Divulgation Cosmique n° 7 : Visite d’une usine et d'une colonie sur Mars complétement coupée du monde et dont les colons croyaient qu'il n'y avait plus d'humains du Terre !
Divulgation cosmique avec Corey Goode et David Wilcock
David Wilcock (DW)— Corey Goode (CG)
DW : Bienvenue à Divulgation Cosmique. Je suis votre hôte, David Wilcock, et je suis ici avec Corey Goode l’initié des initiés, un homme qui a des expériences qui ont véritablement révolutionné ce que nous savons sur le phénomène OVNI dans son ensemble, et en particulier sur un groupe, au sein du complexe militaro-industriel, qui a colonisé l’espace, et largement construit une grande quantité d’habitations dans notre système solaire, dans un but de croissance industrielle et de commerce, avec une variété de civilisations extraterrestres.
Donc, Corey, bienvenu à l’émission.
CG : Merci.
DW : Nous avons parlé dans les précédents épisodes, de cette très bizarre chaîne d’événements, qui commencent à se produire à partir du moment, où vous êtes attiré dans le programme spatial après des années d’absence.
Nous avons parlé du personnage énigmatique, le lieutenant-colonel Gonzales – ce qui n’est pas son vrai nom. Et il semble que jusqu’à l’apparition de cette barrière extérieure, la Cabale ne pensait pas vraiment qu’ils pouvaient être arrêtés (NDLR : Barrière Énergétique placée autour de la Terre par les Forces de la Lumière pour empêcher la Cabale et ses alliés de partir).
Seriez-vous d’accord avec cela ?
CG : Ils ne pensaient pas que quelque chose pouvait les arrêter. Leurs alliés, dans les domaines des Extraterrestres et du monde éthérique, étaient théoriquement invincibles. Leurs dieux les protégeaient, et nous étions seulement des bouches inutiles qui sont jetables, et rien ne pouvait les arrêter.
DW : Pouvez-vous nous dire ce que vous savez à propos de l’éveil qui semble s’être produit, pour le ou les êtres, en stase ? Pourquoi la Cabale était intéressée par ces êtres en stase, et ce qui est arrivé quand ils se sont réveillés ?
CG : Alors, lorsque les sphères ont commencé à apparaître dans le système solaire, ils pensaient que c’étaient les dieux Sumériens qui revenaient.
DW : Ils pensaient que ces sphères – les êtres de stase l’étaient ?
CG : Les Êtres des Sphères
DW : Oh. OK !
CG : Ils pensaient aussi que les êtres de stase, qu’ils avaient visités et adorés, ils pensaient qu’ils étaient aussi leurs dieux. Et quand ils ont commencé à revivre, ils ont été déçus une fois de plus.
Ces êtres étaient en train de se réveiller et étaient confus et bouleversés, et d’après ce que l’on m’a dit, ils ont ensuite été envoyés avec un autre groupe, qui peuvent être des extraterrestres ou pas, afin d’aller rejoindre leur peuple ; je ne sais pas si cette information est exacte, compte tenu de cette source.
DW : Donc, si la source est correcte, alors ce fut une déception très importante pour la Cabale.CG : Une parmi tant d’autres.
DW : Ils pensaient que l’un de leurs dieux allait se réveiller, et essentiellement les sauver de ce qui se passait.
CG : En effet.
DW : Et ils n’ont pas du tout reçu ce qu’ils voulaient.
CG : En effet, et ceci a démoralisé la Cabale, une fois de plus. Et l’un des plus forts du programme spatial secret, le CPI (Conglomérat Interplanétaire Industriel), après la récente réunion avec les Dracos Blancs Royaux, là les Dracos Blancs Royaux ont offert tous leurs disciples humains, en échange pour être autorisés à quitter le système solaire, en dehors de la barrière énergétique empêchant la sortie de la Terre (Voir article relatant cette rencontre : http://changera.blogspot.fr/2015/07/corey-negociations-avec-lalliance-des.html ), le CPI a commencé à capituler sur quelques points. Et après que beaucoup d’informations soient publiées au sujet des colonies d’esclaves sur Mars, cela a été un casse-tête majeur de "Public Relation" pour la Cabale et le CPI.
DW : Il semble que la Cabale s’attendait à devoir dire la vérité à un moment donné. Or maintenant, c’est plus que le fait d’être obligés de dire la vérité, ils sont préoccupés par la façon dont c’est présenté ?
CG : Eh bien, à ce stade, ils savent déjà qu’un grand pourcentage des membres de très haut rang de la "Cabale" Gouvernement secret de la Terre, et des membres des Agences Gouvernementales Secrètes avaient fait défection avec de nombreuses informations similaires à ce qu’avait Snowden, et ils ont adhéré à l’Alliance, l’Alliance des Programmes spatiaux secrets, et ont convenu à un certain point, de témoigner contre eux.
Et ce qu’ils voyaient et entendaient, à peu près, c’est qu’il allait y avoir dans l’avenir, un déversement géant de données, de toutes ces informations au sujet de leurs crimes contre l’humanité.
Et une offre étrange est venue, de la part du CPI, par le biais d’une négociation ; ils voulaient prouver, que les gens sur Mars, étaient là de leur plein gré, qu’ils étaient heureux,et qu’ils faisaient un travail important, que les choses ne sont pas si mauvaises sur Mars, que cela avait été énoncé dans des rapports récents que j’avais publiés, et que d’autres commençaient à répandre sur l’Internet, au sujet des "esclaves des colonies" sur Mars.
DW : Alors, en un sens, la version du CPI de la Cabale s’attendent maintenant à ce que plusieurs dénonciateurs, qui ont des connaissances de très haut niveau, vont se manifester et les incriminer grandement. Et, en raison de l’importance qu’ils vous voient acquérir, ils veulent vous donner un spectacle pour tenter d’améliorer vos préoccupations à ce sujet, et vous montrer que tout le monde sur Mars, semble tous se tenir la main en chantant "Kumbaya".
CG : Ce n’était pas seulement pour moi. C’était plus un spectacle pour les représentants du conseil de l’Alliance des Programmes Secrets de l’Espace, incluant Gonzales et moi-même.
