Comment les Allemands Sécessionnistes ont gagnés la dernière bataille de la Seconde Guerre Mondiale en 1947 et ont pris le Pouvoir aux USA !
Saison 2, Episode 4
DW : Je suis enthousiaste pour cet épisode. Bienvenue à nouveau. Je suis votre hôte, David Wilcock. Et nous plongeons profondément dans le monde des informations cosmiques, probablement les choses classifiées au niveau de secret le plus élevé auxquelles vous pourriez accéder. Tout cela a été jalousement gardé derrière tant de couches compartimentées de secret, que cela n’a tout simplement jamais été accessible auparavant. Si vous avez suivi le parcours de notre récit, vous avez vu qu’au cours des épisodes précédents, nous avons d’ores et déjà abordé des sujets vraiment incroyables.
Nous avons discuté de la façon dont les sociétés secrètes allemandes, dès les années 1920 et dans les années 30, ont noué des relations diplomatiques et politiques avec deux civilisations intelligentes, l'une connue sous le nom de Draco, qui semble être une confédération de divers humanoïdes d’apparence reptilienne, et l'autre est celle des Agarthiens, des personnes de type nordique -- en d'autres mots, les yeux bleus, les cheveux blonds, des humains à peu près de notre taille, peut-être un peu plus grands, qui se présentaient comme n’étant pas de ce monde, mais comme il l’a révélé, ce sont en fait des gens qui sont originaires d’ici sur Terre, et en raison d'événements catastrophiques, ils ont dû aller sous terre. Ce dont nous avons discuté est la façon dont cette alliance s’est formée, et comment les Agarthiens et les Dracos ont fourni aux Allemands un peu de l'aide supplémentaire dont ils avaient besoin pour s’élancer dans l'espace. La dernière fois, nous commencions tout juste à arriver à quelque chose de vraiment intéressant et maintenant, nous sommes de retour pour continuer et aller plus loin dans l'histoire. Donc Corey, bienvenue à l'émission.
CG : Merci.
CG : On s’y habitue. Vous voyez des gens regarder la lune, et je regarde la lune, mais je la vois d’une manière totalement différente des autres personnes. Vous cultivez l'habitude.
DW: Donc, on parlait de l'histoire de comment notre programme spatial s’est développé, et ce sujet des Agarthiens est vraiment fascinant. Cela semble relier tellement de points. Lorsque Graham Hancock a écrit "Les empreintes digitales des Dieux", son hypothèse était que vous avez ces êtres aux cheveux blonds, aux yeux bleus, d’apparence aryenne, qui se sont présentés dans des bateaux à toutes ces diverses cultures indigènes, partout dans le monde, se faisant passer pour des dieux, et leur donnant des enseignements, comme la façon de créer une roue à eau, puis l’utiliser pour commencer à moudre le grain, et comment faire de la métallurgie, des mathématiques, de l'astronomie. Pensez-vous que les Agarthiens avaient beaucoup à voir avec la reconstruction de nos sociétés à la suite de quelque catastrophe ?
CG : Oui. Cette ancienne civilisation en sécession a aidé, et il y en a eu d'autres qui ont fait la même chose.
DW : Donc ces Agarthiens, vous avez dit, étaient beaucoup plus favorables aux Allemands parce qu'ils nous ressemblaient plus. Et c’est de là qu’ils ont tiré ce concept de race supérieure, croyez-vous ?
CG : C’est cela, ou bien ils leur étaient favorables à la cause de leur inclination vers une race supérieure. Je ne sais pas ce qui est venu en premier.
DW : Donc est-ce que les Agarthiens ont volé avec les Allemands dans leurs engins en forme de cloche ?
CG : Eh bien, la cloche était en fait la composante moteur, ou la composante qui créait le champ électro-gravitationnel. En fait au début, les engins avaient la forme d’une soucoupe plus grande.
CG : Quand les Américains ont mis la main dessus, ils étaient appelés ARV, Reproduction de Véhicules Aliens.
DW : Eh bien, juste pour revenir à ma question, sinon certaines personnes vont être laissées en suspens si vous ne répondez pas à cela ; les Agarthiens ont-ils volé avec les Allemands dans ces engins ?
CG : Oui.
DW : Vraiment ?
CG : Oui.
DW : Était-ce fréquent? Étaient-ils supervisés généralement, et ils n’y allaient pas seuls ?
