismes liés aux transferts magmatiques dans la croûte terrestre et l’édifice volcanique, soit par les nombreux phénomènes qui se produisent à l’interface entre la lave et l’eau de mer lors des éruptions sous-marines peu profondes (dégazage rapide de la lave, vaporisation de l’eau, éjection de matériaux etc.).
En principe, l’analyse temporelle et fréquentielle des ondes permet d’identifier sans ambiguïté leur origine.
Quelle ne fut donc pas la surprise des sismologues, du Laboratoire de détection et de géophysique de Tahiti, de recevoir, de mars 1991 à juin 1992, des signaux parfaitement monochromatiques, c’est-à-dire dont toute l’énergie était concentrée en une seule et même fréquence.
Des signaux pas comme les autres… Aucun harmonique !
"En trente ans de surveillance, jamais des signaux aussi purs et aussi différents des ondes T habituelles n’avaient été observés. Et pourtant ils en ont entendu des bruits, on peut en être certains."
Et pourtant aucun des nombreux enregistrements ne s’apparentait aux signaux parfaitement monochromatiques que l’on recevait et impossible à interpréter.
Ces derniers provenaient d’un point (53,9° sud, 140,3° ouest) proche de l’Antarctique, situé à environ 4 000 kilomètres au sud de la Polynésie.
Le caractère le plus original et intrigant de ces signaux, est leur parfait monochromatisme.
Comment expliquer cette absence totale d’harmoniques ?
Pour l’instant la question reste ouverte, et surtout sans réponses valables.
Et depuis 1992, rien de semblable n’a été enregistré dans l’océan Pacifique.
Quelle est l’origine d’un tel signal ?
Personne ne semble pouvoir ou vouloir le dire.
Quant au mur… d’où vient-il, quand s’est-il formé ?
"Il doit s’agir d’une remontée, pratiquement d’un seul coup, d’un énorme bloc de magma chaud très visqueux. Monté tout droit du manteau supérieur.", Louis Géli.
Et qui lui aurait donné le coup de pied pour s’élever ainsi ?
"Depuis longtemps, nous sommes intrigués par un point chaud, une sorte de panache de magma qui vient de plusieurs dizaines de kilomètres de profondeur. Il y a par ici le point chaud de Louisville… qui semble inactif depuis plus de 10 millions d’années."
D’habitude, ces points chauds semblent fonctionner comme des chalumeaux. Ils percent la lithosphère et forment un volcan au-dessus du trou.
Peut-être le point chaud de Louisville était-il un peu faiblard.
Alors, sa matière chaude s’est étalée sous la lithosphère, sans parvenir à forer un trou.
Et là, elle s’est glissée dans une fissure du plancher océanique, jusqu’à parvenir à sa surface et jaillir violemment pour créer cet étrange mur.
Après les hypothèses, reste à établir la composition chimique de la roche récoltée; la comparer aux formes de la dorsale, là où ils ont été recueillis; tenter d’en tirer une leçon sur les relations entre températures du manteau et vitesse d’ouverture de la dorsale; puis de les corréler avec des données sismiques.
Pour d’autres chercheurs, il semble impossible que ce soit une formation naturelle, et si elle est réelle, tout cela prouverait qu’il y avait des civilisations anciennes très avancées, des milliers ou même des millions d’années avant les anciennes civilisations que nous connaissons déjà.
Cependant, parce que les implications sont tellement choquantes, la preuve qui prouve la réalité du mur doit être sans contestation.
Beaucoup de ces découvertes ont simplement été expliquées avant par les "erreurs dans Google Earth", en grande partie parce que le paysage créé par la liaison de plusieurs images photographiques produit parfois des résultats vraiment irréalistes et imprécis.
Le logiciel de l’ordinateur à créer des images apparemment sans soudure et sans défauts, mais parfois il faut faire des hypothèses et des corrections numériques pour le faire.
Comme mentionné, les sceptiques ont utilisé ces "erreurs honnêtes" pour proposer des contre-conclusions aux découvertes sous-marines antérieures.
En plus de la couture numérique, l’éclairage, la perspective, la référence et d’innombrables autres variables sont plus que capables de tromper les yeux et les esprits humains.
Dans le cas de ce mur global submergé, un fond changeant combiné avec un premier plan continu pourrait être le coupable.
Si ce mur est bien réel et non naturel cela défierait tout ce que nous savons de notre histoire et des civilisations connues, mais… n’est-ce pas déjà le cas avec toutes ces découvertes archéologiques et artéfacts qui dérangent tant la communauté scientifique et sont par conséquents occultées ou tournées en dérisions…
Et vous pensiez que le plus grand mur du monde était "La Grande Muraille de Chine"…
Atalante Boat – Ifremer |
Publié par Aphadolie
Sources :
http://ftp.math.utah.edu/pub/tex/bib/toc/sciam1990.html
http://www.liberation.fr/sciences/1996/03/19/un-grand-mur-surgi-du-fond-de-l-ocean_165450
http://www.disclose.tv/news/google_earth_giant_underwater_wall_encompasses_our_entire_planet/138378
http://stopmensonges.com/le-plus-long-mur-de-la-terre-decouvert-sous-les-oceans-il-fait-presque-la-moitie-de-la-terre/
http://iramis.cea.fr/ComScience/GeochimieCycles/affiche.php?table=Geochimie_MORB_OceanPacifique&type=MORB&domaine=Océan%20Pacifique&zone=Ride%20Hollister
https://aphadolie.com/2017/09/06/un-gigantesque-mur-surgi-du-fond-de-locean/