DW : Je suppose que l’un des problèmes, que certaines personnes vont avoir avec cela, est que, si la mission de ce programme de l’espace est si importante pour l’Alliance, pourquoi iraient-ils ici, vous jeter comme un canari dans une mine de charbon ?
Pourquoi par exemple, n’auraient-ils pas plutôt déployé cinq personnes différentes, ensemble, et qui tous savaient ce que vous savez ?
CG : On m’a dit – et je m’attendais à ce que plus surgissent avant maintenant. Et je vous lance le défi maintenant là-bas, à ceux qui sont là-bas – Commencez à vous manifester!
Il y a plein de gens là-bas qui en savent beaucoup, sur ce dont je vous ai parlé. Et, comme je l’ai déjà dit précédemment, j’en ai observé beaucoup dans le passé, de ceux qui vous ont parlé, et même, se sont avancés jusqu’à la ligne, pour s’arrêter et faire volte-face, et disparaitre de la scène publique.
Et il a beaucoup de gens qui connaissent ces informations, ou des pièces compartimentées de ces informations, qui peuvent s’avancer, et que je pense, VONT s’avancer à l’avenir, avec des informations similaires.
DW : Oui, et en fait le premier invité que nous voulions avoir sur l’émission "Divulgation"était Henry Deacon. Et j’avais personnellement payé son billet d’avion jusqu’ici, mais juste avant de prendre l’avion, juste avant, il a été très sévèrement menacé.Et cela a fait capoté tout le projet.
Donc, une partie, peut-être, de la raison pourquoi plus de gens ne se sont pas manifestés, est simplement la gravité de la force de coercition qui est utilisée pour essayer de les empêcher de se dévoiler.
En effet, j’ai parlé à plusieurs autres personnes qui en connaissent beaucoup sur la même chose que vous savez, aucun d’eux ne voulait se présenter.
CG : Le temps est venu.
DW : Donc, la CPI ne présente pas ceci uniquement, pour vous et vos lecteurs sur internet. Ils anticipent que vous êtes comme la première pierre d’une série d’avalanche qui va les frapper. Et ils veulent faire ce spectacle pour l’Alliance dans son ensemble.
CG : Exactement. Et c’était aussi en prévision de ces déversements de données. Et ils veulent commencer à mettre un élan à la situation.
DW : Juste un petit rappel, au cas où quelqu’un aurait raté cet épisode, vous avez dit que le NSA avait piraté tous les documents du Programme Spatial.
CG : Eh bien, ce sur quoi Snowden a mis les mains, la NSA avait fait une des erreurs majeures, de mettre tous leurs œufs dans le même panier. Et ils étaient trop confiants.
Et il y avait tous les types d’information qu’ils utilisent, pour faire chanter les politiciens et les gens partout dans le monde. Et il y avait les Informations sur le Programme Secret de l’Espace, le tout hautement crypté.
Snowden a réussi à obtenir tout cela et l’a fait sortir des États-Unis. Et les informations, il les a envoyées via satellites depuis un certain temps. Il n’avait pas juste un petit disque dur dans sa poche arrière, quand il a fui. Il avait des tonnes, des téraoctets et des téraoctets, d’infos.
DW : J’ai entendu dire la même chose.
CG : Le tout a maintenant été entièrement décrypté, très récemment.
DW : En Juin 2015, aux alentours?
CG : Ouais, juste dernièrement. Cela a été décrypté récemment. Et puis, nous avons toutes ses tonnes et tonnes d’informations en plus, de ces récents piratages dont les gens ont entendu un peu parler.
Et donc ce sont ces informations qui inquiètent la CPI. Et cela nous amène à la raison pour laquelle, ils nous ont proposé, d’avoir comme une inspection un peu de type OTAN, de l’une de leurs colonies, de "notre" choix sur Mars, pour y inspecter l’état, les conditions de vie des colons.
DW : De combien de colonies sur Mars connaissez-vous l’existence ? CG : Il y a des dizaines de colonies, des installations et des installations industrielles qui fabriquent des technologies.Et beaucoup de ces colonies sont en périphérie de ces usines. Donc, les gens y sont transportés par navette pour travailler.
DW : Eh bien, si vous aviez une planète entière, je suppose, qu’il serait logique qu’il y ait des dizaines d’installations sur cette planète.
CG : Et c’était l’une de ces types d’installations que nous avons choisie, pour y faire une inspection.
DW : Donc, nous allons raconter l’histoire en commençant par là, où vous êtes à la maison.
Aviez-vous reçu un appel de Gonzales en quelque sorte, pour vous dire quand cela allait arriver?
CG : Oui, j’ai été prévenu que cela allait arriver. Je n’ai pas bien évalué le bon moment. Je suis entré dans mon salon. Je ne m’étais pas encore habillé. Et mon petit ami l’orbe bleu, a volé en travers ma porte coulissante en verre, la porte patio, zippé droit à travers la vitre et a commencé à tourner autour de moi
DW : De quelle grosseur était-il à ce point?
CG : Il était environ de cette taille.
DW : Et ça ressemble à la grosseur d’une balle de golf, comme une boule ronde, ce genre de chose?
CG : Hmm. Et je savais que je n’aurais pas le temps de retourner dans ma chambre et de me préparer.
Donc, je suis simplement là, je mets mes mains comme ça (mains en avant paumes vers le haut), et j’envoie le message mental que je suis prêt.
Et il file tout droit, jusqu’à environ 50 cm de ma poitrine, et se dilate. Je suis maintenant en train de flotter au milieu à l’intérieur. Et c’est comme une sorte de temps/espace bizarre et flou, alors que ça décolle, pfff.
DW : Et en combien de temps cela se produit ? Combien de temps êtiez-vous dedans ?
CG : À peine un instant.
DW : C’est très rapide.
CG : Très rapide.
DW : Vous ne ressentez pas d’impression de mouvements ou d’étoiles ?