CG : Au début.
CG : Je ne sais pas. Je sais qu'elle était très grande, car c’était un réseau.
DW : Vraiment ?
CG : C’était un réseau de villes souterraines. Dans l'Himalaya, il y avait la ville la plus proche de la surface, et il semble que c’était par là qu’ils allaient et venaient le plus pour accéder à la surface.
DW : Wov. Donc les Agarthiens ont amené les Allemands dans cette zone en ruine sous la glace dans l'Antarctique. Et vous avez dit qu'il y a eu un développement souterrain, de même qu’en surface.
CG : En effet.
DW : Parlons-nous de caves en sous-sol ? Ou combien d'infrastructures souterraines avaient-ils là-bas ?
CG : C’était en gros le même genre de cavernes souterraines qui avaient été construites par une autre civilisation dans les temps anciens.
DW : C’est donc assez vaste ?
CG : Oui.
DW : Nous parlons de multiples niveaux en profondeur ?
CG : Oui, tout comme la description que je vous ai donnée une autre fois sur le fait que, plus vous descendez, vous avez une sorte de structure alvéolaire de cavernes plus profondément sous la Terre.
DW : Occupons-nous de cela pendant une seconde, parce que je pense que beaucoup de gens vont avoir quelques problèmes avec cette idée, du moins en termes de science conventionnelle, il y a une compréhension que plus on descend dans la terre, plus la température augmente, régulièrement. Donc, est-ce que ces gens ne seraient pas brûlés vifs dans une sorte de four géant ?
CG : C’est le cas pour certaines zones et profondeurs. Et puis après ces certaines zones et profondeurs, cet effet commence à s’inverser.
DW : Et vous obtenez en fait un effet de refroidissement.
CG : En effet. Cela va de façon exponentielle, vers moins de pression et moins de chaleur, tout comme cela augmente de façon exponentielle avec plus de chaleur et de pression, à mesure que vous descendez. Cela s’inverse.
DW : Pensez-vous que ces zones, qui sont en profondeur sous la terre, ont en fait de la végétation, et leur propre évolution parallèle, avec un écosystème d’animaux, de plantes, etc…? Pensez-vous que ceci est l’indice d'une conception intelligente ? Ne semble-t-il pas que la planète soit dotée d’une vie intelligente qui peut vivre à la surface, et qu’alors peut-être, une vie intelligente plus avancée pourrait vivre sous la terre et superviser, sans être détectée ?
CG : La vie surgit partout où elle le peut.
DW : Même dans la forme si complexe d’un écosystème, dites-vous ?
CG : En effet, et même dans l'espace interstellaire.
DW : Oui, nous en avons parlé auparavant, les gens de Solar Warden (Gardiens du système solaire) qui analysent là ces êtres de plasma. OK, donc maintenant, nous allons passer au sujet de comment les Allemands sont-ils allés jusqu'à la lune ? Nous avons un peu abordé ceci en partie la dernière fois, mais vous avez dit que dans les réunions de la Super Fédération, dont vous avez parlé, il y avait 22 programmes génétiques qui sont en action sur l'humanité, dont une partie implique le partage et la transformation de matériel génétique. Vous avez également mentionné que nous sommes programmés pour rechercher et vénérer une image ou représentation de Dieu, et à transférer notre pouvoir à des gourous, dirigeants et politiciens, ce genre de chose ?
CG : Exact.
DW : Et ces gens qui gèrent cette Super Fédération, je pense que vous avez dit qu’il y en a 40, qui en sont normalement comme les principaux ?
CG : 40 à 60.
DW : Est-ce toujours les mêmes délégués qu'ils envoient à ces conférences, ou est-ce à tour de rôle?
CG : C’est généralement les mêmes délégués ET (Extraterrestres). Pour la délégation de la Terre cela tourne.
