Trump a stoppé les livraisons d’armes et les financements aux "rebelles modérés" décidés par Obama et la CIA !
Vous vous souvenez sans doute comment les médias ont hurlé lorsque le président Trump a arrêté le programme de la CIA mis en place par Obama pour armer et former les "rebelles" syriens qui luttaient contre le gouvernement syrien.
En réalité, Trump a mis fin au financement par Obama des terroristes en Syrie.
Une vidéo a circulé en début d’année, que le président Trump a vue, où l’on voit un garçon syrien décapité par les "rebelles syriens"– oui, ceux qui sont censés être nos "alliés", et une fois la vidéo confirmée comme authentique et le pedigree des auteurs identifié, Trump a finalement décidé à mettre fin au programme.
Sur la vidéo que je ne vous montrerai pas, des "rebelles" syriens décapitent un enfant, près de la ville d’Aleppo.
Les combattants en question appartiennent au Mouvement Nour al-Din al-Zenki, un groupe soutenu par la CIA dans le cadre de son programme d’aide aux rebelles.
Les images sont horribles.
Cinq barbus entourent un garçon à l’arrière d’une camionnette.
Ils sont en train de sourire.
L’un d’entre eux tient la tête du garçon par les cheveux tandis qu’un autre le frappe au visage.
Puis l’acte, horrible.
Et la tête de l’enfant maintenue en l’air comme un trophée.
La scène rappelle les vidéos de l’État islamique, sauf que ce n’était pas le travail des hommes d’Abu Bakr al-Baghdadi. Les meurtriers sont censés être "les bons garçons" : nos alliés.
Trump a demandé à savoir pourquoi les États-Unis ont soutenu al-Din al-Zenki si ses membres sont des extrémistes.
La question a été discutée longuement avec les hauts responsables du renseignement américain.
Aucune bonne réponse n’a été donnée, selon les personnes informées des conversations.
Après avoir pris connaissance de détails plus inquiétants encore sur la "guerre invisible" de la CIA en Syrie, y compris le fait que les rebelles soutenus par les États-Unis ont souvent combattu aux côtés des terroristes, parmi lesquels al-Qaïda en Syrie, le président a décidé de mettre fin au programme.
En vertu de la loi américaine, il est illégal pour tout Américain de fournir de l’argent ou de l’aide à Al-Qaïda, à ISIS ou à d’autres groupes terroristes.
Si un citoyen américain a donné de l’argent, des armes ou apporté son soutien à un de ces groupes, il est jeté en prison.
Pourtant, le gouvernement américain Obama a violé cette loi pendant des années, soutenant silencieusement les alliés et les partenaires d’al-Qaïda, d’ISIS, de Jabhat Fateh al Sham et d’autres groupes terroristes avec de l’argent, des armes et le soutien du renseignement américain dans leur lutte pour renverser le gouvernement syrien.
La CIA a également fait passer des armes et de l’argent par l’intermédiaire de l’Arabie saoudite, de la Turquie, du Qatar, et l’attaque contre l’ambassade américaine de Benghazi n’est probablement pas étrangère à ce trafic, encore que toute la vérité n’a pas été divulguée sur ce tragique dossier dont Hillary Clinton porte toute la responsabilité.
La CIA a assisté des personnes qui fournissaient un soutien direct et indirect à des groupes comme ISIS et al-Qaïda.
Ce soutien a permis à Al-Qaïda et à d’autres organisations terroristes d’établir des forteresses à travers la Syrie, y compris à Aleppo.
Un article publié en novembre par le New York Times (nytimes.com) a confirmé que les "groupes rebelles" soutenus par les États-Unis ont conclu des alliances avec les affiliés d’al-Qaïda en Syrie, autrefois connus sous le nom de Nusra.
Cette alliance a rendu l’expression "rebelles modérés" caduque.
Les rapports confirment que "toutes les organisations armées anti-Assad dans les provinces d’Idlib et Aleppo sont engagées dans une structure militaire contrôlée par les militants de Nusra, c’est-à-dire al-Qaïda".
Immédiatement après la campagne présidentielle, Donald J. Trump a déclaré qu’il avait l’intention d’abandonner le programme américain de son prédécesseur de soutien aux groupes syriens “modérés” qui combattent le gouvernement du Président Bashar al-Assad.
Trump avait déclaré : “nous n’avons pas la moindre idée de qui sont ces gens-là.”
À ce moment-là, Donald Trump n’avait pas encore vu la vidéo de décapitation d’Aleppo.
Il n’avait pas eu de réunion avec les services de renseignements américains.
Il n’avait pas entendu ces services lui expliquer qu’ils n’avaient aucune explication sur la logique du programme.
C’est le Président Trump, et non le président Obama, qui est critiqué.
Les médias lui reprochent d’être de facto complice du président syrien al-Assad, en terminant le programme d’armement décidé par Obama, armes qui terminaient entre les mains des terroristes.
Entre 2009 et 2011, le président Obama décida aussi d’armer les cartels de drogue mexicains pour, c’était le but de l’opération, suivre la trace des armes et repérer les réseaux de drogue.
Une arme fut en effet suivie à la trace : elle servit à tuer un agent américain des services de l’immigration.
Obama dut brutalement interrompre son stupide programme pour calmer le scandale.
Son ministre de la Justice, Eric Holder, fut condamné par le Congrès pour outrage à la justice – une première dans l’histoire pour un membre du ministère de la Justice – en raison d’obstruction à la justice : il refusa de fournir les documents de "Fast & Furious", le nom de code de l’opération.
Par Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Sources :
https://gabbard.house.gov/news/StopArmingTerrorists