CG : Non. Il y a une impression de mouvement au début, mais tout d’un coup, vous êtes à destination. Et il y a une pièce qui m’est devenue très familière au LOC. C’est une très grande salle de conférence. Depuis lors, elle a été très souvent utilisée pour ce type d’aller et retour, non uniquement pour moi, mais aussi pour un grand nombre de civils, qui y ont été amenés pour y faire ce qu’ils avaient à faire là. Mais ça, c’est un autre sujet.
DW : Est-ce que les Programmes Spatiaux vous ont déjà dit s’ils ont une façon d’isoler cette zone de la Cabale de sorte, qu’ils ne peuvent pas y espionner ? Pourquoi cet endroit serait-il sécurisé ?
CG : Non. Ceci est un endroit qui doit être – c’est un endroit partagé auquel, parfois, nous n’avons pas accès parce que les groupes de la Cabale l’utilisent. Mais la table principale a été poussée contre le mur depuis des mois, pour donner une plus grande surface d’ouverture de la salle de conférence.
DW : De façon que plus de gens peuvent entrer ?
CG : Exactement, parce qu’il y a un grand nombre de gens là, à certain moment, comme 70 personnes ou plus.
Et donc, je suis arrivé là. Peu après mon arrivée, l’un des agents de sécurité est entré. Et je lui dis que j’avais besoin de vêtements. Il me demande de quelle taille je suis, et il me regarde de haut en bas.
Et il part, revient, ramenant un – habituellement quand je ne suis pas prêt, on me donne des vêtements usagés. Et celui-ci était très, très fripé.
DW : Avait-il au moins été lavé ?
CG : Ouais. C’était une combinaison très fripée et une paire de chaussure toute neuve, presque exactement comme ceux-ci, qui ont une fermeture éclair sur le côté pour passer par les points de contrôle, où vous pouvez les enlever très rapidement, puis les refermer, et avec des lacets sur le devant. Ils étaient flambant neufs et n’avaient jamais été portés.
Mais je me tenais juste là en short, t-shirt, et portant des tongs. Donc, j’avais été totalement pris au dépourvu.
DW : Donc, vous vous habillez.
CG : Ainsi, après m’être habillé, j’ai attendu un peu. Et le personnel de sécurité sont venus et m’ont escortés à l’une des baies de lancement, les endroits où ils gardent les navettes.
En sortant, j’ai vu comme un demi-cercle, un groupe de gens debout, à discuter. Et Gonzales m’a vu venir, et m’a en quelque sorte reconnu, et j’ai vu le représentant de la CPI debout avec eux.
Et il y avait un tas de conseillers des Programmes Spatiaux Secrets, qui se tenaient là, échangeant essentiellement des souhaits de bonne mission, espérant que tout cela soit un succès, une sorte de discours politique.
DW : Le président de la CPI, est-ce un extraterrestre ? Est-ce un reptilien ou quelque chose comme ça ?
CG : Non, c’était un être humain. C’était un conseiller administratif de la CPI, comme un haut rang
DW: Alors de quoi a-t-il l’air? Pouvez-vous le décrire?
CG: Ouais, il avait les cheveux gris, cheveux gris-blanc, pas vraiment un mec costaud, et il portait un de ces costumes que je viens de décrire.
Nehrou Jacket, apparemment, un vêtement de style populaire pour de nombreux Programmes Spatiaux Secrets.
DW : Comme un veston Nehrou ?
CG : Ouais, Nehrou, l’Inde, en quelque sorte. Je ne sais pas pourquoi ceux-ci sont si populaires, mais cela semble être devenu la chose à porter pour les gens au pouvoir. Donc, nous retournons à ce que je viens de décrire.
Il y en a de différentes tailles de navettes, entre 13 et 20 m de long. Et elles sont modulaires à l’intérieur. Je les ai vues être modifiées pour différents types d’utilisations, y compris le transport de troupes ou médical.
Celle-ci a été organisée de toute évidence pour une utilisation de VIP. Il y avait assez de sièges pour nous tous. Et une fois que nous nous sommes assis dans les sièges, – et j’ai un très long rapport en ligne à ce sujet. Je vais abréger pour l’émission.
Gonzales entretenait la conversation. Il est un politicien impeccable. Et je veux dire, il a toutes ces compétences, de traiter avec ces types de personnes. Je me sentais vraiment en dehors de ça. Je me suis vraiment mis à l’écoute pour voir, si je pouvais obtenir plus d’informations, que ce qui m’avait été donné.
Avant je ne m’en rende compte, nous nous étions arrêtés assez loin en dehors de l’orbite de Mars. Nous étions arrêtés. Et à ce moment, un énorme écran – de presque, je dirais, environ 70 pouces de diagonale, est descendu. C’était l’une des plus grandes versions de tablettes de verre intelligent.
Et une image tridimensionnelle de Mars est apparue. Et toutes ces différents icônes ont commencé à apparaître aux endroits où il y avait ces bases sur Mars.
DW : Combien d’icônes y avait-il ?
CG : Je ne me souviens pas maintenant. Il y en avait un certain nombre, au moins une douzaine. Il y en avait un plus grand nombre. Nous ne voyions seulement qu’un côté de Mars en ce moment.
DW : Étaient-ils dans l’hémisphère Nord ou l’hémisphère Sud ?
CG : Ils étaient tous dans l’hémisphère Nord. Mais ce gars du CPI a commencé à nous montrer les différents endroits, de faire des recommandations de ceux que nous devrions visiter. Et à ce point, Gonzales a dit : "Eh bien, attendez une seconde !" Et il n’a touché à rien. Je suppose qu’il avait une certaine façon de composante mentale pour activer cette nouvelle icône dans l’hémisphère Sud.
Et quand il a vu cela, le représentant de la CPI s’est comme immédiatement redressé et semblait perturbé. Et Gonzales a dit : "Nous avons choisi cette installation."
Et le représentant de la CCI était évidemment un homme politique aguerri. Il s’est repris rapidement et a dit :
"Ce n’est pas une usine de travail. Il n’y a pas de colonie. C’est ancien !"– Je pense qu’il était en train de dire que c’était comme une installation automatisée. "Ce n’est pas quelque chose qui pourrait vous intéresser." Essayant de minimiser.