DW : Donc Corey, nous allons devoir consacrer des épisodes entiers sur ce qui arrivé avec la construction sur la lune, ce qui est arrivé avec la construction sur Mars. Mais pour le spectateur, cela va être une chose vraiment difficile de comprendre comment l'Allemagne, qui était vraiment le principal moteur industriel derrière la première et la deuxième guerre mondiale -- ils étaient sans doute la grande puissance industrielle de l'Europe. Et puis, l'Amérique est devenue leur principale contrepartie, dans ce match de boxe qui a créé la première et la deuxième guerre mondiale. Cette très forte puissance industrielle semble avoir été écrasée. Quand nous voyons les conséquences de la seconde guerre mondiale, les Allemands ont dû payer d'énormes frais de reconstruction, des frais financiers, ce qui a pratiquement ruiné leur économie, tout comme ce qui est arrivé après la première guerre mondiale, vous aviez la République de Weimar, et les gens devaient remplir une brouette d'argent juste pour aller acheter une miche de pain. Alors regardez, l'Allemagne semble avoir été écrasée, et n’avait plus rien.
CG : Eh bien, à ce moment-là, l'Allemagne avait déjà été abandonnée par la civilisation allemande en sécession.
DW : Vraiment ? Quand cela a-t-il commencé à se produire ?
CG : Cela a commencé à se produire bien avant la fin de la guerre. Ils ont vu les signes avant-coureur. La guerre allait mal tourner. Ils le savaient. Alors ils ont commencé, comme nous en avons discuté, à créer des enclaves en Amérique du Sud, au Brésil, et puis en profondeur dans l'Antarctique.
DW : Donc tout cela était en préparation de leur défaite. Que pensaient-ils vouloir faire s’ils perdaient ?
CG : Ils voulaient juste continuer leur civilisation à part, juste continuer et quitter tous les gens ordinaires.
DW : Est-ce que le système qui développait cette civilisation dissidente dans son propre compartiment séparé, était différent du dispositif gouvernemental qui, en fait, menait la guerre ?
CG : Oui, ils étaient totalement séparés à ce moment-là.
DW : Vraiment ? Je pense que c’est un concept très mal compris, ce que vous dites là.
CG : Oui. Donc, ce qui est arrivé avec l'Opération Paperclip, c’est que l'Amérique a obtenu plus de scientifiques que ce qui a été annoncé.
DW : Qu’est-ce que l'Opération Paperclip, pour ceux qui ne le savent pas ?
CG : L’Opération Paperclip est un accord, où nous (les USA) avons obtenu des scientifiques allemands et de la technologie qui était très avancée, et ces gens avaient pratiquement 20, 30 ans d'avance sur nous sur le plan technologique, c’est ce qui était dit sur le papier. Donc, après la guerre, nous les avons amenés ici, nous avons pris ces scientifiques allemands pour les mettre dans nos programmes spatiaux naissants, dans notre infrastructure, et nous avons commencé à leur donner du pouvoir, au fur et à mesure qu’ils ont commencé à nous prouver leur valeur.
DW : Pourquoi diable leur avons-nous fait confiance ?
CG : Ils nous ont fait gagner de l'argent.
DW : Cela ne semble pas être une bonne idée.
CG : Eh bien, ça ne l’était pas. Alors, en 1947, les services de renseignement ont découvert que les groupes allemands séparatistes avaient créé des enclaves en Amérique du Sud et en Antarctique. Et nous savions que dans l'Antarctique, c’était une base militaire très importante. Donc le DOD (Département de Défense) a décidé d'envoyer une flotte très importante, sous le commandement de l'amiral Byrd. Et ce fut appelé ‘Opération High Jump’, beaucoup de gens connaissaient bien le nom de cette opération. Je ne me souviens pas du nombre exact, mais c’était une flotte de guerre.
CG : Cuirassés, destroyers, porte-avions, sous-marins, la totale.
DW : C’était après la seconde guerre mondiale. Vous avez dit 1947 ?
CG : 1947, oui. Ils ont fait tout le chemin jusqu'en Antarctique. Et ils ont fini par se heurter à une technologie vraiment avancée, ce qu'ils n’avaient pas prévu. Il y avait ces engins volants très sophistiqués, qui sortaient hors de l'eau et du continent Antarctique, et qui tiraient, abattaient leurs appareils et causèrent des dommages importants à, je pense, plusieurs destroyers. Et ils ont perdu des vies. Ils ont vraiment été totalement défaits.
CG : De l’armement sophistiqué.
DW : Vraiment ?
CG: En effet. De l’armement énergétique en quelque sorte.
DW : Wow. À quel point ces armes étaient-elles destructrices ? Que se passait-il quand ils tiraient ?
CG : C’était assez destructeur et efficace. Alors ils ont viré de bord, battu en retraite et sont revenus aux USA, et l'amiral Byrd s’est présenté devant le DOD, le Président, les chefs d’état-major, et a rendu un rapport classifié top secret au sujet des incidents rencontrés. Et son journal est toujours le journal du capitaine. Il est encore sous clé jusqu'à ce jour. Certains de ses commentaires sont sortis dans le domaine public ; il aurait dit que lors de la prochaine guerre, nous serions attaqués par des avions volant d’un pôle à l'autre en quelques minutes. Quelques petits commentaires comme cela lui ont échappé. Mais il en a résulté que le DOD et les agences de renseignement sont allés voir les scientifiques du groupe Paperclip.
DW : Mais attendez une minute. J’étais un ‘geek’, et j'ai lu environ 300 livres sur l’Atlantide et toutes ces choses. Et ils disent que l'amiral Byrd a vu la Terre creuse, qu'il y avait des mammouths et des hommes des cavernes.
CG : Ça c’est un tas de trucs qui sont venus plus tard, qui n'ont rien à voir avec la mission réelle qu'il avait.
DW : Était-ce de la désinformation ? De la désinformation infiltrée ?
CG : C’était, soit de la désinformation, ou venant de quelqu'un avec une grande imagination. Je ne sais pas lequel des deux.
DW : OK.
CG : Mais ils ont fini par entrer en contact avec certains scientifiques allemands du groupe Paperclip, et les ont questionnés à ce sujet. Et certains ont été francs et ont dit : ‘Oui, nous connaissons ce groupe’. Et ils ont dit -- ils étant les Américains, des services secrets et du gouvernement -- ‘Bien, pouvez-vous nous mettre en contact avec eux ?’ Donc ces scientifiques du Paperclip ont commencé un dialogue avec les Américains. Et ensuite je crois que c’était avec Truman.
DW : L’ont-ils fait par communications radio, une sorte de communication cryptée ?
CG : Eh bien, cela a commencé avec des communications radio. Et ils ont arrangé une rencontre entre Truman et ce groupe dissident.
DW : Sans blague ?
CG : Et ce groupe dissident a commencé à faire des demandes assez importantes qui n’ont pas plu à Truman.
DW : Donc, si High Jump était en 1947, de quelle période parlons-nous maintenant ?
CG : Tout de suite après.
DW : Vraiment ?
CG : Oui. Donc, après cela, il y a eu une période de discorde. Les Allemands en dissidence ont découvert par l’intermédiaire des Allemands du Paperclip, qu'après Roswell et quelques autres accidents de vaisseaux extraterrestres antérieurs, que nous avions créé une règle politique; c’était à un niveau top secret surpassant le domaine des armes nucléaires, l'existence des extraterrestres et de certaines technologies ne serait jamais révélée à l'humanité. Et c’était parce que cela pourrait détruire la société et tout ça. Tel était leur raisonnement. Alors, le groupe dissident allemand de l'Antarctique a profité de cela et ils ont commencé à faire des sorties au-dessus des États-Unis. Et cela inclut les survols de Washington DC en 1952, qui se sont déroulés deux semaines de suite.
CG : C’était le groupe dissident allemand. Et ce fut leur façon de dire, acceptez nos conditions, signez un traité avec nous, ou nous allons dévoiler cela au grand jour, et nous savons que c’est votre pire cauchemar. Vous ne voulez pas que le peuple américain soit au courant de quoi que ce soit à ce sujet.
DW : Sinon ils perdraient le contrôle du pétrole. Donc ils perdraient leur argent. Ils perdraient l'économie.
CG : Exactement.
DW : Ils perdraient leur crédibilité politique.
CG : Mm-hmm.
DW : Wow. Donc, c’était une offre qu'ils ne pouvaient pas refuser.
CG : En effet. Donc ceci se passait à la fin de l'époque de Truman, et au début du mandat d'Eisenhower.
DW : À ce stade, est-ce que le Président des États-Unis avait encore le dernier mot vis à vis des militaires, et de ce qu'ils faisaient ?
CG : Oui, il avait encore un certain pouvoir. Et Eisenhower et Truman ont été ceux qui ont signé des traités avec ce groupe.
CG : Et le résultat est que cela a amené le groupe séparatiste allemand ici aux États-Unis. Maintenant, les deux groupes avaient leur stratégie. Le plan des Américains était que, lorsque le groupe séparatiste allemand serait arrivé, ils allaient les infiltrer, obtenir leur technologie, trouver un moyen de les vaincre, pour parler poliment, et finalement être gagnants.