Et Gonzales a immédiatement dit : "Eh bien, l’un de nos récents transfuges a vécu dans cette colonie, et nous avons des renseignements très récents et détaillés sur cette installation. C’est celle que nous voulons visiter".
DW : Je parie que ça va le mettre en panique. CG : Il était inquiet. Le représentant CPI était inquiet. Et il s’est excusé pour aller dans l’une des salles modulables. Et apparemment, il avait une sorte de dispositif de communication ou un moyen de communiquer. Et il a dit qu’il devait obtenir une autorisation.
Et il est revenu quelques minutes plus tard, et a dit que cela allait être approuvé, mais que cela allait prendre une heure pour avoir l’autorisation, et que l’espace aérien soit libéré, et que tout fonctionne parfaitement – évidemment du temps nécessaire pour eux, de nettoyer la base et faire les préparatifs.
Ainsi, environ 50 minutes plus tard, un membre de l’équipage a déclaré : "Nous sommes autorisés pour l’atterrissage." Et nous voilà partis.
Alors que nous sommes entrés dans l’atmosphère, nous avons vu à l’extérieur des panneaux transparents – des décharges roses, lavandes, pourpres, à travers le blindage et nous avons volé réellement rapidement vers le sol, ceci était exaltant, pour ensuite arrêter, et commencé à survoler la surface, dans ce qui semblait faire partie d’un lit de rivière.
Et il y avait une sorte de paroi de falaise, un peu comme un mur dans la falaise, d’où est sorti un cylindre qui est monté.
DW : C’était métallique?
CG : Oui. C’était essentiellement un système de contrôle de la circulation aérienne.Et puis une ouverture, qui n’était pas là avant, est apparue sur le côté de cette paroi de type canyon. Nous avons ralenti et volé à l’intérieur. Alors que nous volions à l’intérieur, il y avait des baies de chaque côté.
Et de chaque côté, il y avait deux vaisseaux de chaque côté d’un podium que je n’avais pas vu avant, et ils étaient comme en forme de goutte, et de couleur chrome. Et nous avons apparemment été autorisés à atterrir, je crois que c’était sur la troisième travée à droite.
Et il y avait là un des vaisseaux en forme de larme, puis une sorte de vaste zone circulaire pour nous accueillir, à peine assez grande pour notre vaisseau. Et nous avons atterri.
La description de Goode des vaisseaux en forme de larme m'a rappelé le film Flight Of The Navigator. Le représentant CPI est sorti de notre vaisseau et joggé – moitié courant, moitié marchant, vers un agent de sécurité qui est venu à sa rencontre, est allé au poste de contrôle de sécurité, puis revint, courant en faisant ce signe (pouces en l’air), que tout était OK.Et Gonzales et moi avions eu deux agents de sécurité assignés à chacun de nous, qui étaient EI, qui étaient autorisés à porter des armes. Nous avons débarqué. Nous nous sommes dirigés vers le point de contrôle. La sécurité de la station a dit à notre sécurité, pas d’armes passé ce point.
Il y a eu un échange entre Gonzales et le représentant CPI du fait, que ceci devait déjà faire partie de l’entente. Le représentant CPI est allé parler au chef de l’établissement.
Le chef de l’établissement fronça les sourcils et a fait cela (mouvement de venir, avec sa main) pour nous laisser passer. Et nous sommes entrés dans la base. Et il n’y avait personne. Et il a dit que le hall principal était en préparation pour la présentation. Et le reste des représentants de la CPI étaient en route.
Ils ont été informés de l’emplacement, et que nous allions être envoyés d’abord au complexe industriel afin de voir, où certains composants étaient produits.Et alors, ils nous ont mis dans un train, un petit train qui était très étroit. Nous étions deux personnes assises, face à face – nous nous sommes assis en face l’un de l’autre comme ça.
Et la façon dont nous sommes entrés – il y avait un bon nombre du personnel de sécurité de la colonie, qui nous accompagnaient. Et j’avais un de mes gardes de sécurité de chaque côté de moi. Et en face de moi, il y en avait cinq de la sécurité de la colonie.
Et comme nous nous dirigions très rapidement vers notre destination – c’était environ à 8 km, je pense. Je les ai entendus dire cela au complexe industriel – on m’a demandé d’où je venais. Et je commis l’erreur de dire Texas.
Eh bien, je n’ai pas dit que, avant on nous avait dit, au moment où nous avions débarqué, avant d’entrer dans le poste de contrôle, le représentant CPI nous avait dit : "Écoutez, cette base particulière, fait partie d’une expérience sociale, qui est très importante pour l’humanité. S’il vous plaît, ne la contaminez pas !"
On leur a dit que la Terre était inhabitable, à la suite d’une quelconque catastrophe, et que les seules personnes, les êtres humains, qui ont survécu, étaient ceux sur Mars et du Programme Spatial.Donc, j’avais assez bien foiré.
DW : Wow.
CG : Parce que j’avais récemment eu des coups de soleil, et je m’étais mis de l’aloès et toutes sortes de choses. On m’a dit que je puais la Terre.
DW : Est-ce qu’ils utilisent tous des produits d’hygiène similaires?
CG : Oui, ils utilisent tous exactement les mêmes produits d’hygiène. Gonzalez m’a dit plus tard, que mon déodorant, les lotions que j’utilisais, le gel pour les cheveux, tout – je sentais totalement l’étranger.
DW : Donc que se passe sur le visage de ce gars quand vous avez dit Texas, et qu’il pense que la Terre a été détruite ?
CG : Eh bien, quelques-uns en face de moi, ont immédiatement fait comme – vous savez ? Et ils se regardèrent. Et ils ont immédiatement commencé à parler entre eux. Et puis mon gars de sécurité, et le gars de sécurité à côté de lui, ont commencé à parler.
Et la prochaine chose que je sais, je vois Gonzales lever la tête, et regarder dans ma direction, et je ne l’ai même pas regardé. J’ai juste regardé au-delà du gars de sécurité, et regardé le mur flou par la fenêtre jusqu’à ce que nous nous arrêtions.
Et puis, nous sommes sortis pour commencer la visite de l’installation.