Eh bien, le groupe séparatiste allemand avait exactement le même plan. Ils voulaient construire une infrastructure dans l'espace lointain, ou dans notre système solaire, et qui de mieux que les États-Unis pour le faire ? Parce que nous les avions battus avec notre puissance industrielle. Je veux dire, c’est ce qui les a vaincus. Nous avons construit plus de tanks. Nous avons fabriqué plus de bombes. Ce fut une guerre d’usure et cela a causé leur échec.
DW : Est-ce que ce groupe allemand s’est enfui avec de l'or ? Par exemple avaient-ils leur propre source de financement, qu'ils pourraient utiliser s’ils voulaient mettre en action des réserves potentielles de main-d'œuvre ?
CG : Oui, ils avaient beaucoup d'or, qu'ils avaient pillé.
DW : Mais ils avaient besoin de travailleurs. Ils avaient besoin d'une infrastructure industrielle réelle.
CG : Ils avaient besoin d’une infrastructure industrielle, et ils avaient besoin d'accéder à nos sociétés, qui ont signé les chèques, créé les plans de développement, et aidé à construire l'infrastructure. Donc ce qui est arrivé, c’est qu’en fait ils ont gagné la petite compétition au sujet de qui infiltre qui. Ils ont complètement infiltré le complexe militaro-industriel.
DW : Complètement infiltré ?
CG : Complètement.
DW : Voilà une déclaration très provocatrice. Comment définissez-vous ‘complètement infiltré’ ?
CG : Eh bien, ils s’étaient déjà assez bien implantés avec les scientifiques allemands du Paperclip. Et quand ils sont arrivés avec toute cette technologie avancée, les gros bonnets des affaires ne se sont pas souciés de qui ils étaient. Cela leur était égal, s’ils étaient des groupes séparatistes allemands. Ils ne se souciaient pas de quel écusson ils avaient sur leurs épaules. Ces gros bonnets des banques et des grandes entreprises ont juste vu miroiter des dollars devant leurs yeux.
DW : Ils voulaient les meilleurs jouets du quartier.
CG : Tout à fait. Donc, ils ont accepté à bras ouverts ces groupes allemands. Et ils les ont inclus dans leurs conseils d’administration. Ils se sont laissés totalement infiltrer.
DW : Qu'est-ce que les Allemands leur ont montré pour les convaincre ? Les ont-ils amenés en voyage ? Ont-ils eu l'occasion d’aller voir leur matériel dans l'Antarctique, quelque chose comme ça ?
CG : Non, ils ont donné quelques ARVs, des engins, pour nous permettre de faire de la rétro-ingénierie, alors qu’ils se jouaient encore de nous. Et c’était vraiment le message de fond derrière le discours d'adieu d’Eisenhower, au sujet du complexe militaro-industriel.
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CG : Oui. Et à la fin des années 50, début des années 60, ils avaient également complètement infiltré les agences de renseignement. Et puis après ça, ils ont finalement pris le dessus, en fait, sur le gouvernement américain.
DW : Cela fait beaucoup à intégrer.
CG : En effet.
DW : Je pense que tout le monde, en particulier les personnes qui ont l’esprit sportif, veulent être dans l'équipe gagnante. Et si vous êtes dans une équipe qui n'a pas gagné, vous avez le sentiment d’être un raté. Je pense que vous allez rencontrer beaucoup de résistance, parce que les gens ne veulent pas être des perdants. Ils veulent croire en Dieu et en leur pays, maman et la tarte aux pommes, la clôture blanche, le SUV dans l'allée, la famille standard de 2,5 enfants. Ce que vous dites viole complètement l'idée de l'Amérique que nous connaissons.
CG : Et c’est ce qui se passe au sommet. Tous ceux des niveaux inférieurs, nous avons encore cette illusion. Nous avons encore la clôture aux piquets blancs. Nous avons encore les SUV dans l'allée. Donc nous avons été en mesure de maintenir cette illusion.
DW : Y a t-il encore des gens dans l'armée Américaine qui croient en la Constitution, à laquelle ils ont prêté serment ?
CG : Absolument. Oui.
DW : Donc cela pourrait causer un problème, alors, si les sociétés, les entreprises en contrat avec la défense font un accord avec les Allemands. Ce n’est pas tout le monde qui va vraiment vouloir danser main dans la main avec l'Allemagne.
CG : Oui, et nous pourrons discuter de ceci plus tard, à propos des conflits dans le gouvernement, dans les alliances de la Terre, et ce qui se passe là. Les Allemands, une fois qu'ils ont eu une prise ferme sur l'infrastructure des États-Unis, c’est à ce moment que les constructions massives ont commencé dans l'espace et les programmes spatiaux secrets. Et ils ont commencé à travailler avec des groupes américains de la cabale, qui avaient travaillé ensemble à peu près tout le temps, de toute façon, pendant la première et la seconde guerre mondiale. Donc, c’est alors qu’ils ont commencé à construire le programme spatial secret sérieusement, et l'infrastructure massive dont je parle.
DW : Donc, vous avez dit High Jump en 1947, Truman a commencé à les rencontrer juste après High Jump. Les négociations commencent à prendre place, mais cela ne se passe pas bien. Alors les Allemands ont poussé le bouchon, en faisant cette démonstration publique d'OVNIs très flagrante, si cela se produisait maintenant, tout le monde ayant son petit appareil photo téléphone, ce serait la fin de la dissimulation OVNI.
CG : En effet.
DW : Directement sur la capitale, juste au-dessus du bâtiment du gouvernement des États-Unis d'Amérique. C’était en 1952 vous avez dit. Quelle est la chronologie ? Décrivez-nous quand cela a-t-il eu des répercussions. Se sont-ils rendus immédiatement après ce survol ? Était-ce comme la reddition finale ou quelque chose comme ça ?
CG : Ce fut la goutte qui a fait déborder le vase, là où les conseillers présidentiels ont dit : OK, nous sommes obligés de signer un traité. Lorsque nous aurons signé le traité, nous monterons également un plan pour aller de l'avant, et essayer de nous infiltrer, de voler leur technologie, et nous occuper d’eux plus tard. Nous n’essaieront pas de transiger en position de faiblesse. Et cela nous amène à peu près à la date où ils ont commencé à construire l'infrastructure principale du programme spatial secret.
DW : Maintenant, de toute évidence, cela va demander de la main-d'œuvre. Comment obtiennent-ils les muscles ? C’est une autre chose avec laquelle, je pense, les gens ont un problème. Et il nous reste seulement quelques minutes, deux ou trois minutes.
CG : Cela va nous amener à quelque chose dont beaucoup de gens ont entendu un peu parler, ce qui a été appelé la ‘fuite des cerveaux’, qui a eu lieu dans les années 50, 60, et jusque dans les années 80, où un grand nombre de scientifiques de haut niveau à travers le monde ont été approchés et ont reçu des offres pour rejoindre ces programmes. Et il y a eu tout d'un coup, tous ces brillants scientifiques qui ont disparu de la surface de la Terre.
DW : Vous dites beaucoup de scientifiques et tous ces brillants -- c’est quoi ‘beaucoup’ et ‘tous ces’?
CG : Il y a eu des millions de personnes, sur une longue période de temps, qui étaient très intelligentes et avaient montré beaucoup d’espoirs, et ils sentaient qu’ils pourraient contribuer à ce programme de l'espace en pleine expansion, en tant que groupe d'infrastructure. Et ils ont amené ces personnes à en faire partie.
DW : Eh bien, mon informateur initié, Pete Peterson, un ancien bien sûr, a déclaré qu'il y a eu de 50 à 60 millions de personnes dans la ‘fuite des cerveaux’.
CG : Cela fait beaucoup.
DW : Et ont-ils reçu la consigne d’avoir des enfants très rapidement, une fois atteinte la maturité nécessaire ?
CG : Oui, on leur a dit : soyez féconds et multipliez-vous.
DW : Donc, 60 millions de personnes qui ont des enfants dès qu'ils arrivent en âge de le faire, vous pourriez parler d'une population aussi grande que celle de tous les États-Unis ou même plus.
CG : En effet.
DW : Wow ! Nous allons continuer ce récit, en découvrir plus sur ce qui est arrivé. Comment avons-nous envoyé ces gens dans l'espace ? Que leur a-t-on dit ? Il y a encore beaucoup plus à venir. Donc merci d’avoir regardé, et restez à l'écoute.
Traduction Estelle P. Rev. J-L
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