DW : Qu’a fait Gonzales – quand il vous regardait, – qu’est-ce qui le …
CG : Je ne l’ai pas regardé. Mais il m’a approché très rapidement par la suite, et il a dit qu’il pensait qu’il pouvait sauver la situation. Il allait essayer de penser à Texas comme étant une installation secrète, ou un navire secret, ou quelque chose comme ça, pour tenter de sauver la situation.
DW : Pensez-vous qu’on leur a présenté une sorte de faux film hollywoodien ?
CG : Qui sait ? Mais ce que je sais, c’est…
DW : Et ils y croyaient absolument.
CG : Oui. Ce que je sais, c’est que beaucoup de ces gens, en particulier pendant l’ère de l’exode des cerveaux et un peu après, ont été amenés, contraints de se joindre à ces colonies de Mars, s’étant fait dire qu’une catastrophe était sur le point de se produire sur la Terre ;
qu’ils étaient la crème de la crème, ils étaient "spécial", et ils faisaient partie d’une continuité du programme de la préservation des espèces humaines à essentiellement coloniser Mars et finalement, terraformer Mars et redémarrer la race humaine.
DW : Les gens qui sont les apprenants et qui ont grandi, enterrés dans les SMS et les smartphones, ne peuvent pas réaliser à quel point un peuple sous la menace, tel que votre génération et la mienne, et la génération de nos parents, croyait vraiment qu’il allait y avoir une guerre nucléaire.
Je veux dire, c’était très effrayant, une chose effroyable.
CG : Oh oui, je me souviens. Nous étions tous les deux à l’âge du "plongez et cachez-vous – entrez en-dessous de vos pupitres".
DW : Comme si cela pouvait aider à quelque chose.
CG : En effet.
DW : Alors pensez-vous qu’on leur a dit qu’il y avait eu une guerre nucléaire, car il y avait tellement de peur que cela puisse se produire?
CG : Je ne sais pas ce qu’ils leur ont dit, si c’était un événement solaire, une guerre, ou un supervolcan.
DW : Mais, quelle belle façon d’empêcher les gens de vouloir s’échapper, parce que c’est leur maison. Ils n’ont nulle part où aller.
CG : Oui.
DW : Intéressant. – Est-ce que ces gens, dans cette colonie particulière ou toutes autres colonies, sont en contact avec différentes races extraterrestres, ou étaient-ils principalement tout seul, les humains de la Terre ?
CG : Certaines d’entre elles ont définitivement travaillé, avec différentes races extraterrestres, et ont vu différentes races extraterrestres. Un grand nombre de ces bases, faisaient du commerce avec les races extraterrestres. Donc je suppose que oui, mais je ne suis pas certain.
DW : Je sais que vous n’avez pas vécu là-bas. Mais, je suis curieux de savoir, si les gens avaient, par exemple, un système de navettes, semblable à ce qu’ils ont sur la Terre et les colonies. Y avait-il comme un internet sur Mars, auquel tout le monde pouvait accéder ?
Avaient-ils la possibilité de parler aux gens dans différentes installations ?
CG : Non, je n’ai pas très bien expliqué le système de train. C’était presque comme de la roche vitrifiée. Et c’était comme du verre ondulé.
DW : C’est exactement ce que j’ai entendu dire de la part d’au moins 2 autres initiés. Ils ont ces machines de forage utilisant une sorte d’énergie nucléaire, et ils avancent, en faisant fondre la roche.
Mais ensuite, ils doivent arrêter et créer un petit anneau, parce que si vous allez juste tout droit à travers, alors cela va se fissurer, et la terre tombe, donc Ils arrêtent régulièrement ; font ces anneaux qui renforcent la solidité du tunnel.
CG : C’était comme nervuré ondulé.
DW : Alors vous êtes partis. OK. Parfait.
CG : Et il y avait des sections où nous sommes allés – que nous suivions, il y avait des tunnels de traverse.Et ils avaient des liens vers d’autres établissements, aux endroits où ils apportaient certaines pièces, ou tout autre chose dont ils avaient besoin.
DW : Ont-ils des contacts les uns avec les autres sur la planète ?
CG : Il semble qu’ils ont des contacts limités les uns avec les autres.
DW : Seulement les gens des hauts rangs, pas les bas échelons du personnel ?
CG : Je dirais le genre de situation de confidentialité ; "besoin de savoir".
DW : Donc, ils vivent une vie très isolée. Ce n’est pas comme un grand cercle social.
CG : Une vie très régimentée.
DW : Alors qu’est-ce qui se passe ensuite ?
CG : Donc, nous avons commencé à faire la tournée. Il y avait ce colon qui était là qui montrait une composante complètement courbée, qui était une interface optique neurologique, dont l’utilisation était très populaire dans plusieurs vaisseaux.
DW : Qu’est-ce que cela fait ? C’est optique et neurologique ? Est-ce que ça suit le mouvement de l’œil ou quelque chose comme ça ?
CG : Eh bien, non, cela s’utilise en interface neurologique par le biais d’autres technologies, et c'est en interface avec d’autres technologies et donne une sorte d’affichage optique ou quelque chose comme ça. Nous sommes vraiment sur le point de commencer. La machinerie, la machinerie automatisée robotique qui le construit, ils parlaient des différentes formes.
Certaines sont courbées. Certaines sont droites.
DW : Est-ce comme un casque que vous portez ?
CG : Non, non. C’est comme quelque chose qui va dans un vaisseau. Et nous commencions tout juste quand – et le train qui avait quitté après que nous soyons sorti.
DW : Ceci est la partie industrielle de la tournée, qu’ils ont dit que vous deviez avoir.
CG : En effet.
DW : Y avait-il beaucoup de gens autour ?
CG : Non. A ce moment, il y avait juste ce colon, qui était apparemment comme une sorte contremaître, un gars qui était là pour nous faire une présentation. Et le représentant de la CCI touchait sans cesse son oreille.Et il fronçait les sourcils, l’air préoccupé, et était comme en attente.
DW : Oh, vous dites qu’il avait comme une pièce d’oreille, pas comme s’il essayait de signaler non verbalement au colon présentateur.
CG : Comme un communicateur-oreille. Ils les mettent dans votre oreille, et vous pouvez entendre, et vous pouvez parler. Mais ce n’est pas facile à voir.
DW : OK, donc il a son propre petit communicateur-oreille.
CG : En effet, et l’équipe de sécurité de l’installation sont là à nous regarder de plus en plus, et à parler entre eux. Il était évident qu’ils étaient conversaient entre eux.
DW : À cause de cette histoire de Texas.
CG : À cause du commentaire Texas
DW : Et que vous aviez drôle d’odeur, et vous avez une apparence bizarre.
CG : Et j’avais eu un gros coup de soleil. Je pelais. Même mon cuir chevelu se décollait. Je venais d’avoir une coupe de cheveux. J’avais été au soleil. Et je m’étais mis de l’aloès Vera partout sur moi.
Et un autre train est arrivé. Comme le double de la taille – une énorme quantité de gars de sécurité en sortirent, et sont venus désarmer toute leur propre équipe de sécurité, qui nous avait accompagnés.
Et le représentant de la CCI est venu, et il nous a dit que nous devions être très prudents quand nous parlons, et de se rappeler l’accord.
DW : Avaient-ils peur que le gars à qui vous avez dit Texas, allait péter les plombs et vous tirer dessus? Est-ce la raison pour laquelle, lui et son équipe, ont été désarmés, parce qu’ils étaient inquiets au sujet d’une possibilité de rupture psychologique?
CG : Eh bien, la chose qu’ils nous ont laissé entendre, était que nous avions contaminé leur expérience sociale.Et ensuite, la moitié du nouveau groupe de sécurité, a escorté l’ancien groupe de sécurité de l’endroit, dans le train et ils ont quitté.
Et un peu plus tard, le train est revenu. Nous y avons entré et nous sommes retournés. Parce qu’ils ont dit que la salle principale était prête, et que les représentants du CPI étaient arrivés, tout était prêt pour la présentation.
Donc, nous sommes retournés. Et, quand nous sommes entrés cette fois-ci, il y avait des gens partout là où auparavant, c’était juste visiblement vide. Et dans ces places, vous utilisez chaque mètre carré d’espace.
Donc, avoir une immense zone comme ça avec personne autour, c’était inhabituel. Tout d’un coup, maintenant il y a tous ces colons. Et il était évident qu’ils portaient leurs meilleurs habits du dimanche, certains d’entre eux portaient différents types d’une pièce, certains étaient kakis, et bleus, et des couleurs différentes, certains d’entre eux portant même un type de vêtement deux pièces.
Et ils étaient tous là, à faire leur travail, mais ils essayaient tous d’entrer en contact visuel avec nous. Il était assez évident qu’ils avaient été informés qu’une partie de l’entente, était que nous allions être autorisés à amener avec nous, une famille, pour questionnement sur les conditions de l’installation.
Donc, ils étaient là, comme espérant, à chercher à établir un contact visuel avec nous.
DW : Un peu comme quand on va dans un refuge pour chiens et chats.
CG : En effet.
DW : Wow. Que c’est triste.
CG : Il y a eu deux parties différentes. Nous sommes allés faire une tournée où les gens vivaient, et voir leurs petits quartiers, où les gens ont été tous souriants, en ayant tous l’air heureux.
DW : Pourriez-vous décrire pour nous, un de ces quartier brièvement ? Comme, ont-ils un endroit où ils cuisinent ? Est-ce qu’ils ont une salle de bain ? Ont-ils des chambres séparées ?
CG : C’était comme des cellules de prison.
DW : Vraiment ?
CG : Ouais. Ils avaient des lits incrustés dans les murs. Et ils ne préparent pas leur nourriture. Ils vont tous manger dans un emplacement central. Et ils vont à la salle de bain et se baigner et tout ça, à un endroit central ou dans des emplacements partagé pour les groupes.
DW : Wow, avaient-ils au moins une toilette dans la chambre ?
CG : Non !
DW : Wow. Mais il n’y a pas de barres sur les portes ? Ils peuvent aller et venir comme ils veulent.
CG : Oui, mais je suis sûr —
DW : De quelle largeur était le couloir ?
CG : Le couloir était assez large. Je veux dire, il l’était assez pour six personnes côte à côte.
DW : Mais, est-ce juste des chambres comme ça, tout le long jusqu’au bout ?
CG : C’était ça, oui, seulement chambres comme ça jusqu’au bout.
DW : Pas de fenêtres ou quoi que ce soit ?
CG : Non. Pas de fenêtres.
DW : Avaient-ils de l’éclairage, comme des lampes de plancher ou un plafonnier, quel était le système d’éclairage ?
CG : Il y avait un type d’éclairage par le son.
DW : Éclairage par le son
CG : Ouais. C’est assez commun. Ce sont des ondes sonores qui produisent de la lumière.
DW : Où sont-elles ?
CG : Au plafond.
DW : Est-ce dans une zone du plafond, ou comme tout le plafond qui brille tout simplement ?
CG : Les panneaux du plafond, le plafond entier.
DW : Wow. Super.
CG : Et donc Gonzales a fait, à mon insu, une note mentale je suppose, du numéro de l’habitation ou de l’adresse de l’un des endroits. Nous sommes aussi allés assister, à ce que Gonzales a désigné, comme un spectacle de chien et poney, que la CCI avait organisé.
Ce qu’ils appelaient la salle principale, ce lieu de rassemblement, ressemblait beaucoup à un endroit où les gens sont amenés, et où on les abreuvait de propagande.
DW : Avez-vous eu une impression intuitive de cela ?
CG : Oui. Cela avait été placé avec des chaises tout autour. Et il y avait un autre de ces types de très grands écrans de verre intelligents.
DW : Ainsi, c’est comme un auditorium où un grand nombre de gens peuvent entrer.
CG : Oui, c’était un très grand auditorium.
DW : Avaient-ils quelque chose comme la télévision dans leurs maisons ? Y avait-il quelque chose qu’ils pouvaient regarder ?
CG : Pas d’après ce que j’ai vu, à moins qu’il soit rétractable.
Nous entrons. Certaines présentations sont faites. Nous nous asseyons. Et ils donnent un spectacle chien et poney. Ils commencent à nous montrer toutes ces différentes technologies qu’ils transigent, et dont ils font le commerce, et vendent, essentiellement aux Extraterrestres.
DW : Est-ce que c’est le représentant CPI qui vous donne la présentation à ce point, ou a-t-il des collègues qui travaillent avec lui.
CG : Différents collègues, ouais. Différents gars, ils donnent des présentations. Ils sont très fiers de ce qu’ils présentent. Il y avait différents vaisseaux, diverses composantes de vaisseau, juste plusieurs petits – ils présentaient juste un tas de plusieurs technologies, de la micro pièce à la totalité du produit.
DW : Y avait-il quelque chose de vraiment hors du commun, qui vous a surpris et dont vous ne connaissiez pas l’existence, ou qui était vraiment comme super, insolite, inattendu ?
CG : Eh bien, pas vraiment, outre que le fait qu’il y avait en fait, des vaisseaux que nous concevions et construisions, et que des groupes extraterrestres avancés étaient intéressés à se les procurer.
Je veux dire, nous étions tellement avancés, dans la production de technologies de pointe, que d’autres groupes le voulaient ? Une des choses qui m’ont vraiment fait sauter le plus, est le fait que l’un des représentants de la CPI a annoncé que nous faisions le commerce, sur une base régulière, avec près de 900 races d’Extraterrestres.
DW : C’est étonnant!
CG : Et c’était sur une base régulière, et que nous faisions du commerce occasionnel avec beaucoup plus encore.
DW : Beaucoup plus, comme des milliers?
CG : En effet.
DW : Ouf. Ont-ils donné une idée de la grande partie de la Galaxie que cela couvre ? Est-ce juste une petite zone ?
CG : Non non. Je ne sais pas exactement d’où viennent tous ces groupes. Mais considérant que, juste à l’extérieur de notre système solaire, il y a une importante plaque tournante d’un système de portail, qui voyage à travers la toile cosmique des systèmes de portail – cela est comme une escale oasis.
Nous voyons beaucoup de trafic dans la région. La plupart des groupes ne s’arrêtent pas dans notre système solaire, car il est considéré comme très embrouillé. Avec l’esclavage qui y sévit, et tout ce que la plupart d’entre eux ne veulent pas côtoyer, ce genre de chose avec lesquelles ils ne veulent pas transiger.
Ils restent à l’extérieur de notre système solaire. Ils font leurs calculs et pfff, ils s’en vont. Mais ceux qui sont sans scrupules, ou n’ont pas d’un problème avec ça, vont venir faire du commerce avec la CPI.
DW : Après avoir vu ce spectacle chien et poney, vous a-t-on dit que ces technologies allaient toutes être remises à l’humanité, après que cette grande divulgation aura eu lieu ?
CG : En effet, on nous a déjà dit que l’Alliance du Programme Spatial Secret a reçu la consigne d’arrêter toutes les attaques – de ne plus attaquer l’infrastructure de la CPI – d’arrêter la violence. Ils ont déjà des problèmes à avaler – être plus aimant, être plus indulgent, élever votre conscience.
Et tout ça pour eux, c’était de l’information vraiment totalement étrangère. Mais on leur a dit d’arrêter la violence.
Et ils l’ont fait. Surtout après avoir découvert que l’ensemble de cette infrastructure, après les grandes divulgations d’information, et alors que les gens auront réglé certaines choses sur terre, toute cette infrastructure allait être remise à l’humanité, pour devenir le fondement d’une civilisation de type"Star Trek".
DW : Ce qui sonne exactement comme, ce que beaucoup de cultures anciennes, et les traditions de canalisation modernes disent tous, sera ce grand âge d’or fantastique dans lequel nous entrons. Donc, cela est une réalisation pratique très intéressante de cela.
CG : En effet. Et l’Alliance des Êtres des Sphères a dit, de cesser de saboter les installations. Cessez de détruire toutes les infrastructures. Vous démolissez tous ces trucs qui, après que tous ces changements se soient produits, vont être remis aux peuples.
DW : Ouah! Était-ce une surprise pour Gonzales et les autres qui faisaient partie de son détachement, d’apprendre qu’il y avait 900 groupes qui étaient en, comme vous le dites, qui faisaient du commerce régulièrement avec la CPI, ou savaient-ils déjà tout cela ?
CG : Il semblait que j’étais celui qui était le plus surpris. Il me semble que je suis généralement celui, qui est le plus dans l’ignorance de tout dans chaque situation. Je ne reçois pas tous les renseignements que tous les membres de l’Alliance SSP reçoivent.
DW : Ainsi, avec le temps qu’il nous reste, il y avait évidemment des choses très désagréables qui vous sont arrivées après cela.
Alors, comment faisons-nous à partir de cette salle où tout commence à prendre place ?
CG : OK. Pour abréger, après ce point, nous avons maintenant été autorisés à choisir une famille pour venir avec nous. Gonzales donne l’adresse au mur de la famille qu’il avait choisie. Et quand nous étions dans le train de retourner, les empaths intuitifs avaient déclaré plus tôt, qu’ils sentaient que quelque chose ne semblait pas correct.
Et je sentais quelque chose de bizarre, mais je ne suis pas aussi à l’écoute comme j’avais l’habitude de l’être. Puis, une fois la famille ait été escortée sur notre vaisseau, une fois que nous les ayons vu, les empaths intuitifs chuchotaient à l’oreille de Gonzales.
Et il faisait : Hmm, Mmmm. – Et quand nous sommes arrivés au vaisseau, la porte fermée, et il a dit : "Vous êtes en sécurité. Tout va être OK. Vous pouvez nous le dire. Nous savons qu’il manque un membre de votre famille".
Et il y avait le mari, la femme, un fils et une fille. Et le père a dit : "Comment pouvez-vous savoir ça ?"
Et il a dit : "Ces messieurs ont des capacités. Dites-nous tout simplement ce qui se passe. Et nous allons arranger ça.
Et alors, la famille s’est fermée comme une huitre. Et Gonzales à sa manière normale, a été très interpellé. Et lui et ses deux membres du personnel de sécurité ont quitté le vaisseau.
DW : Donc, ils doivent avoir dit à la famille, vous leur dites que ceci est un endroit merveilleux pour vivre et tout le monde est heureux, ou alors votre enfant va payer.
CG : Et que vous voulez revenir. Parce que, une partie de l’entente était que nous étions en mesure de leur offrir un endroit.
DW : Refuge.
CG : Sanctuaire. Ouais. Donc Gonzales quitte. Et, pour raccourcir histoire, la prochaine chose que je sais, l’équipage sort du compartiment avant en disant, nous avons le personnel de sécurité qui s’en vient rapidement, les armes à la main, que faisons-nous ?
Et ils me le demandent, à moi.
DW : Donc, vous êtes dans ce vaisseau, et vous êtes sur le point de quitter avec la famille dedans, Gonzales tente d’avoir l’autre enfant, et ces gars s’en viennent en courant, armes au poing, et il semble qu’ils soient fondamentalement en mode attaque de votre vaisseau.
CG : Ils étaient en route. Ils avaient fait le tour, et ils étaient en voie d’arriver à la passerelle.
Et j’ai dit : "Est-ce que Gonzales est avec eux ?"
Et ils disent : "On ne le voit nulle part."
Et j’ai dit : "On se rend. Ouvrez la porte."
Et ils ont immédiatement commencé à prendre les mesures de sécurité pour effacer du vaisseau, toutes les informations, les informations de renseignements qui pourraient aider l’ennemi, je suppose. Et, ils l’ont fait très rapidement.
Et l’équipe de sécurité est venue, et ont désarmé notre sécurité.
DW : Est-ce qu’ils vous criaient dessus, vous ont-ils mis les mains derrière le dos, et vous ont-ils blessés ?
CG : Ils nous ont escortés d’une manière rude très soutenue. Mais ils ne cherchaient pas à nous briser les bras ou quoi que ce soit. Ils nous ont escortés au-delà du point de sécurité. Et, comme nous sommes passés là, le représentant de la CPI, qui était avec nous avant, avait une sérieuse engueulade avec le chef de l’installation.
Et le représentant de la CCI était d’un rang plus élevé, et de loin, que ce directeur de base. Mais ce gars était déclenché.
DW : Le directeur de la base ?
CG : Le chef de la base était fâché. Et nous sommes allés à ce mur. Et il y avait maintenant des portes, là où il n’y en avait pas auparavant. Et ils ont ouvert les portes. Et il y avait un centre de détention. Et nous entrons dedans. Et il y a tous ces gens dans les cellules.
Et il y a des cellules avec – ce sont presque comme des cages où vous pouvez mettre votre main, comme ceci, avec des trous du genre octogonal. Et ils nous ont fait avancer jusqu’au fond. Toutes les cellules étaient occupées. Et, tout au fond, il y une cellule plus grande avec Gonzales et ses deux compagnons, ses deux gardes Empath intuitifs.
Et ils ont mis le reste d’entre nous dedans, y compris l’équipage du vaisseau. Et Gonzales a déclaré que le chef de l’établissement était un tyran, et ne pouvait pas supporter d’être contesté devant son propre peuple, que les choses s’étaient envenimées et arrivées hors de contrôle, et ils ont été placés en détention.
Et il a dit que les choses tournaient vraiment très, très mal.
DW : Autrement dit, vous les gars alliez être détenus pour un court moment et assassinés ?
CG : Il semblait que les choses allaient aller en ce sens.
DW : Ou même torturés d’abord, puis assassinés ?
CG : Qui sait ? Il n’a pas élaboré. Nous étions là depuis un court laps de temps, quand la prochaine chose que nous avons vue, tous ces orbes bleus ont commencé à apparaître dans la cellule passant à travers les murs. Gonzales et moi étions les seuls à avoir voyagé de cette façon.
Les autres personnes, la sécurité et l’équipage, ont reculé un peu. Ils ont été un peu pris au dépourvu. Gonzales leur a simplement dit d’indiquer que vous êtes prêt à voyager,
et les sphères, une par une, sont juste apparues autour de nous, et nous ont zippés à travers les murs et nous sommes apparus de retour, dans la salle que j’ai mentionnée auparavant, avec la table poussée contre le mur, la salle de conférence.
Et une alarme d’intrusion a retenti, parce que nous n’étions pas attendus à revenir de cette façon. Notre vaisseau a été abandonné sur place.Et Gonzales a envoyé le reste du personnel faire un compte rendu oral, et m’a dit que nous avions perdu un vaisseau, mais au moins nous n’avions perdu personne.
Et il ne savait pas si je devais aller voir les Avians Bleu après cela, ou si je rentrais chez moi, mais qu’il avait besoin de s’en aller
Questions - Réponses :
DW : Les gens en ligne avaient demandé si vous aviez pu amener la famille avec vous.
CG : Non, nous n’avons aucun renseignement sur ce qui se passe sur cette installation en rapport à cette famille. J’ai eu zéro information sur ce qui s’est passé.
DW : Certains des commentaires d’attaque, ont été, pourquoi les Avians Bleus ne se soucient-ils pas de ces esclaves ? Pourquoi n’ont-ils pas sauvé ces esclaves ? Est-ce que cela ne va pas être quelque chose dans le futur, quand ils seront libres ?
CG : Ouais. Ceci fait partie d’une conversation beaucoup plus longue. Il y a un plan où quand tous ces gens seront libérés, ils vont être amenés à un autre endroit, où ils pourront être réhabilités, et la même chose pour beaucoup de gens de l’Alliance des Programmes Spatiaux Secrets.
Comme je l’ai dit, un grand nombre de ces personnes, ne sont pas des anges. Ce sont des gens très endommagés. Et ils vont être amenés chez l’un de nos alliés, qui vont les réhabiliter avant de retourner dans la société.
DW : Bien, merci beaucoup. Vous êtes très courageux de passer par ce genre de choses et ne pas abandonner.
Et merci de regarder.
Nous avons beaucoup plus à venir pour vous, et nous vous remercions de regarder.
Je suis Votre hôte, David Wilcock.
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